Pour ma part, j'aime le lavement, mais en dehors d'un contexte médical, enfin, presque.
J'aime le lavement donné comme une punition ou comme une humiliation. J'aime cette pratique d'une part parce qu'elle est humiliante, le recevoir, le garder, l'expulser, et, d'autre part, parce que j'aime avoir le rectum et le colon remplis, le ventre un peu ballonné, cette délicieuse gêne, à peine douloureuse, d'être ainsi dilaté. J'aime, aussi, le rite du lavement, donné à la canule et au bock, et, surtout, voir la lavementeuse, en blouse et grand tablier, une tenue pas vraiment médicale, disons blouse de ménage et grand tablier de caoutchouc. J'aime le recevoir couché sur le dos, pour voir la lavementeuse, cuisses écartées. Me faire mettre la canule, voir le liquide couler, le sentir rentrer, me faire masser doucement pendant qu'il passe. Puis devoir le garder, longuement, en forçant, et, enfin, l'expulser honteusement dans une cuvette, devant la lavementeuse.
Et si en plus je peux être fessé avant, pendant et après, c'est encore mieux.