Je trouve que le site doit servir à chacun à dire ce qui l'attire, ce qu'il aime, ce qu'il voudrait...et à savoir dans quelle mesure ce qu'il dit ou ce qu'il suggère est partagé.
...la culotte est un univers de la fantasmagorie sexuelle...déjà, ce simple mot est une évocation sensuelle très forte; évoquer la culotte d'une femme fait tout de suite battre plus vite le coeur d'un homme, pour rester dans de domaine des relations les plus classiques, car il en va de même pour certaines femmes à l'évocation de la culotte d'une autre femme; dito pour les hommes.
Je me sentirais intarissable sur le sujet !
Oui, la culotte est utile...paradoxalement, même par son absence; il suffit d'envisager une femme sans culotte sous sa jupe ou sa robe, sans ce vêtement destiné justement à cacher aux regards les endroits les plus intime de son corps pour enflammer l'excitation.
Quand une femme en porte une pour préserver son intimité, écarter sa culotte permet, c'est vrai, de...voir, de caresser, de lécher et même de pénétrer son ventre. Chez un homme, elle protège également son intimité, surtout s'il a une érection : elle la dissimule alors en grande partie...pensez ce qu'il advient à un homme soupçonné d'érection dissimulée, quand on lui baisse alors le slip et à ce qu'on dévoile de lui dans un tel moment ! il suffit d'imaginer une simple visite médicale un peu équivoque...le slip est baissé sans prévenir..."Eh bien, qu'est-ce-qui vous arrive ?..."
Dans les jeux de domination légère, si on imagine une femme présentée debout au milieu d'une pièce nue, mais portant une culotte préservant son intimité même si elles est seins nus... émotionnellement, tout bascule quand elle se retrouve, d'un geste le long de ses jambles, sa culotte à ses chevilles, parce qu'on la lui aura baissée, ou qu'on aura exigé qu'elle la baisse elle-même, tout en restant ensuite debout dans la même position...tout bascule, et dans le regards des personnes qui regardent alors cette femme , et dans les sensations qu'éprouve alors cette femme qui sent nettement les regards explorer sans se gêner l'endroit de son corps qu'elle a dû dévoiler aux autres personnes, avec interdiction d'en masquer la vue, parce qu'elle devra se tenir les mains dans le dos ou sur la tête...Il en va de même, dans un contexte érotique, pour un homme nu, mais en slip, debout devant des tiers, mais attaché par exemple les mains dans le dos contre un poteau pour qu'il ne puisse pas se défendre : lui baisser le slip va mettre à nue son érection, ou la renforcer si elle est latente...et comme son slip sera baissé, il sera facile de lui faire bien montrer, qu'il l'ait voulu on non -c'est d'ailleurs plus agréable s'il ne l'a pas voulu...- toute l'intimité de son érection en le décalottant attentivement, ou en appliquant quelques lents mouvements intimes avec une main d'une des personnes participantes au jeu...La nudité d'un homme dans ces circonstances-là est pire que celle d'un femme, même si elle est nue, culotte baissée, quand elle peut rester jambes serrées et droites, car un homme montre alors à d'autres ce qu'il peut lui arriver de plus intime : une verge dure animée de ces contractions les plus intimes que puisse avoir un homme, un gland décalotté et plus ou moins baveux si du précum s'est échappé de la petite fente, des bourses resserrées par l'envie d'avoir une éjaculation. Et un jeu un peu pervers peut l'affoler, éventuellement au ravissement des autres, si l'un ou l'une dit alors perfidement, en passant lentement un doigt le long de la verge toute raidie par le sort qu'on lui fait subir, et en prenant doucement dans sa main les bourses contractées : "...Je crois qu'il a besoin d'éjaculer...hein ?...tu veux éjaculer ?..."
...mais le pauvre ne peut pas répondre : il porte un baillon !...et de ce fait, ses gémissements peuvent être interprêtés comme on veut...
Je me rappelle un jeu avec un couple d'amis : j'étais passé un soir, après le repas, boire un verre chez eux; nous étions bien sûr habillés, lui était assis dans un fauteuil, en face de moi, et j'avais demandé à sa femme (il savait bien qu'elle était ma maîtresse, l'avait... "contasté" sur elle, en plusieurs occasions, "après", tout de suite, quand elle rentrait chez elle, m'avait-elle raconté, mais tout était dans le non-dit...), j'avais donc demandé à sa femme de venir s'assoir entre mes genoux, contre moi, sur le canapé...il se doutait bien qu'il allait se passer quelque chose d'inhabituel.Elle portait une jupe large; quand elle s'est assise, face à lui donc, sans attendre, je l'ai saisie sous les genoux, que j'ai alors ramenés contre sa poitrine; elle portait une culotte et des bas, et avait gardé ses chaussures, et j'ai dégagé sa jupe pour dévoiler complètement ses cuisses et son bassin en disant au mari : "Regarde...". J'ai maintenu sa femme dans cette position quelques longues secondes, et puis, lentement -puisqu'il est question ici de culotte !-, lentement, très lentement, en la pinçant du bout de mon pouce et de mon index, centimètre après centimètre, j'ai fait glisser la culotte de sa femme le long de ses cuisses, alternativement de chaque côté...
J'ai dégagé aux regards allumés d'excitation du mari l'intimité de sa femme, mais sans rien voir moi-même, ce dont il se rendait bien compte, moi, l'amant qui lui montrait sa femme !.... C'est d'abord le petit trou de sa femme que j'ai dévoilé aux yeux de son mari; évidemment, la position dans laquelle je la tenais contre moi, jambes repliées, exposait parfaitement le petit pertuis sombre entre les fesses ouvertes...Elle a alors eu un propos auquel je ne m'attendais pas: "Branle-toi !", lui a-t-elle dit...Je ne l'avais jamais vu intimement, mais il était tellement excité !...il a baissé ses vêtements, et, sans se soucier que je le voyais, a commencé à se masturber...j'ai été très surpris de cela, mais très excité aussi, mais je savais que sa femme était une sacré coquine ! J'ai continué à faire glisser la culotte lentement, en faisant de courtes poses, jusqu'à ce que toute la chatte de la femme soit découverte, avant de dire :" Viens la lécher, elle adore ça : elle va aimer !..." lui disant donc de ce fait ce que j'avais appris d'elle...il s'est précipité à genoux devant nous pour se mettre à lécher sa femme comme un fou !...et parce qu'un autre homme lui avait demandé de faire ça à sa femme...Elle se tenait la tête renversée contre moi sous le plaisir qu'elle éprouvait à ce que j'avais demandé à son mari de lui faire; il savait parfaitement faire ça, et était, m'avait-elle dit un jour, un des rares hommes qu'elle ait connu capable de la faire jouir avec sa langue.
Le jeu était vraiment excitant, et pour tous les trois, alors que je l'avais provoqué par pure audace et de manière non prémédité, et pour le corser un peu (tout cela est la stricte vérité), à un moment, j'ai dit au mari :" Et lèche bien le petit trou aussi ! tu sais qu'elle adore ça...et cherche à bien rentrer le bout de ta langue!"... en j'avais senti, à travers sa femme entre mes bras, que le mari faisait bien ce que je lui avais demandé de faire...qu'il s'appliquait, faisait ça très bien, en s'efforçant, du bout de sa langue, de vaincre la résistance due aux contractions du plaisir féminin !
...bien...Je reviens au propos de LKK : elle a raison; quand une femme mouille et qu'elle ne porte pas de culotte, elle risque de tacher ses vêtements, c'est vrai...mais quel savoureux moment pour un homme de constater une telle chose ! Le risque est toutefois plus élevé quand une femme porte une jupe ou une robe, qu'un pantalon, en tissu plus épais...sauf certains tissus que l'on porte l'été; si de plus, ils sont blancs !...en revanche, si une femme n'a pas à s'assoir, elle peut être sans crainte : mouiller, même beaucoup, en se tenant debout est sans conséquence... autre que mouiller davantage encore de l'excitation due aux coulures de cyprine en haut des cuisses !