Il y a des choses que l'on n'oublie pas

Il y a des choses que l’on n’oublie pas. Entre 10 et 16 ans j’étais de santé fragile, je souffrais de rhumatisme articulaire aigu. J’ai donc été hospitalisé plusieurs fois à la fin des années 60 et début des années70. C’était des hanches que je souffrais. Ce que n’aimais pas mais pas du tout c’était la visite médicale hebdomadaire car le médecin arrivait avec les étudiants et le chef de clinique et alors tout le monde devait pratiquer un examen de mes articulations et en particulier celles des hanches.

Je ne sais pas pourquoi je devais être nu mais c’était comme cela.Jusqu'à 13 ans cela ne me gênait pas mais après oui car je commençais à avoir des érections.

Un heure avant la visite l’infirmière venait faire ma toilette complète puis mettait un drap sur mon corps et puis l’attente commençait. Je les entendais arriver dans le couloir.Ils entraient et alors le médecin fermait le rideau autour du lit et après il me roulait le drap au fond du lit découvrant ma nudité à tout le monde. Il commençait par expliquer mon cas et le chef de clinique procédait à l’examen. Il m’auscultait puis palpait mon ventre avant de s’occuper de mes hanches. Il me prenait les jambes les faisaient venir contre mon abdomen une fois deux fois puis les écartaient et les reposaient après avoir mesuré l’angle d’écartement. Après c’était au tour de 3 ou 4 étudiants de refaire l’examen. Bien sûr mon sexe était tendu et plusieurs sourires entendus sur les visages qui me regardaient. Je devenais alors tout rouge. Avant de partir le médecin me disait toujours que j’étais un brave garçon, puis il me disait que je pouvais remettre mon pyjama. Quelquefois il m’arrivait de pleurer doucement mais mon compagnon de chambre m’interpellait en me disant : « tu l’as eu tendu aujourd’hui ? » et j’en étais quand même un peu fier.

Je me suis toujours demandé pourquoi je devais être à poil et pas en slip vu qu’on ne m’examinait pas le sexe.

Il y avait aussi la radiographie du jeudi. J’y allais en chaise roulante car je ne devais pas marcher. Un infirmier m’aidait à me hisser sur la table et enlevait mon pyjama puis il me positionnait correctement.Il sortait et il y avait le bruit de la radio. Je restais alors nu sur cette table tout seul ¼ d’heure environ jusqu’à ce qu’il revienne et me remette mon pyjama et me reconduise à ma chambre.

Voilà, je ne sais pas si on fait encore comme cela dans les hôpitaux aujourd’hui.J’espère qu’on respecte mieux la pudeur des patients.

Merci pour ce témoignage de souvenirs très vifs !

J'aimerais encore dire que le malaise était venait du fait qu'à partir de 14 ans on était plus des enfants pour les soignants et on ne mettait plus la douceur que j'avais ressenti quand j'avais été hospitalisé à 8 ans, mais qu'on nous parlait comme à des adultes qui devaient tout comprendre et accepté sans broncher et cela pour notre bien. Mais ils oubliaient que le début de l'adolescence est pénible vis à vis surtout de notre corps en profonde mutation.

Dans les hôpitaux la pudeur des patients n'est pas toujours respectée.Par contre en clinique elle l'est davantage .

Pour ce qui est de la pudeur c'est qu'en hôpital public ce n'est pas facile à réaliser, moi quand j'y étais hospitalisé en public quand j'avais la toilette du matin à faire ou d'aller sur le bassin pour une phlébite, (interdiction de mettre le pied parterre sinon ont risque l'embolie pulmonaire) la personne sortait de la chambre le temps de réaliser ce que j'avais à faire, maintenant qu'il n'y a plus les paravents que l'ont mettais entre les deux lits ainsi personne n'y voyais rien mais les chambre étant tellement petite l'existence du paravent ne se fais plus cela est dommage.

Alors qu'en clinique c'est plus relax moins de chambre donc plus d'écoute du patient, plus d'infirmière et beaucoup de chambre sont en individuel

Maintenant un second cas de figure si la personne ne peut pas se bouger de sont lit, à l'infirmièr(e) qui est là de lui demander de se coucher de l'autre coté, quand un soin se fait dans une chambre théoriquement l'infirmièr(e) quand elle arrive appuie sur un bouton pour à la fois avoir de l'aide si besoin et de faire signaler en dehors de la chambre la préscence de quelqu'un.

Pour @Chacha et @pierre

Je ne suis pas d'accord avec ce que vous avez écrit.

Pour ma part, je trouve qu'à l'hôpital public, la pudeur du patient est plus respectée qu'en privé. Je ne connais que deux établissements de santé proches de mon domicile, l'un est un hôpital privé, l'autre un hôpital public. Les deux sont situés dans le même département, et j'ai eu l'occasion de me faire hospitalisé dans les deux établissements.

Je rentrais pour une intervention au niveau du bas-ventre

La première fois, ce fut dans l'hôpital privé. Dès mon entrée dans ma chambre, je n'ai pas été laissé tranquille une seconde ! L'infirmière qui m'a pris en charge est restée à mes côtés quand je suis passé des vêtements civils à la tenue d'hôpital (pyjama !), ce qui n'était pas pour me destresser ! Elle a controlé un à un tous mes vêtements et les a rangés elle-même dans le placard.

J'étais géné de me mettre en slip et en maillot de corps comme ça, face à une personne qui ne ratait pas un seul de mes gestes ! Je me suis vite revêtu de mon pyjama, pour ne pas lui donner un plaisir supplémentaire. Oui, je sais, elles sont habituées... Elles, oui, mais pas moi !

Elle m'a dit ensuite que des collègues allaient venir s'occuper de moi.

Effectivement, quelques minutes plus tard, une jolie brochette d'infirmières fait irruption dans ma chambre (je ne suis pas seul, un malade est là depuis quelques jours). L'une me prend la tension, le pouls, me place un patch sur la poitrine pour un ECG. Une autre me pique et me prèlève un peu de sang pour déterminer mon groupe sanguin (alors que je l'avais précisé dans mon dossier d'admission...). Une troisième, enfin, s'enquière de mon régime alimentaire, s'il y a lieu.

Ces trois personnes se retirent et laissent la place à une autre infirmière... qui vient pour me raser. Surprise pour moi, le chirurgien ne me l'avait pas dit en consultation pré-opératoire.

Et voilà pourquoi je dis que dans le privé (ou, du moins dans cet établissement en particulier), on se fiche de la pudeur.

L'infirmière qui est venue pour me raser a été brusque : non seulement, elle m'a fait mettre tout nu, jambes écartées (je n'ai même pas garder ma veste de pyjama !), mais en plus, elle n'a pas cru bon de tirer le rideau qui pouvait me dissimuler à la vue de l'autre malade !

Sympa, je trouve !

Si dans la première partie de son intervention, (côté droit de l'abdomen et cuisse droite) l'infirmière a caché de son corps mes parties génitales (puisque j'ai été rasé du nombril jusqu'aux bas des cuisses), quand elle est passée du côté gauche, tout était visible. Je ne vous raconte pas la gène. Enorme moment de solitude !

Quand elle a fini, elle m'a fait lever de mon lit, toujours tout nu. Elle m'a interdit de me rhabiller, et elle a secoué les restes de peaux et de poils qui gisaient sur mon lit. Je me suis caché de mes mains, tellement j'avais honte ! Ce n'est qu'à ce moment que j'ai pu me rhabiller et me recoucher.

Le dernier dîner avant l'intervention était mauvais, mais mauvais...

Vers 23 h, l'infirmière de nuit pénètre dans ma chambre et allume le plafonnier, ce qui me tire de mon sommeil et qui réveille également mon voisin de chambre (qui, lui, sort demain). Elle me demande de ne plus rien manger, ni boire à cause de l'anesthésie. Je la rassure en lui disant que je n'ai ni faim, ni soif.

Sans prendre de gant, elle me découvre, retirant entièrement le drap et la couverture que j'avais sur moi. Elle me demande si j'ai été rasé. Je lui dis que oui. Ma réponse ne lui convient pas, et elle me demande alors de lui montrer, tout ceci, je le rappelle, sous la lumière du plafonnier et les yeux de mon voisin de chambre, qui ne perd pas une miette du spectacle ! Je suis donc obligé de baisser mon pantalon de pyjama et ce qu'il y a en-dessous !

Et me voilà découvrant mon intimité une nouvelle fois. L'infirmière s'est même approchée de très près de la zone traitée et a posé ses mains sur mes parties, pour constater qu'à cet endroit, la peau était belle et bien lisse !

Le lendemain, jour de l'intervention, l'infirmière de nuit (qui était en service jusqu'à 8 heures) me réveille vers 6 h 30 et me conduit à la salle de douches, dans le couloir de l'aile où je me trouve. Elle rentre avec moi dans le vestiaire contigü à la salle de douche et je me déshabille entièrement devant elle. J'ai voulu la faire partir... J'ai refusé de me déshabiller...Rien à faire : l'infirmière, n'a pas bougé d'un iota ! Elle doit s'assurer, me dit-elle que j'ai bien pris une douche avant de descendre au bloc. C'est obligatoire. Je dois me soumettre. Et comme beaucoup de patients ne le font pas, des mesures ont été prises pour que les infirmières vérifient que les opérés passent bien à la douche avant d'aller au bloc. Me voilà, pour une énième fois à poil devant un personnel médical !

Une fois entré, elle referme la porte de l'extérieur et je me douche (j'aurais tout aussi bien faire couler le robinet sans me mettre en dessous !. Passons). Je sais qu'elle m'attends de l'autre côté, elle me l'a dit.

Dès que j'ai arrêter de faire couler l'eau, l'infirmière me demande de sortir, tout de suite, sans me sécher, comme je suis (tout nu, bien sûr, après une douche). Ce que je fais, extrèment géné par la situation dans laquelle je me trouve. Je cache mes parties de mes mains, tant je suis confus par ce que je vis...

Je sors, ruisselant, et l'infirmère me tend un peignoir jetable, dans lequel je me sèche très vite. Puis, une fois sec, elle me fait mettre la chasuble du bloc, la charlotte et des chaussons, et me reconduit dans ma chambre. Elle me donne l'ordre de ne pas bouger de mon lit jusqu'à ce qu'on vienne me chercher. L'infirmière prend congé de moi, me disant qu'elle me retrouvera cette nuit.

Un brancardier vient me chercher. Je descends au bloc dans ma chasuble transparente. J'ai froid. Il a la gentillesse de me recouvrir d'un drap pour me réchauffer, et me laisse dans le couloir menant au bloc.

Là, je croise l'équipe médicale qui va s'occuper de moi : les infirmières, l'anesthésiste... Là, on me fait passer de mon lit sur le billard en me soulevant de l'un pour me poser sur l'autre. Dans cette translation, ma chasuble s'ouvre et les personnes présentes ont un aperçu sur toute mon anatomie et mon intimité. Pas une seule personne présente, ne s'est souciée de me cacher ou de me couvrir.

Les deux ou trois jours qui ont suivi l'intervention, je suis resté dévétu. Un simple drap me recouvrait : aucun sous-vêtement sur moi, rien ! Quand on venait me faire une piqûre pour la phlébite la nuit, l'infirmière ne se contentait pas de ne découvrir que la zone où piquer, non ! Elle me retirait complètement le drap !

Durant ce séjour, j'ai été vu dans le plus simple appareil, une bonne douzaine de fois en 4/5 jours. Et je ne parle pas du chirurgien en consultation pré et post opératoire, et lors de ses visites dans ma chambre avec son équipe !

Quelques années plus tard, autre type d'intervention, dans la même zone. Mais cette fois, déçu par l'hôpital privé, je chosis d'aller dans un hôpital public.

Et là, mon dieu ! quelle différence !

D'abord, en consultation pré opératoire, le chirurgien ne m'a pas déshabillé. Bien que pour cette intervention j'ai du être rasé aussi, les infirmières qui me l'on fait, ont fermé la porte derrière elle. Il était interdit de rentrer dans la chambre pendant la durée de l'opération. Et si mon voisin de chambre entrait à ce moment, les infirmières ont tiré un rideau qui séparent ma chambre en deux parties. Le voisin d'à côté ne pouvait donc rien voir !

Après tout cela et les petits examens complémentaires (tension, taille, poids, etc...), l'infirmière m'invite à prendre une douche. Ce que je fais après le dîner : ici, personne pour me contrôler, pour vérifier que j'ai bien pris ma douche. Ici, on fait confiance au malade. C'est un monde bien différent de celui que j'avais connu jusqu'à présent !

La nuit, l'infirmière de garde vient me rendre visite. Elle me demande si j'ai pris une douche, si j'ai été épilé, etc... Je lui dis que oui et elle me croit sur parole. J'ai admiré dans cet endroit, le côté confiance qu'on accorde au patient.

Quand je descends au bloc, après m'être redouché au petit matin avant l'intervention et après avoir revêtu la tenue opératoire, le personnel du bloc a protégé mon intimité jusqu'au dernier moment (avant que je ne m'endorme sous l'effet de l'anesthésie). Je me rappelle qu'à un moment, le drap qui me recouvrait est tombé et que je me suis retrouvé à l'air. Deux infirmières m'ont aussitôt recouvert : elles tenaient le drap pour ne pas qu'il retombe à nouveau.

Et bien que là aussi, je suis resté nu 36 heures, j'étais constemment couvert. Et dès que mon drap glissait, ou tombait, j'appelais une infirmière pour qu'elle remette le drap en position.

Quand une infirmière venait me faire une piqûre pour la phlébite, elle ne me découvrait que le strict nécessaire, et rien d'autre. Même quand elle m'a piqué un soir sur la fesse, elle n'a découvert que quelques cm² de ma peau.

Durant cette hospitalisation, on ne m'a vu nu que le temps nécessaire et obligatoire. Et j'avoue que j'ai beaucoup apprécié cette façon ce traiter les patients. Je l'ai signalé dans le registre de sortie.

D'ailleurs, toutes mes autres hospitalisations ont eu lieu au même endroit.

C'est dire si j'ai aimé...

Chaque établissement a sa façon de travailler.

Chez moi l'hôpital du secteur a mauvaise réputation. Rien n'est expliqué, on est mal soigné. En privé ils sont plus à l'écoute.

Vous n'avez vraiment pas eu de chance, l'un une merveille et l'autre l'horreur, parfois hélas c'est cela la rentabilité des hôpitaux ou cliniques parfois ont tombe sur du personnel serviable et parfois des vrais ipocrites sur le plan de la pudeur, pour ce qui est de la douche obligatoire, un seul fait une bétise tous le monde prend, pour éviter des soucis après l'opérations du à un germe qui n'aurait pas été ôté durant la douche a qui va t'on s'en prendre après l'infirmière qui a fait mal sont travail de vérification et pour ce qui est des piqûres contre la phlébite, théoriquement la nuit il vous réveille que vous et non votre voisin, la qualité des soins sont parfois drastiques (et parfois cool), comme de prendre les cachets devant elle pour se méfier de ceux qui ne les prennais pas, tous cela à cause que certains ne le font pas bien.

Même dans les consultations c'est différent, que ce soit en privé ou en public !

A l'hôpital privé, le médecin m'a examiné en pré-opératoire, quasiment nu. Bien que l'intervention se situait un peu en-dessous du nombril, il m'a fait mettre en slip. Il a voulu vérifié par lui-même le bilan que mon généraliste lui avait adressé. Il a aussi lui-même baissé mon slip et jeté un oeil furtif sur ce que je cachais encore.

Ce fut la même chose en consultation post-opératoire. Ou presque. parce que là, j'ai fini à poil !

Pour l'hôpital public, ce fut bien différent : d'abord, le chirurgien qui allait m'opérer s'est fié au PV de mon généraliste. Il la connaissait (ma généraliste est une femme) et il avait parfaite confiance en son diagnostic. Il ne m'a même pas examiné, il m'a seulement expliqué ce qu'il allait me faire et les techniques opératoires. Je suis resté habillé, je n'ai rien enlevé du tout.

La seconde intervention était prévue, mais ce deuxième chirurgien a toujours refusé de m'opérer (pour un problème de prostate), me disant que j'étais encore trop jeune, pour subir ce genre d'intervention.

Chaque fois que j'allais voir cet urologue, environ 2 fois par an, histoire de bien suivre la prostate, et sur une durée de 2 ans, je ne me suis jamais dévêtu non plus. Lui aussi, connaissait parfaitement ma généraliste et il avait une confiance aveugle dans son diagnostic.

La seule fois qu'il m'a déshabillé, et encore que le strict minimum (j'ai baissé mon pantalon et mon slip de quelques centimètres), c'était pour me faire un toucher rectal et prendre une décision au sujet de l'intervention à pratiquer. Voilà aujourd'hui un an, jour pour jour, que j'ai été opéré.

Et depuis, tout va bien.

Si j'avais à choisir, mon choix serait vite fait ! ! ! ! !

Ma femme Sophie a accompagné notre nièce chez son gynécologue car ses parents étaient partis en week-end. C'était sa première vraie visite, elle a 17 ans.

Ma femme demande à ma nièce si elle veut rester seule avec la gynécologue ou si elle désire être à ses côtés. Celle-ci dit à sa tante qu'elle préfère être accompagnée. Elles entrent donc dans le bureau du médecin, elle la met en confiance, lui pose diverses questions et lui ouvre un nouveau dossier. La gynéco lui dit: "bien tu vas te mettre à l'aise, tu enlèves tes vêtements, slip et soutien-gorge compris". Ma nièce est très gênée, rouge écarlate et nue devant mon épouse. C'est la première fois devant sa tante. En position debout, la gynécologue commence à palper ses jeunes seins, les aréoles sont petites, claires et les tétons sont fins mais raides. Elle fait face à ma femme, elle est plutôt grande, élancée de peau très blanche (voir transparente), blonde et un pubis blond peu fourni.

La gynécologue lui demande de s'allonger sur la table, elle reprend la palpation en position allongée, ses aréoles se sont agrandies. Elle lui palpe le bas-ventre dans un premier temps, puis passe entre ses jambes, elle ouvre ses lèvres et contrôle son clitoris. Celui-ci est assez petit mais dur.

Ma nièce est toujours aussi écarlate de s'être montrée nue comme ça. Ma femme a un sentiment de honte d'avoir assisté cet examen mais elle est aussi émoustillée.

Ma nièce n'a rien dit sur le retour.

Elle est peut être pudique. Surtout pour la première fois chez le gynéco.

Oui en effet elle est assez pudique, elle ne se montre pas nue facilement sauf avec ses 2 sœurs, pour la douche ou se changer.

Un jour je devais passer une radio du bassin. Je me rends dans une clinique et j'attends mon tour dans la salle d'attente; c'est une longue salle étroite avec des chaises et sur le côté, une douzaine de portes donnant sur les radios.

Une de ces portes s'ouvre justement et l'infirmière demande "Mr R.... Pierrino."; je réponds : "c'est moi".L'infirmière me dit :"suivez-moi". J'entre donc dans la cabine et l'infirmière me dit: "déshabillez-vous et ne gardez que le slip". On vous appellera et part en ne refermant la porte qu'à moitié. Je me retrouve donc en slip et patiente.

Un moment, j'entends parler mais ça ne s'adresse pas à moi et j'entends marcher dans le couloir donnant sur les radios; une femme, la trentaine, en slip et les seins nus passe devant ma porte pour se rendre à la radio. Je suis assez surpris de la situation mais émoustillé aussi. Quelques cinq minutes plus tard, j'entends: "retournez dans votre cabine mais ne vous rhabillez pas car il faudra peut-être revenir".Cette dame repasse devant ma porte, les bras le long du corps et je vois sa poitrine. La réaction ne se fait pas attendre, je sens mon pénis se durcir. On m'appelle pour aller à la radio et c'est en érection (visible à la bosse dans le slip) que je me rends dans la salle. Le radiologue m'explique comment ça va passer mais avant de se rendre derrière sa cabine, je vois qu'il a vu que je bande. J'effectue donc les radios, ensuite je dois retourner en cabine et comme pour la dame attendre au cas où les clichés ne seraient pas corrects.

Je ne referme toujours pas ma porte, et la dame est rappelée.Je la revois une troisième fois toujours seins nus. Par contre pour moi c'était fini, j'ai pu me rhabiller. Plus tard sur les clichés, comme c'était une radio du bassin, on voyait une masse blanche qui représentait mon pénis en érection.

Quel souvenir!!

Quel âge ont les soeurs ?

Elles ont 14 ans pour l'une et et 19 ans pour l'autre.

Ok

Que devient notre chacha ? Elle se fait rare ! Nous a-t-elle préparé une nouveau petit Zity comme BettyB il y a environ deux ans ?

Chacha dis nous tout ce que tu veux bien ! Privée de lavements pour bébé ?

Oui car il est né le 26 avril

Compliments chacha et longue vie à ce garçon !

Je fais une coloscopie de contrôle tout les 3 ans, en général j'arrive , on me conduit à ma chambre, on me montre le placard pour mes affaires, sur le lit il y a la chemise d’hôpital et les chaussons en non tissé, je me change dans la salle de bain , je range mes affaires, me couche et l'infirmière vient pour poser la perf , prendre la tension et expliquer la suite des événements.

Pourtant, une fois, j'arrive accompagné de l'infirmière dans ma chambre, l'infirmière plus âgée que d'habitude, fait à tout casser 1m60 et 45 kg, a priori , elle est cheffe, elle entre dans la chambre avec un chariot de soins et j’aperçois le sachet avec la chemise et les chaussons sur le chariot.

Elle ouvre le petit placard, et me demande si j'ai des objets de valeur, je n'ai qu'une montre pas cher, qu'elle place dans le petit coffre pour lequel la combinaison est le numéro de la chambre, je souris devant une telle sécurité. Mais alors que j’attends qu'elle me donne le sachet, elle me dit tout brut tout sec, « mettez vous tout nu, vous enlevez tout même la culotte », je suis surpris, elle me presse, en regardant sa montre, j'enlève mon blouson, elle me le prend des mains et l'accroche au cintre dans le placard, mon pull, qu'elle plie et range sur l'étagère, ainsi de suite, devant l'évidence de l'attente, j'enlève mon boxer qu'elle range avant de fermer le placard et de garder la clef, elle me la rendra après l'intervention. Je pense qu'elle va me donner la chemise, mais non, elle ouvre le sachet et me donne les chaussons, je les enfile et au lieu de me donner la suite, elle me dit que je vais repasser au toilette, je lui dit que je n'ai pas besoin, elle me dit qu'on y va quand même. Je rentre dans la salle de bain, elle reste dans l'embrasure de la porte, « allez y, poussez et ne tirez pas la chasse d'eau ». ce n'est pas évident d'être nu sur le trône avec juste des chaussons en papier face à une inconnue, Je fais juste un petit pipi et je la laisse admirer mon offrande, elle tire la chasse et je repars toujours vêtu que de mes chaussons , dans la chambre. Elle me tend alors la blouse face à moi de manière à ce que j'enfile mes bras et elle attache à priori que le haut. Je me couche enfin.

Lors de ma dernière coloscopie, j'ai été conduit dans la chambre par une infirmière et une aide-soignante. (La cinquantaine)

L'infirmière m'a demandé de me mettre tout nu peu de temps après mon entrée !

Je me suis déshabillé devant elles pendant que l'infirmière me posait quelques questions et notait les réponses sur un dossier.

J'ai enfilé la chemise et l'aide-soignante m'a aidé à l'attacher !

Compliments à vous deux pour vos récits.

Pas de striptease lors de ma dernière coloscopie. J’étais seul et j’ai du dû mettre un tee-shirt et des shorts jetables, les shorts avec une ouverture à l’arrière. J’ai rangé mes habits et autres objets dans un casier sous le lit et ceux-ci m’ont accompagné tout au long du parcours.

Moi ont m'a donné une chemise ouverte que l'ont attache dans le dos ainsi charlotte sur la tête et chausson de flanelle au pied et la pour la première coloscopie j'ai eu droit à une prémédication via une piqûre dans les fesses pour me mettre dans les "vapes" avant que l'ont vienne me chercher pour m'amener au bloc et en arrivant j'ai envie d'uriner donc ont m'a apporté un urinal et une fois au bloc ont m'a mis en position gynécologique et ensuite intraveineuse pour m'endormir et plus rien je me suis réveillé juste dans la salle de réveil avec le brassard de tension et le saturomètre au doigt et comme il faisais un peu froid ont ma déposé sur moi une couverte qui ont sortie d'une étuve chaude et ensuite remis de mes émotions revenu en chambre. Une fois remis de l'opération ont m'a offert un petit-déjeuner et je suis retourné chez moi accompagné en voiture et j'ai du y rester ainsi 24H chez moi sans bouger de chez moi.

Dans le cadre d'une opération du genou, j'ai eu une situation presque similaire. Ma belle-sœur qui est infirmière m'avait prévenu qu'il y aurait un rasage de la jambe et que si je voulais je pouvais le faire la veille, du moment que je n'utilisais pas un rasoir mécanique. J'avais opté pour la crème dépilatoire et fait soigneusement du haut de la cuisse au pied.

Le lendemain on m'installe dans ma chambre et on me dit d'attendre l'infirmière pour la préparation.

Arrive une catcheuse, j'ai beau faire 1m80, elle me dépasse d'au moins 5 cm et doit faire le double de mon poids. Elle me dit de me déshabiller pour le rasage , je lui dit que je l'ai fait la veille, elle me dit qu'elle doit contrôler quand même, j'enlève mes chaussures , chaussettes et pantalon et je lui montre. Aussi sec, elle attrape l'élastique de mon caleçon et le tire vers l'avant, elle regarde à l'intérieur et me dit « et là », je lui réponds qu'on m'a dit que ce n'était pas nécessaire , elle me rétorque que c'est un foyer de germes et qu'il faut raser et donc de me déshabiller entièrement.

Je me retrouve donc nu, avec une catcheuse qui m'épile le pubis et le sexe avec une espèce de tondeuse. Au bout d'un moment elle s'arrête range ses affaires me dit d'enfiler la blouse, qu'elle reviendra pour la douche à la bétadine. Je m'allonge sur le lit en attendant. On toque à la porte , une de ses collègues entre, elle est normale et souriante, elle me demande si sa collègue est passée pour le rasage, je lui réponds que oui, que je l'avais fait à la crème la veille, mais que je m'étais arrêté en haut de la cuisse et qu'elle a fait plus haut. Elle me dit qu'en effet en haut de la cuisse cela suffit, mais que de l'avoir fait moi même était une erreur, que sa collègue n'aime pas ça, parce qu'elle doit marquer sur le planning qu'elle n'a pas fait le rasage. Elle me demande si elle peut regarder, je l'autorise, elle remonte la chemise et je constate avec elle qu'il reste régulièrement des poils. Elle me propose de repasser un petit coup pour éviter les remarques du chirurgien. Elle est plus douce et plus efficace, je me retrouve avec un pubis et un sexe nickel. Alors que je me dis que j'aurais pu éviter tout ça, elle me recommande de bien lui obéir à la douche, si je ne veux pas qu'elle me frictionne elle même.

Quand , elle vient me chercher, j'enfile les chaussons et je la suis au fond du couloir, une pièce avec une toilette et deux cabines de douche, elle me dit d'enlever la blouse et les chaussons, de rentrer dans la douche avec la bétadine et de ne pas fermer la porte parce qu'elle doit vérifier que je fais bien ma toilette. J'obéis aux consignes. Après l'opération, on m'a mis dans une chambre du service et je n'ai plus revu ma catcheuse.

LOL ! Une catcheuse pour l'épilation ! Vous n'aviez pas intérêt à lui résister !

A l'inverse, le respect de la pudeur à l’hôpital peut donner des situations ridicules.

Pour un examen en urologie à l'hôpital, je suis avec l'infirmière dans la salle d'examen, pour m'installer avant l'arrivée de l'urologue ; L'infirmière me demande d'enlever les chaussures et le pantalon, de m'installer sur la table d'examen gynécologique. Le dossier est à moitié relevé et j'ai les jambes complètement allongées. Elle pose au dessus de mon caleçon , un champ en papier non tissé vert grand comme une serviette de table, très fin et elle me demande d'enlever mon caleçon. Dans cette position c'est assez compliqué d'enlever le caleçon sans faire tomber le bout de papier, quand j'y arrive enfin je reste avec mon caleçon à la main, ne pouvant le poser nulle part. Franchement , j'aurais , enlevé mon caleçon , me serais installé et aurais eu le champ après, d'accord j'aurais eu le sexe à l'air quelques secondes , mais ça aurait été moins compliqué. Quand l'urologue arrive , elle m'installe les pieds dans les étriers en remettant en place le champ qui de nouveau glisse à chaque mouvement. A ce moment là , l'urologue s'installe et soulève le champ, ils sont tout les deux face à mon sexe exposé, tout ça pour ça et moi toujours mon caleçon à la main. L'examen fini, elle rallonge mes jambes , replace le champ et me dit que je peux me rhabiller. Comme je me vois mal me tortiller, je descend de la table , renfile mon caleçon et mon pantalon en 10 secondes. Elle paraît perturbée par le non respect de sa procédure, mais franchement, c'est moins ridicule et de toute façon, elle avait assisté à l'examen et connaissait donc déjà mon anatomie.

@Jean_Chris Merci pour ces récits détaillés et vivants. Celui avec la catcheuse fait particulièrement fantasmer...

Une phrase a du tourner en boucle dans ton cerveau " mais qu'es ce que j'ai l'air con avec ce caleçon en main ! "

La prochaine visite chez l'urologue devait être en juin, si je n'oublie pas ce sera dans la conversation avec l'urologue et son assistante que nous consultons depuis 10 - 15 années une à deux fois par an minimum. La pudibonderie reste au domicile, la pudeur aussi, nous avons la même attitude que celle que nous avons lorsque nous sommes habillés lors de ces visites de contrôles ou de soins. Cela fait gagner du temps à tout le monde, et permet une meilleure communication.