Pour relancer le sujet, je livre mon témoignage personnel:
J'ai commencé ma vie sexuelle assez tard, puisque c'est à 21 ans que j'ai pour le première fois fait l'amour avec une fille, qui était nettement plus expérimentée que moi. Nous nous étions connus pendant l'été et avons fait l'amour deux à trois fois par semaine pendant deux à trois mois; Nous habitions chez nos parents respectifs, ce qui posait quelques problèmes logistiques. Christine (prénom changé) se montrait passionnée et a rapidement accepté de prendre mon sexe dans sa bouche, mais elle se crispait dès que je lui carressait les fesses et plus encore sa région anale. En fait, Christine, elle me l'a avoué très vite, était complexée et était persuadée d'avoir un gros cul.
Christine s'était inscrite depuis bien avant notre rencontre pour aller étudier un an en Irlande, ce qui à l'époque (années 1970) était beaucoup moins courant qu'aujourd'hui. Nous nous sommes donc quitté fin septembre en nous promettant de nous écrire (internet n'existait pas) et de nous revoir dès que possible.
Ayant gagné un peu d'argent en donnant des cours dans une boite privée, je suis allé rejoindre Christine en Irlande au printemps suivant. Notre "amour" avait surmonté l'épreuve du temps et nos retrouvailles furent chaudes. Au cours de ce séjour, nous avons passé une soirée mémorable dans un pub de Grafton Street et le lendemain matin, nous n'étions pas très frais. Je m'était cependant réveillé assez tôt et je regardais Christine dormir. Non seulement, elle était allongée sur le ventre, mais en plus, sa chemise de nuit était remontée sur son dos et elle m'offrait le spectacle de son cul splendide, qu'elle seule osait qualifier de "gros".
Je ne pouvais détacher mon regard de ses fesses superbes, dont j'avais révées pendant les six mois de notre séparation. Et ce qui devait arriver arriva.
Je posais mes mains sur les fesses de Christine, qui profondément endormie, ne réagit pas. Puis, les ayant caressées quelques minutes et éprouvées leur infinie douceur, je m'enhardis et écartais doucement les deux globes. J'avais devant moi le spectacle de la chatte et du cul de ma copine.Elle dormait toujours, mais commençait à s'agiter dans son sommeil. Mon coeur battait la chamade et je bandais comme un ane. J'écartais au maximum les fesses charnues de Christine et glissais un doigt dans son rectum, ce qui eu pour effet de la réveillert. "Mais, qu'est ce que tu fais ? " demanda-t-elle, encore somnolante. Je n'écoutais plus que mon instinct et je glissais mon sexe dur entre ses fesses, puis contre l'entrée de ses reins et donnais un coup de rein formidable. Elle hurla: "Non, pas cà, je t'en prie" mais je continuais et entamais des mouvements de va-et-vient dans ce cul superbe. Curieusement, elle abandonna alors toute résistance et se laissa faire en pleurant doucement. Tout en me demandant si je n'avais pas fait une erreur, je m'abandonnais à la satisfaction de sodomiser Christine et je suis venu beaucoup trop vite. Quand je me suis retiré, Christine est restée prostrée et a sangloté pendant un long moment. Je me sentais très géné.
La journée qui suivit fut moins difficile que je ne l'avais anticipée. Comme je m'y attendais, Christine m'a fait la gueule toute la journée sous la pluis dublinienne. Mais, finalement, le soir, elle s'est calmée et nous avons ri ensemble devant un film de Woody Allen diffusé par la télé locale et nous sommes réconcillié "sur l'oreiller".
Pendant les cinq jours suivants, nous avons continué à faire l'amour "normalement". Puis, au cours de notre dernière nuit avant mon départ, Christine m'a demandé: "S'il te plait,, mon amour, encule-moi". Je me suis bien sûr exécuté.