Bonjour, donc, donc à la demande de Mondoi, je vous raconte ce fantasme. Imaginons que c'est ma femme qui raconte :
Nous étions ce soir là, à un concert sur la plus grande place de la ville, la place Jean Jaurès à Saint-Étienne, et un concert d'un groupe de Jazz bien connu dans la région avait ramené beaucoup de monde sur la place. C'était en été, et je portait une simple jupe de tissus Liberty très à la mode en ce temps là. Nous étions assez serrés les uns contre les autres. Les personnes sur ma droite, devant et derrière m'effleuraient doucement au moindre mouvement, et je tentais de me serrer le plus possible à gauche contre mon époux, Lilou. A chacun de mes gestes, je sentait encore ces effleurements involontaires des personnes qui m'entouraient. J'évitais de détourner mon regard du kiosque à musique, car la situation était assez inconfortable et gênante et je ne voulais pas croiser leurs regards. Lilou me tenait par la taille et j'étais blottie contre lui et nous profitions ensembles de ces rythmes soutenus qu'offre le jazz. Pour plus de confort, mon époux lâche ma taille car son bras autour de moi, m'empêchait de changer de position et lui même n'était pas très à l'aise.
Quelques minutes plus tard, je sentais sa main effleurer la mienne et je lui la saisit car car j'adore quand même avoir toujours un contact physique avec lui. Puis, selon ses bonnes habitudes, il me lâcha et remit sa main sur ma hanche. Avec le bout de son doigt, il effleurait doucement, au travers du tissus, l'élastique de ma culotte. Était-ce l'effet de la musique ou ce goût pour les endroits insolites que je lui connais ? Mais sa main descendit doucement et progressivement sur ma fesse droite qu'il caressait d'une main légère. je tournait la tête vers lui pour croiser son regard, mais le sien restait fixé sur les musiciens. Je ne suis pas libertine, et encore moins exhibitionniste, et je déteste ces effusions en public. Tout ces attouchements furtifs des gens qui m'entouraient et la main de mon homme sur les fesses, me faisaient quand même de l'effet, et quand je la sentit à même la peau de ma cuisse, je ne put retenir un frémissement de plaisir. Que m'arrivait-il ? Mon mari me caresse les jambes sous ma jupe en pleine place publique, et je commençait à sentir l'excitation monter et à avoir envie qu'il pousse sa caresse plus loin. Quand sa main, arriva sur ma culotte, je sentait ma vulve s'humidifier et les sensations bien connues dans mon bas ventre commençaient à se manifester. Je ne veux pas qu'il me tripote comme ça ici, mais je crains que si je lui prend la main pour la retirer, je risque de toucher un de mes voisins, et ça, il n'en est pas questions. je tourne mon regard vers lui, pour lui manifester mon contentement, mais, il feins de ne pas le voir, et continu à regarder les musiciens, alors que je sais très bien que détestant le jazz, il n'est venu que pour me faire plaisir. Le plus naturellement possible, je tourne la tête de tout cotés, et personne ne semble avoir remarqué la main de Lilou sous ma jupe, je ne croise aucuns regard, tout le monde est tourné vers les musiciens.
La main de mon mari continue de me caresser les fesses, et comme personne se semble s'être aperçu de rien, je m'abandonne à cette caresse, et me laisse bercer par la musique. Cette fois, je l'ai bien cherché, la tension commence à monter, mon plaisir s'accentue et quand sa main commence en rentrer dans le haut de ma culotte, toute honte bue, je le laisse me caresser les fesses à même la peau. Maintenant je n'en peu plus, je mouille abondamment, et je sens mon entre-jambe humidifier mon slip, qui sous les mouvements de mon mari se plaque bien sur ma vulve et épouse les contours des grandes lèvres.
Cette fois, je suis vaincue, je m’abandonne totalement, et je le laisse accentuer ses caresses sur mes fesses qu'il pétris d'une main plus ferme et lorsque maladroitement et en plusieurs mouvements, il descend ma culotte au ras de mon postérieur, je concentre mon regard devant moi, pour ne pas attirer l'attention de qui que se soit. Je connais bien mon cher mari, et quand ses deux doigts furtifs essaient de passer entre mes jambes, je les ouvre légèrement, juste assez pour qu'il puisse accéder à ma fente inondée.
Je suis bien lubrifiée, et ses doigts ne trouvent aucun remparts pour s'insinuer entre mes lèvres et il me caresse doucement du vagin au clitoris, et je dois me concentrer pour ne pas gémir. Ma respiration s'accélère toutefois, et je tourne mon regard vers mon homme qui cette fois me gratifie d'un tendre sourire et me donne un doux baiser sur le front. Ses doigts naviguent de mon clito à mon vagin, et quelquefois l'un deux s'insinue dedans et après deux ou trois va-et-vient reprennent leur ballet. leurs mouvements grandissent, et ses doigts plein de mes liqueurs poussent leurs promenade jusqu'à mon petit trou qu'ils caressent alternativement avec ma chatte et mon clito. Mon plaisir est à son comble et je crois que je vais jouir. Comment faire pour en profiter pleinement sans me faire remarquer ? Je pince les lèvres et en respirant simplement par le nez, je laisse la vague me submerger. J'essaie de contenir les soubresauts de mon bas-ventre, pendant qu'un doigt s'attarde sur mon clito et m'entraîne encore plus loin dans la tourmente. Mes entrailles se tordent à la limite de la douleur, inondant encore plus les doigts de mon époux et mon entre-jambe, puis lorsque la tempête arrive à son apogée et commence à redescendre, sa caresse sur mon clito, se fait plus légère et ses doigts recommencent à se promener de mon petit bouton à mon anus dans un geste apaisant. Encore quelques instants ces attouchements voluptueux, et ses doigts se retirent, m'abandonnant à mon bien-être. Il me laisse ainsi, et je dois moi-même remonter ma culotte, que je remets en place à moitié, alertant mon voisin de derrière qui me donne un sourire plein de sous-entendus. je réalise avec effroi, qu'il a du suivre notre manège et n'a pas du en perdre une miette.
Je suis dans un état de honte dont je n'ai pas les mots pour vous décrire... Que doit-il penser ? Me prendre pour une bonne salope qui se laisse doigter en public , certes par son mari, mais comme ça au milieu d'une place publique ? De plus, Sainté n'est pas une grande ville, et on rencontre à peu près toujours les mêmes gens lorsque l'on vas dans ce genre de manifestation. Je n'en peu plus, je suis terrorisée et demande à mon Lilou de commencer à quitter la foule pour se rapprocher de la voiture et ne pas être coincer là à attendre que la foule s'évacue. Il marche devant moi, m'entraînant par la main, et me retournant, je croise encore une fois le regard de cet homme qui me sourit et doit penser des choses affreuses de moi. Malgré tout, dans mon fond intérieur, et tout en m'en sentant coupable, je suis très heureuse de cette situation imprévue dont je n'avais jamais goûté le plaisir qu'elle puisse procurer, et j'ai hâte de me retrouver seule, avec mon homme pour la chose ou nous l'avons laissée. J'ai envie qu'il me prenne, ce qui n'était pas possible au milieu du concert et nous aurait certainement attiré de gros ennuis.
Arrivé à la voiture, je dis à mon homme :
-Vivement que nous soyons à la maison, j'ai très envie de toi suite à toutes ces caresses que tu m'as données tout à l'heure..
-Quelles caresses ?
-Comment, quelles caresses ? Tu me fais jouir au milieu de la foule et tu fais l'innocent ?
-Qu'est-ce que tu me racontes ?
-Mais... Mais, ce n'était pas toi qui m'as baissé ma culotte tout à l'heure et m'as masturber ?
-Holà, je crois qu'il y a un malentendu, tu en as trop dis et pas assez. Que s'est-il passé ?
Là, je suis bien obligée de lui raconter ces caresses, ces attouchements, puis enfin ma jouissance en lui disant bien à chaque phrases, que je croyait bien qu'elles venaient de lui, et partant de ça, que j'y ai pris un plaisir immense et que j'avais rarement jouis de la sorte.
Je suis obligée de lui citer cet homme derrière moi, qui m'a sourit lorsque nous sommes partis, et que vu sa position juste derrière moi, c'était sans aucun conteste lui qui a osé me branler. Devant la colère de Lilou, je ne sais plus qu'elle attitude avoir, je suis dans un état de culpabilité sans nom. Je l'ai pour ainsi dire trompé, moi qui n'ai jamais eu un regard pour un autre homme que lui. Que va-t-il faire ? Le connaissant, je m'attends au pire.
Contre toute attente, sa colère semble redescendre subitement et faire place à un regard plus que lubrique.
-Mais... Tu y a vraiment pris du plaisir ?
-Totalement à partir du moment ou pour moi, c'était toi.
Il me demande alors de lui raconter tout ça sans oublier le moindre détail. Et me voilà donc à renouveler mon récit, sentant ma vulve s'humidifier en retour et cette fois, c'était bien les doigts de mon maris qui me fouillaient, aucun doute, il n'y avait, cette fois, personne autour de nous..... Dommage !!