Je crois que le second volet de ma visite scolaire tardive à l'âge adulte fut la plus éprouvante et la plus humiliante, toute la partie avec le médecin. Autant que je me souvienne, il s'agissait d'un homme dans la cinquantaine, petit, rondouillard, aux cheveux gras et aux mains chaudes. Il nous a reçus mon épouse et moi très respectueusement, faisant même remarquer que ce n'était pas tous les jours qu'il recevait un aussi "grand" élève mais qu'il ne changerait en rien ses habitudes ni le protocole d'examens qu'il se devait de respecter. J'allais rapidement découvrir que c'était plutôt en décalage avec mon âge.
Suivant une fiche qu'il s'appliquait à remplir scrupuleusement, il commença par me poser tout un tas de questions concernant ma vie de famille, mes études, si j'arrivais à gérer une vie de famille en même temps, si je trouvais bien le sommeil, si je fumais, buvais... si j'avais à lui déclarer d'éventuelles pathologies: je lui ai simplement répondu que parfois j'avais quelques tendances hémorroïdaires.
Puis examen de ma tête: oreilles, nez, bouche et gorge.
Toujours en slip et chaussettes, les habituels examens au stéthoscope pour prendre la tension, écouter le coeur ainsi que les poumons.
Divers autres examens les yeux ouverts ou fermés mains tendues à marcher, se baisser, reculer... Assis au bord de la table, les réflexes; étendu, un examen minutieux de la peau puis des viscères.
Puis à nouveau debout pour vérifier mon dos et ma souplesse.
Le médecin s'est alors rapproché de moi, s'asseyant sur un siège et le faisant rouler afin de me faire face. Sans vraiment m'avertir et d'autorité, il m'a saisi le slip de chaque côté au niveau des hanches et l'a baissé à mi-cuisses. J'ai été aussi surpris que mon épouse qui regardait et cela m'a bloqué, m'interdisant toute réaction immédiate de protestation.
A ce moment-là mon sexe ne présentait pas un état flatteur. Recroquevillé avec les bourses, une fois libéré il avait du mal à pendre normalement.
Le médecin m'a demandé de sautiller légèrement sur place, sans doute pour que tous les organes reprennent mieux leurs places. Il a tâté mon pubis en appuyant assez fort. Il m'a palpé tour à tour chaque testicule en en pressant les canaux. Armé d'une sorte de collier comportant des olives de différents volumes il en a comparé la grosseur avec mes testicules. Testicules qu'il a ensuite fait remonter dans mon abdomen avant de me demander de tousser. Ce n'est guère agréable et la pression était telle que j'avais mal.
Muni d'un mètre-ruban le médecin m'a mesuré la longueur de la verge puis l'a saisie pour la regarder. Il m'a demandé comment je la tenais pour faire pipi.
Sans que je n'ai eu le temps de réaliser ni de protester, il m'a à nouveau saisi la verge en pinçant le prépuce pour le ramener en arrière. Je précise que je suis assez serré à ce niveau avec de légères adhérences sur la couronne.
J'ai donc eu par réflexe un mouvement de recul que le médecin a aussitôt réprimé d'une main sur mes fesses.
Loin de lâcher prise, il a poursuivi son geste coupable, me décalottant complètement le gland au-delà de la couronne que le prépuce étranglait.
J'ai ressenti une douleur fulgurante comme jamais à cet endroit si sensible, ajouté à la douleur morale que j'endurais à subir cela en présence de mon épouse.