Examiné(e) nu(e) à l'hôpital devant des personnes.

Bonjour,

Est-ce que vous avez déjà était examiné(e) nu(e) devant des personnes de sexe opposé autre que le personnel médical ? Comme être déshabillé intégralement dans une chambre devant une patiente de sexe opposé ou bien devant la famille de cette dernière ou des visiteurs ?

Cordialement.

Non jamais. Jusqu'ici je n'ai jamais fait de séjour dans un hôpital (je croise les doigts pour que ça continue).

J'avoue que je ne sais pas trop comment je réagirais. Surtout si des femmes se trouvaient dans l'assistance. Et encore plus si elles pouvaient me plaire !

Je n’imagine pas que cette situation puisse arriver, à part lors d’une urgence, où la vie d’un patient importe plus que sa pudeur. Dans ce cas, je pense que les personnes étrangères sortiraient de la chambre sans même qu’on leur demande.

Moi non plus je n'ai jamais été confronté à une telle situation, mais je sais pas comment je réagirais, sans doute je prendrais un certain plaisir, mais je pense une grande honte car je suis extrêmement pudique, trop d'ailleurs.

Il y a quelques années, je suis allé voir ma mère hospitalisée pour une broutille, une opération de la cataracte, et elle devait rester quelques heures après l'opération.Je me suis donc rendu dans sa chambre, il y avait une dame de 40/45 ans qui quittait, elle s'est levée et s'est habillée sans pudeur devant nous et effectivement j'étais très gêné par la situation.Je n'ai vu que ses fesses.

Moi non plus. Par contre, j'ai assisté, il y a quelques années à l'intervention des services de secours chez ma voisine,10ans plus jeune que moi.

En fait, elle avait fait un malaise assez important; elle était seule chez elle car malade et moi seul chez moi en congé car j'avais quelques petits travaux à finir.

Elle me téléphone pour venir chez elle car elle ne sentait vraiment pas bien; comme nous avons chacun un double de clé de nos maisons au cas où.

Donc, j'arrive et la vois pliée en deux dans son divan; elle a à peine le temps de me dire ce qu'elle ressent qu'elle perd connaissance. J'appelle le samu qui arrive environ dix minutes plus tard. Je vais leur ouvrir la porte et les amène dans le salon; entretemps elle a repris connaissance. Les secouristes ont pensé que j'étais le mari car le médecin commence à l'examiner devant moi. Il lui prend d'abord la tension ensuite soulève la blouse de pyjama, elle ne portait pas de soutien-gorge, j'aperçois alors ses deux seins bien fermes. Il l'ausculte, lui demande quelques détails complémentaires sur son état et ensuite baisse son pantalon de pyjama pour une palpation; je vois qu'elle a le pubis épilé complet et le début de sa vulve.

Ensuite, le médecin décida de l'embarquer à l'hôpital, pour des examens complémentaires. En fait, elle faisait une crise d'appendicite et elle a été opérée dans la foulée.

Nous n'avons jamais reparlé de ce moments de visite du médecin, je ne sais donc pas si elle sait que j'ai vu son intimité.

Mais pour moi, je n'ai jamais oublié ce moment!

Moi jamais devant une personne du sexe opposé, autre que le personnel médical

Une seule fois devant une personne du même sexe (mon voisin de chambre).

Pierrino, chaque fois que je relis votre récit, j'en tremble d'excitation. J'imagine si bien la scène. La palpation du ventre. Surtout en pyjama, cela prend une autre dimension.

Je n’imagine pas que cette situation puisse arriver, à part lors d’une urgence, où la vie d’un patient importe plus que sa pudeur. Dans ce cas, je pense que les personnes étrangères sortiraient de la chambre sans même qu’on leur demande.

Lors d'une conversation banale avec une amie il lui est arrivé une situation similaire.Elle est commerçante dans le domaine des objets d'arts ,"antiquaire" et un client, un habitué qui parlait souvent avec elle a dû être hospitalisé.Il lui avait demandé de venir lui rendre visite n'ayant plus de famille, de plus cette personne était relativement âgé, à peu près 70 ans.Elle est venue lui rendre visite est elle est rentrée dans la chambre en tapant à la porte.Les infirmières ont répondu : " entrez " ce qu'elle a fait.Et elle a vu ce pauvre monsieur tout nu auquel on changeait sa couche.Elle était remplie de honte pour le monsieur et lui d'ailleurs également. On lui a dit que ce serait bientôt terminé et qu'elle pouvait poser les fleur sur le chevet à côté et de mettre de l'eau dans le vase vide. Une fois le vase reposé elle voulait quitter la chambre et on lui a répondu que ce n'était pas la peine car il restait 2 minutes. Cette personne a préféré détourner le regard et elle est partie vers la fenêtre regarder dehors, le temps que le soin soit terminé.

Cet hôpital était réputé pour la piètre qualité de ses soins . Il a fermé depuis et fut détruit pour construire des logements.

Je comprends que ça ait fermé. C'est complètement inadmissible.

Je n'ai jamais été opéré moi-même, mais j'ai plusieurs fois visité des personnes hospitalisées, dont des gens très proches (père, mère). Lorsque l'heure de la toilette arrivait, on m'a toujours demandé de sortir si j'étais dans la chambre, même lorsqu'il s'agissait de mon père et de ma mère (ce que je faisais de bon coeur de toute façon, j'ai déjà vu mes parents nus mais ce n'est pas le genre de "spectacle" auquel j'avais envie d'assister). Et je trouve ça tout à fait normal.

Je comprends que ça ait fermé. C'est complètement inadmissible.

Je n'ai jamais été opéré moi même, mais j'ai plusieurs fois visité des personnes hospitalisées, dont des gens très proches (père, mère). Lorsque l'heure de la toilette arrivait, on m'a toujours demandé de sortir si j'étais dans la chambre, même lorsqu'il s'agissait de mon pèrte et de ma mère (ce que je faisais de bon coeur de toute façon, j'ai déjà vu mes parents nus mais ce n'est aps le genre de "spectacle" auquel j'avais envie d'assister). Et je trouve ça tout à fait normal.

Je ne suis pas sûr qu'avec les enfants ou les personnes âgées que le personnel ne respecte pas totalement la pudeur des patients. Quand on est enfants il y a toujours un médecin pour te déshabiller devant les parents et la famille et quand tu es vieux ces mêmes soignants ne s'embêtent pas tellement avec la pudeur des personnes âgées.

Concernant les personnes âgées, je peux confirmer que le personnel des maisons style Ehpad n'est pas toujours bien formé, ni forcément scrupuleux pour tenir compte de la pudeur d'hommes ou de femmes pensionnaires. Pour avoir visité certains endroits, il n'est pas rare de découvrir une vieille dame ou un vieux monsieur changé sans paravent, presque devant tout le monde.

C'est surtout déstabilisant pour les gens de ces générations là, et mais même en payant un maximum, on n'est jamais certain de la manière dont ils/elles sont traités.

Un scandale de plus dans notre belle société....

Miramas,

ce n'est pas parce que le personnel ne respecte pas les enfants (à la rigueur je peux le comprendre, ils n'ont de toute façon pas encore vraiment conscience de leur corps ni de vraie pudeur) ni les personnes âgées que c'est bien. Surtout concernant les personnes âgées. Parce qu'on est vieux on n'a plus droit au respect ? J'aurais justement pensé le contraire moi.

Je suis pudique aujourd'hui et je le serai très certainement une fois vieux ("si Dieu me prête vie" comme dirait ma grand-mère). Et si je suis dans un de ces établissements, j'apprécierais grandement qu'on montre un minimum de respect pour ma personne et ma pudeur. C'est quand même supposé faire partie de leur métier.

J'ai connu une expérience de la sorte lorsque j'ai été hospitalisé alors que j'étais en classe de seconde.

Une intervention chirurgicale suite à une vilaine fracture osseuse m'avait fait passer une quinzaine de jours à l'hôpital.

J'avais passé la quasi totalité de ces quinze jours allongé dans mon lit d'hôpital.

La tenue vestimentaire était assez rudimentaire car composée uniquement d'une espèce de chemise d'hôpital (il me semble me souvenir d'une couleur tirant sur le vert) qui descendait assez bas c'est-à-dire à mi-cuisses environ.

Mais c'était là le seul vêtement porté, il n'y avait donc pas de sous-vêtements.

Cela n'était pas très gênant dans la mesure où l'essentiel du temps était passé allongé sous le drap du lit.

Toutefois un souvenir intéressant aujourd'hui mais qui à l'époque ne convenait pas vraiment à l'adolescent pudique que j'étais fut lorsque un jour une équipe composée de deux infirmiers (ou aides-soignants peut-être, car cela me paraîtrait plus normal) un homme et une femme, jeunes tous les deux, était venue me refaire le lit.

Il n'y avait pas d'autre moyen que d'enlever le drap pour le remplacer par un nouveau drap propre. Mais cette jeune équipe m'avait aussi fait retirer en même temps la fameuse chemise qui était mon seul rempart.

J'étais donc entièrement nu allongé sur le matelas, le lit étant entièrement à refaire ...

Les deux aides-soignants étaient très occupés entre eux et malgré mon inexpérience de l'époque j'ai vite compris que ces deux là étaient un peu plus que simples collègues, ils avaient en effet l'air d'être assez proches l'un de l'autre et en séduction l'un par rapport à l'autre.

Aussi alors que j'étais laissé ainsi à mon triste sort ils cherchaient dans un rangement de la chambre les nouveaux linges qui m'étaient destinés.

C'est à ce moment là que l'infirmière cadre (dont j'estimais qu'elle était leur chef à tous les deux) une femme d'une cinquantaine d'années qui en imposait par son autorité naturelle a fait son entrée dans la chambre. Visiblement elle n'était pas du tout d'accord avec la méthode des deux tourtereaux qui ont pris un savon mémorable de laisser un patient ainsi exposé à la vue de n'importe quelle personne qui aurait pu entrer dans cette chambre, comme d'ailleurs ce fut le cas de l'infirmière cadre. Cette dernière s'était adressée à moi, je m'en souviens très bien en me demandant si la situation ne me dérangeait pas et entendant ma réponse quelque peu embarrassée en a conclu que oui (ce qui était le cas) redoublant d'invectives auprès des aides-soignants.

Que de chemin parcouru depuis, car une situation "subie" lors de l'adolescence me procurerait aujourd'hui très certainement une grande satisfaction ...

Dans un hôpital en plein travaux,aux urgences une veille de Noël ,dans des locaux provisoires je me suis retrouvé à presque 30 ans ,à être examiné pour une prostatite à la vue d'autres malades et de leur famille.

J'ai eu droit à un toucher rectal et j'ai croisé furtivement quelques regards curieux ,situation vécue très gênante.

Cela venait du fait que les locaux dans lesquels avaient provisoirement été transférées les urgences n'étaient pas adaptés.

J'ai fait un récit détaillé de cette visite dans cette rubrique,mais erreur de manip? Mon récit n'a pas été publié.

j'ai fait un récit détaillé de cette visite dans cette rubrique,mais erreur de manip? mon récit n'a pas été publié

Ne pourrais-tu pas ré-écrire ton histoire ,avec les détails de la situation, ton sentiment de gêne ou d'excitation ?

Veille de noël,un samedi,faute d'avoir trouvé un généraliste je me rends aux services des urgences d'un hôpital.

Deux jours plus tôt j'avais consulté une toubib pour des brûlures urinaires .Au lieu de s’améliorer mes brûlures deviennent insupportables.

L’hôpital le plus proche est en pleine réhabilitation,le bâtiment de cet hôpital doit dater du 19 ème siècle,aussi le service des urgences a été transféré dans des locaux provisoires.

On accède aux urgences par une porte,on entre dans un grand hall dans lequel une cohorte de brancards occupés par des personnes âgées semblent attendre une place dans un service.

Sur le coté il y a une grande pièce ou on peut apercevoir des tables d'auscultations séparées par de maigres paravents,il y a des personnes en soins.

face a ce spectacle

Je m’apprête à faire demi-tour quand une infirmière me demande si c'est pour une consultation et me dirige vers une pièce minuscule pour faire les documents administratifs.Elle me questionne sur le motif de ma venue,je lui explique mes problèmes de brûlures.

Elle me dit qu'un interne va venir m'examiner et elle me dirige vers cette grande salle où j'ai aperçu des tables d'auscultation,elle en profite pour me dire nous sommes dans des locaux provisoires,on campe ,ce n'est pas l'idéal.

Effectivement cette salle n'est séparée du grand hall que par un couloir d'à peine 2 m de long et il n'y a même pas de porte,pire quand je pénètre dans la salle je vois au total 4 tables d'auscultation,dont 2 occupées,l'une par une vielle dame le visage en sang ,l'autre par 2 parents accompagnés d'un jeune garçon d'une douzaine d'années en slip.

L’infirmière me désigne une table qui fait presque face au petit couloir qui sépare le grand hall dans lesquels défilent les familles qui viennent voir leurs vieux allongés sur les brancards,les petits paravents n'arrivent pas à cacher totalement des regards,elle me dit:

- déshabillez vous entièrement , l'interne va venir.

Je m’exécute non sans difficulté,pas facile de se mettre nu dans ces conditions.Je m'assoie nu en bout de table en prenant garde de cacher mon sexe.

L'interne arrive et se dirige vers le jeune garçon d'une douzaine d'années,il lui demande de retirer son slip pour l'examen,les maigres paravents ne suffisent pas à masquer ce garçon chétif mais sacrément bien membré,largement plus que moi en tout cas,surtout que stress,émotivité aidant,mon pénis est complètement rétracté comme si il faisait -50° C.

La visite du jeune garçon se finit par un : "on va t’opérer de l'appendicite , rhabilles- toi on va te transférer en chirurgie." Bravo pour l'intimité.En plus on entend tout.

L'interne arrive vers moi,et me demande ce qui m'arrive. Je luis explique en prenant soin de parler à voix basse.

Il me fait allonger et commence à m'examiner la verge,puis il me dit :

- vous a-t-on fait un toucher rectal?

- Ben non!

Il enfile des gants latex,met du lubrifiant,me fait replier les jambes,met une main au niveau de mon pubis et introduit son doigt dans mon anus.Je ressens une douleur au contact de la prostate . Mais je croise des regards furtifs dans ma direction . Je vois sourire entre eux les parents et le jeune garçon. Je ne peux m’empêcher de penser que c'est à mon sujet ,certainement a cause de la taille de mon pénis ,et je suis hyper gêné.

en tout cas si ce n'est pas cela ils ont forcement vu que malgré mes presque 30 ans je ne soutenai pas la comparaison avec leur enfant .

Le toubib me dit :

- c'est une prostatite aiguë,ça va être long à passer.

Cette histoire est vraie.Si je n'avais pas souffert le martyre et si cela n'avait pas été un samedi 24 décembre,

j'aurai filé vers un autre hôpital,car suite aux travaux cette installation provisoire des urgences ne garantissait aucune intimité.Je ne sais pas combien de personnes ont pu me voir examiné,certainement pas mal.

Lors d'un séjour à l'hôpital à la suite d'une chute de ma plateforme où je me suis cassé le fémur, j'ai reçu la visite du chirurgien assisté de différents internes et de l'infirmière. Le chirurgien me pose différentes questions quant à mon état, suite à l'opération et pose de matériels. Ensuite, il retire le drap, pour regarder les plaies mais comme j'étais vêtu d'une chemise d'opéré, mon sexe était complément visible (dans sa phase la plus rétractée). Cela dure plusieurs minutes, le temps qu'il explique ce qu'il a fait pendant l'opération. Cependant, le rideau me séparant de mon voisin de chambre, n'avait pas été tiré complétement et j'ai aperçu la fille de mon voisin (la trentaine) qui était passée voir son père, quelques minutes comme chaque jour. Celle-ci ne perdait rien du spectacle offert de façon discrète. A la fin de la visite, suite à ce voyeurisme, qui ne m'a pas déplu, mon pénis était en demi érection!

Bonjour, moi sa met arrivé, je me suis fait opére un matin vers 9 heures. Ma femme est venu me voir pendant midi, l'infirmière passer de temps en temps pour voir si tout allé bien, très gentille elle discutait avec ma femme car moi j'étais encore sous les effets de l'anesthésie. Ma femme repart à son travail.1/2 heure après arrivé la femme de mon voisin qui lui était au bloc. La femme s' assoie sur la chaise entre les 2 lits, on commence à discuter. L'infirmière rentre dans la chambre me demande si sa va, je lui dit que j'ai mal au ventre ou j'ai été opéré. La elle retire le drap qui est sur moi pour m'examiner. Je me retrouve nu sur le lit devant la femme de mon voisin. L'infirmière avait cru que s' était ma femme, toute les 2 était blonde. Mais la femme ne se retourna pas et continué à me regarder.

Il y a quelques mois, ma femme a dû être opérée à la colonne vertébrale et est restée une semaine en CHU. Le 2ème jour, le personnel la lève du lit fait quelques pas dans la chambre puis l'assied au fauteuil. Quelques heures plus tard, elle a besoin d'uriner, je vais chercher une infirmière pour m'aider. Elle arrive, la porte de la chambre est grande ouverte et chacun d'un côté de ma femme, on la conduit dans la salle de bain/wc. La porte est entièrement ouverte aussi car nous sommes entrés à 3 + le pied avec les poches de perfusions. Je soutiens ma femme face au wc et l'infirmière lui descend la culotte complètement exposant son sexe et à 2 descendons ma femme sur le wc. Idem dans l'autre sens quand elle a fini. Pendant tout ce temps, les 2 portes sont restées grandes ouvertes, et du wc, on a une vue directe sur le couloir, et plusieurs personnes sont passées. Certaines ont bien vu ma femme culotte baissée lorsqu'elle était debout !

Oui moi j'ai été examiné nu à plusieurs reprises.

bon il fallait

J'ai été examiné nu plusieurs fois également et je ne trouve rien d'anormal à cela.

Ceci devrait être systématique !

Bonjour

j'ai connu celà , bien agréable aussi celà