Ma préférence est sans doute de recevoir le lavement, complètement nu, quoi que ….. je m’explique ; je ne sais pas si ça n’a que voir avec le fait que de petit je recevais le lavement, déshabillé (imposé par ma mère), mais « en parallèle », étant donné que j’ai développé aussi un autre fétiche, lié au lavement, celui-ci a aussi un rapport avec l’être habillé ou pas. Je reviendrais plus en avant sur le sujet.
Parfois, il y a longtemps, quand je me faisais donner un lavement par une infirmière à domicile (avec des fausses prescriptions médicales), la lavementeuse m’indiquait juste d’enlever le pantalon ou même seulement baisser la pantalon, une fois sur la table d’examen. A vrai dire, ça quittait un peux « de la charme » à la situation. Souvent, quand cette dernière situation se présentait, la lavementeuse n’était pas trop disposée de prodiguer le soin ; vite fait, bien fait !
En tout cas, dans la grande majorité des cas, le lavement m’étais donné, tout déshabillé.
En pratiquant solo, la même chose, sauf à certaines époques, ou je m’administrais le lavement, dessous nu, vêtu d’une blouse en nylon, (blouse de travail en nylon, lesquelles étaient d’utilisation courante, pendant les années 50 à 80), ce qui est mon autre fétische.
Ce « déguisement », (souvent une blouse blanche de médecin ou infirmier), étant donné qu’il reppresent une source d’excitation supplémentaire, a tout de même l’inconvénient que la blouse même doit être remontée pour laisser l’accès à l’anus et partiellement ouverte devant, pour, selon l’envie, me donner à la masturbation. En réalité, ces inconvénients, comme je viens de le mentionner, quittent quelque peu « de la charme ». Toujours en considérant la blouse nylon en tant que fétiche, un compromis est de porter une blouse boutonnée au dos (naturellement en nylon), puisque, en ouvrant les derniers 2 boutons au dos, en bas, l’anus reste dégagé et si l’envie de toucher les génitales est présente, il suffit du soulever la blouse devant.
Aujourd’hui je pense que lavement et nudité vont ensemble ; finalement, le lavement, il s’agit bien aussi d’un acte de « purification » du corps, donc pourquoi le « cacher » avec des habits ? En plus, après un nettoyage de l’intestin, je prends une douche et je peux ainsi passer d’un acte à l’autre, sans interruptions.
La jouissance est certainement aussi présente, habillé avec une blouse nylon, toutefois comme je veux bien faire attention à ne pas la salir (la blouse) pendant le réception du lavement, la jouissance, étant nu, est encore plus intense.
Par contre, et je sors brièvement du sujet, même si relation il y a, la lavementeuse doit être vétue d’une blouse, sans laquelle, l’excitation est moindre. En fait, quand je me faisais donner des lavements, j’amenais toujours une blouse nylon à la session et souvent j’arrivais à convaincre la donneuse, de la porter pendant le soins. J’avais entre autres comme prétexte que ça pouvait arriver que je lâchais le liquide, avant d’arriver à la toilette et que j’avais amené une blouse, pour qu’elle puisse se protéger et que ainsi c’est aussi plus hygiénique.
Qu’est qu’on s’invente tout pour arriver à ses fins, autant plus, s’il s’agit d’un fétiche ?
Mais voilà, chaqu’un avec ses préférences ; peut-être que dans le fétiche « médicalisé », la nudité du receveur est aussi plus en accord que le lavement exercé dans d’autres domaines de caractère fétiche.
Être nu pendant le lavement permet aussi visualiser des détails que les adeptes souvent considèrent comme (très) excitants : en fait, une canule muni d’un robinet et son long tuyau en caoutchouc, sortant d’un anus tout dégagé, donc sans culotte baissée, reste néanmoins pour beaucoup, quelque chose de très sensuel. Il y a aussi un côté pratique ; on ne risque pas de salir les habits, et encore, s’il y a manipulation génitale, « la voie est (encore) plus libre ».
L’infirmière (ou le/la donneur/euse) peut aussi prodiguer des massages ou attouchements, plus à l’aise.
Thony