Un début d'après midi au camping, le plus calme aux sanitaires, mon épouse étant partie à la plage, j'en ai profité pour aller aux douches et me faire un lavement à l'aide de mon bidon rando avec tube flexible...
750ml d'eau et une goutte de shampoing douche, un plaisir injecté par petites pressions successives, en alternance avec les caresses d'une masturbation lente, tout ça sous le jet chaud de la douche, peinard, les wc juste à côté, il n'y avait personne...
J'avais absorbé la totalité du liquide et branlais plus vigoureusement ma verge, mais retenant l'orgasme pour me finir aux toilettes, les signaux d'une prochaine expulsion commençaient à prendre le pas sur mon plaisir onaniste et je me rhabillais rapidement pour aller évacuer à mon aise, dans le silence des sanitaires dépeuplés...
C'est à ce moment qu'est arrivée l'équipe de nettoyage, j'avais complètement oublié leurs horaires de passage, deux jeunes, la vingtaine, un gars et une fille, que je connaissais peu mais qui avaient un "certaine" humour concernant la l'hygiène des campeurs et ce qui ce passait entre eux sous les douches et wc...
Le lavement poussait à la porte et entre deux crampes, j'entendais leurs commentaires égrillards imagés, illustrés de sous entendus sexuels à connotation scatophiles, la honte de ne plus pouvoir me retenir et d'être entendu me vidant dans les douches me classait d'emblée dans la population dont ils se moquaient...
Il me fallait réagir avant qu'il ne soit trop tard, bientôt je ne pourrai plus serrer les fesses, le campeur a toujours du papier toilette dans une poche, sauf ceux qui se baladent ridiculement avec leur rouleau de PQ à la main, symbole ostentatoire de leur envie de faire popo...
Je me servais donc du mien fort à propos, le roulant en tampon pour me l'insérer dans l'anus, afin d'éviter toutes fuites dénonciatrices en passant devant eux, puis j'ouvrais la porte de la douche, me massant le ventre comme victime d'une douleur, ce qui n'était pas faux..
- Bonjour Monsieur... - Bonjour les jeunes... ils étaient bien polis quand même et observateurs, la jeune fille me demande si ça allait...? je lui répond que non, pas trop... et là, idée de génie, malhonnête mais salvatrice, je leur demande s'ils ont déjà mangés au "Bouis-boui untel" sur la plage, car je pense que ça vient de là...
Ils me répondent que oui, que c'était bien, qu'ils n'ont pas été malades, mais ni une ni deux, les voilà qui sortent à reculons, me disant "gênés" qu'ils reviendrons finir plus tard, c'est ainsi que venant d'échapper à l'opprobre et à la moquerie, j'ai expulsé mon lavement avec le plus grand plaisir...