Aborder cet aspect de la question est évident, même si beaucoup ont de la réticence à l'évoquer.
A l'origine, la raison du lavement est...la constipation bien sûr, avec l'effet radical et naturel d'un tel traitement.
D'autre part, les jeux sexuels, caresses, etc, sur la zone anale, lorsqu'ils aboutissent au désir de pénétration de l'intimité en viennent aussi au traitement par le lavement, qui peut se limiter à la seule nécessité, ou devenir l'occasion de désirer des jeux très coquins lorsque chacun y consent, ou le veut; mais pour moi,ces circonstances sont accessoires à l'origine d'une séance de lavement.
Et lorsqu'un lavement est nécessaire par origine plutôt que pour un motif accessoire, les jeux y sont bien particuliers...Bien entendu, tout devient alors particulier à ces jeux osés :
- le motif qui rend nécessaire un lavement;
- ...au préalable, tout ce qui aura permis de savoir qu'il y a motif à faire cela;
- la complaisance à laisser voir ce qui se prépare...
- le fait de donner le lavement...en prenant tout le temps qu'il faut à faire une telle chose !
- les conséquences du lavement, gonflement honteux du ventre, rétention imposée, " douleurs exquises ";
- tout ce qui concerne le rendu du lavement;
- l'insertion régulière, à chacun de ces temps, de moments où le plaisir sexuel lié au sort de la personne lavementée apparaît sur elle ( érections chez un homme, pour une femme mouillure de la fente, gonflements des lèvres et du clitoris, durcissements des mamelons ). Que ce plaisir soit avoué ou honteux, il est en tout cas montré, et peut être souligné oralement à la personne qui en connaît les effets sur elle pour bien lui faire comprendre qu'on réalise parfaitement ce qui se passe pour elle...Ce plaisir peut être malicieusement renforcé, à chacune des étapes, par l'action et les gestes de la main et des doigts ou d'objet portés comme il le convient pour rendre le plaisir bien apparent, bien montré donc, que le sujet en ait honte ou qu'il y soit serein dans ce plaisir.
Alors oui, pour un tel lavement, et qu'il soit justifié, il faut une constipation, plus ou moins forte...plus ou moins expliquée. Un lavement à cause d'une ampoule rectale encombrée est l'occasion de jeux imaginatifs, très forts en émotions des plus intimes pour chacun. Que la personne qui reçoit le lavement se taise, ou mente au début, qu'elle semble se rebeller à un moment et se voir mise sous contention partielle pour qu'on puisse lui administrer tranquillement le lavement qu'il lui faut, il y a dans ces jeux osés et bien particuliers c'est vrai, un mélange de honte, de nudité, d'infantilisation quand ce qui arrive devient indépendant de sa propre volonté et qu'elle doit montrer ce qu'on veut voir, pour son bien lui dit-on !...
Pour illustrer mon propos, je reprendrai avec plaisir la partie d'un message précédent, représentant une scène très démonstrative d'un petit conte érotique que j'avais inventé:
Imaginez...une femme, habillée, debout dans un salon où deux ou trois hommes - selon les fantasmes équilibrés des participants - sont assis sur un canapé. Le salon est assez grand, la lumière jaune est répartie idéalement, la femme se trouve au centre de la pièce, maquillée, un rouge dessinant précisément ses lèvres, en jupe et chemisier, jambes nues, en chaussures à talon...
Un homme entre, prend cette femme par le bras, et, en disant à l'adresse des hommes assis " Je la ramène bientôt ", la conduit dans un pièce voisine dont il referme la porte.
Un petit moment plus tard...la porte de la pièce s'ouvre, la femme apparaît, conduite par le bras par cet homme venu la chercher. Elle est nue, mais on lui a laissé sa culotte, porte toujours ses chaussures à talon, et a les mains attachées dans le dos. On la fait avancer au centre de la pièce, mais elle avance à petits pas, comme si le simple fait de marcher la gênait; elle est amenée devant les hommes, toujours assis sur le canapé, qui ne peuvent que constater qu'au dessus de sa culotte, son ventre est tout gonflé et rond; elle se tortille un peu, en se mordant une lèvre, un rouge à lèvres maintenant curieusement barbouillé autour de la bouche... debout, toujours nue et en chaussures...L'homme qui l'avait amené quitte la pièce.
Les hommes la regardent sans se gêner, regardent ses seins, ses cuisses, son ventre tout gonflé; ils lui posent des questions pour lui faire dire pourquoi elle a le ventre gonflé comme ça. Après deux questions, auxquelles elle répond, mains toujours attachées dans le dos, on lui baisse sa culotte à ses chevilles, puis on lui pose d'autres questions...
...elle sait et devine ce qui l'attend, plus ou moins convenu, sans qu'elle ait su exactement comment cela allait se passer.
Mais quand on l'a ramenée, après lui avoir donné, dans la pièce voisine, à l'abri du regard de ces hommes qui attendaient son retour devant eux, un lavement chaud, qui l'a fait vite gémir doucement quand on l'a enfoncé dans son ventre de femme, quand on l'a ramenée et qu'elle a vu un pot hygiènique, un simple pot de chambre en émail blanc, par terre au centre de la pièce, elle a compris ce qui l'attendait....ce que ces hommes voulaient voir d'elle, et qu'elle savait qu'elle finirait par leur montrer...même si elle tardait à le faire.
Elle n'était pas là par hasard; quand elle se masturbait dans son lit, lentement et en faisant durer son plaisir, quand elle faisait ça le soir surtout, elle se disait souvent qu'elle était très cochonne, qu'elle était une..." cochonne ", et plus elle prolongeait sa masturbation, plus elle se sentait cochonne...Et maintenant, là, debout sous le regard de ces hommes, entièrement nue, culotte baissée aux chevilles et mains dans le dos, elle savait parfaitement que le ventre tout gonflé qu'on lui faisait montrer, et encore mieux montrer depuis que sa culotte était baissée, n'était pas dû au seul lavement qu'elle avait reçu. En effet, même si le lavement avait bien fait gonfler sans pudeur son ventre, il n'avait pas été possible de lui donner un lavement important - ce à quoi on s'attendait avec elle...Elle savait tout ça, et supposait qu'on allait chercher à lui faire avouer ses mauvais comportements.
Le bas de sa fente montrait une luisance translucide; on lui demanda si elle savait qu'on voyait sa mouillure. Un des hommes passa un doigt dans sa fente et lui montra son doigt mouillé.
Elle du expliquer pourquoi son rouge à lèvres était maintenant défait, et comment ce qu'elle avait fait l'avait étalé autour de sa bouche : son amant, l'homme qui était venu la chercher dans la pièce n'avait pas voulu la ramener devant les autres hommes sans qu'elle ait la possibilité d'avoir à avouer qu'elle n'avait, entre autre, que juste un lavement dans le ventre, et après le lavement, il avait activement rentré sa queue dans la bouche de sa maîtresse pour lui faire avaler son sperme et l'ait en elle de cette façon.
Elle dû tout avouer de ce qu'ils voulaient savoir. Une légère masturbation qu'ils lui firent rendirent ses confidences plus prolixes.Ils furent des plus indiscrêts de ce que l'on cache habituellement, surtout d'une femme.
Elle commençait à s'inquiéter un peu de l'instant qui n'allait pas tarder où ils allaient la conduire dans la pièce pour l'agenouiller au sol, les fesses sur le pot mains toujours attachées dans le dos tourné vers eux assis sur le canapé, attendant...