J'ai aujourd'hui plus de 60 ans. Tout au long de ma vie, j'ai associé la masturbation et la prise de température rectale.
Au lycée et à l'Université, j'étais extrêmement timide avec les filles et je suis resté vierge jusqu'à l'âge de 21 ans. A partir de 13-14 ans, je me suis masturbé plusieurs fois par semaine ( parfois plusieurs fois par jour, souvent la nuit), toujours avec un fort sentiment de culpabilité, en pensant à toutes les filles superbes que je rencontrais et auxquelles j'osais à peine adresser la parole. J'ai rapidement associé le thermomètre à ces séances et j'ai constaté que le fait d'avoir un thermomètre dans le cul, que j'imaginais manipulé par une de mes "copines", augmentait ma jouissance. Je me souviens que je m'enfermais dans la salle de bain pour de longues "séances" au cours desquelles je me mettais un thermomètre dans le rectum avant, pendant et après la masturbation et je notais, en langage codé, dans des petits carnets les variations de ma température. J'ai pu observer que, malgré l'intensité du plaisir ressenti en me masturbant, les différences de température étaient finalement assez faibles entre ces trois mesures, quelques dizaines de degré ( j'ai retrouvé récemment une page de ces carnets: le jour de mes 21 ans, les résultats étaient les suivants: avant: 37,3, pendant: 37,7 après -15 minutes-: 37,5 ). Le fait de me mettre souvent un thermomètre dans le rectum quand je me masturbais augmentait encore mon sentiment de culpabilité. Je savais que la plupart des garçons de mon âge se masturbaient, mais je me disais que je devais être le seul à le faire avec un thermomètre dans le cul. Parfois je me demandais si la jouissance que je ressentais à me sentir pénétré par le thermomètre était bien "normale" et si je n'étais pas un peu "pédé", même si mes fantasmes portaient uniquement sur des filles.
J'ai eu la chance à 21 ans de trouver une "copine" qui m'a fait connaître l'amour physique ( c'est elle qui m'a dragué et m'a quasiment violé) et avec laquelle j'ai vécu une histoire d'amour de plusieurs années dans des circonstances un peu particulières. En effet, après quelques semaines de vrai bonheur suivant mon dépucelage, Christine est parti étudier à l'étranger pendant plusieurs années. Pendant cette période, avec des hauts et des bas, nous avons eu des périodes de sexe intense, soit à Paris, soit là où j'allais la voir, et le reste du temps, je continuais de me masturber, un peu plus sereinement que par le passé, en pensant à elle, souvent avec un thermomètre bien enfoncé, même si je savais qu'elle désapprouvait ce détail. L'attitude de Christine vis-à-vis de la température (rectale) était en effet assez curieuse: alors qu'elle était tout-à-fait libérée et avait eu pas mal d'amants, elle a toujours refusé avec obstination de me laisser lui prendre sa température ou de me prendre la mienne. Elle était même choquée de savoir qu'il m'arrivait de me prendre la température "dans les fesses" et elle a voulu me faire abandonner cette "mauvaise habitude".
Quelques années plus tard, alors que ma relation avec Christine commençait à battre de l'aile, j'ai trouvé ma "deuxième copine" et j'ai découvert rapidement qu'elle partageait mon goût pour la température rectale. Ce fut en enchantement qui dura quelques années.
Par la suite, du fait de mes activités qui m'ont souvent mené à l'étranger, j'ai alterné les périodes de solitude, au cours desquelles je continuais à me masturber et à me prendre ma température et les période de vie commune avec des femmes. Certaines partageaient mon goût pour la prise de température, d'autres non. J'ai actuellement la chance d'avoir une copine, nettement plus jeune que moi en plus, qui aime comme moi utiliser les thermomètres au cours de nos jeux érotiques. Il nous arrive aussi de faire l'amour "normalement".....