Traduction d'une histoire écrite par Alexandra
Ma meilleure expérience de lavement
« sur : 5 fév. 2008, 08:02 : 12 »
J'ai 23 ans et ai connu les lavement depuis mes 15 ans et ai reçu le premier des lavement de mon frère ainé de 17 ans. Ces lavement entre frère et sœur étaient très érotiques, mais ma plus grande expérience date de mes 22 ans lorsque je suis allée dans un salon de massage. La publicité mentionnait que es lavements étaient possibles. Il était également indiqué ces mots magiques « toutes les tensions soulagées ». Masturbation et autres activités sexuelles étaient donc possibles.
Au salon j'ai rencontré ma masseuse personnelle, un brunette très attrayant avec une charmante figure (je suis bisexuelle et aime des femmes avec les seins voluptueux.)
La masseuse me donna un peignoir éponge et me demanda d'enlever tous mes vêtements. À ma surprise, elle est restée dans la pièce et me regarda me déshabiller. Voyant qu'elle était intéressée par mon corps, je me suis déshabillé de manière à l'allumer. Tout en enlevant ma jupe, chemisier et soutien-gorge je lui ai fait face et elle pouvait bien mes seins. Quand je me suis penchée pour enlever ma culotte, je lui ai délibérément tourné le dos pour lui donner une vue intéressante. Quand j'étais nue je lui fit à nouveau face. J'ai une grosse touffe de poils pubiens bouclés et noirs, dont je suis fière, et ses yeux se fixèrent sur elle avec rand intérêt. Lorsque je mis mon peignoir , la masseuse sorti pou préparer mon lavement. A ma surprise, quand elle revint elle s’était changée et portait un peignoir éponge identique au mien. Ses pieds étaient nus et je me suis demandé si elle était nue sous le peignoir - j'espérai qu’elle le fut. Elle accrocha alors un sac rouge à lavement de deux litres et lubrifia la canule. Elle me demanda alors d’ôter mon peignoir , de me diriger vers la table d’examen et de me coucher sur le côté gauche. Alors que je gisais là nue, je l'ai observée lubrifier son doigt et j'étais heureux qu'elle ne portait pas de gants. Après un massage complet de mon anus, elle inséra doucement et profondément son doigt dans mon intérieur et massa mon rectum. Plusieurs fois elle enleva son doigt, appliqua plus de lubrifiant, pour le réinsérer ensuite et continuer le massage le massage. Après quelques temps je devins très excitée ma vulve devenait humide. Quand elle me demanda si le massage me semblait bon, je ne pouvais que dire oui, très bon. Elle inséra alors un tube à lavement de grande taille. Celui-ci entra très facilement parce que le massage anal avait été si complet. Comme toujours, je trouvais merveilleux de sentir l'eau chaude me remplir graduellement moi et l’appréciais avec plaisir. Mon plaisir augmenta quand elle commença à frotter mes seins et à taquiner mes mamelons raides, et je gémis doucement. Quand le lavement - très grand – fut terminé, elle m’aida à la toilette et me lava après que j'aie expulsé l'e lavement. Quand je revins au divan elle m'ordonna de coucher sur le dos. Pour mon plaisir elle ôta alors enlevé sa son peignoir ! Sa silhouette était superbe, avec des seins grands et bien faits et de grands mamelons roses qui tenaient éructés. Son minou était brun et velu, juste comme le mien. Le massage débuta sur mon ventre, pour descendre sur mes cuisses. Quand elle massait l’intérieur de mes cuisses, j'ai instinctivement écarté les jambes, et c'était un plaisir délicieux lorsqu’elle écarta mes lèvres, massa mon clitoris raide, et entra profondément deux doigts dans mon vagin. Après quelques minutes de ce massage stimulant, elle retira ses doigts et alla vers le bas de mon corps. Pendant qu'elle embrassait et léchait ma chatte, je caressais ses seins. Très vite, j'ai eu un orgasme énorme et et fracassant. Après avoir récupéré, ma masseuse gisait nue sur la table et je caressai ses seins, doigté et baisé son vagin, et l’amener à une apogée glorieuse en léchant son clitoris. C' tait l'expérience de lavement la plus merveilleuse que j’ai jamais eue. Inutile de dire, je fis encore de nombreuses visites à ce salon de massage - mais c'est une autre histoire.