Chose promise, chose due. J'avais dit que je vous tiendrais au courant, alors je raconte mes aventures ,qui remontent déjà à quelque temps, depuis il est passé de l'eau sous les ponts, et pas que là 😃
J'ai donc râpé du savon de Marseille ancien, récupéré chez ma grand-mère, sur un papier. Quand j'en ai eu l'équivalent d'une cuillerée à soupe bombée, je me suis arrêté de râper 😃
J'ai mis de l'eau très chaude dans mon bock, environ un litre, , et le savon qui était déjà en particules très fines, un peu comme de la lessive.
Ça s'est très bien dissout, quasiment instantanément, en formant une très belle mousse blanche à la bonne odeur de savon naturel . Après j'ai complété avec de l'eau plus froide, pour arriver à un lavement chaud mais supportable de deux litres et c'était vraiment appétissant, si je peux dire ça.
Je ne l'aurais pas bu, mais je sentais mon petit trou gourmand qui frétillait d'impatience et d'envie de goûter ce nouveau breuvage 😃 J'avais mis au bout de la tubulure ma canule en bois. C'est une pièce artisanale que j'ai tournée moi-même, puis vernie pour qu'elle résiste à l'eau.
Ça a la forme d'un gros suppositoire, mais ça reste raisonnable, peut-être deux fois la taille d'un vrai. Le débit est à peu près celui d'une canule vaginale du commerce car j'ai percé quatre trous latéraux (mais pas devant).
Cette canule, en dehors du côté affectif car je l'ai fabriquée moi-même me plaît beaucoup, car elle reste bien en place une fois qu'elle s'est frayée un chemin dans mon intimité douillette 😃
Après réflexion, j'ai décidé de me mettre à plat ventre sur une serviette dans la salle de bain, j'ai rapidement procédé au massage et à la lubrification anale (externe et interne) et sans plus attendre (il ne faut abuser de la patience de son œillet quand on lui a mis l'eau à la bouche), j'ai approché la canule abondamment vaselinée de l'entrée des artistes et après quelques agacements et pénétrations ratées volontairement 😃, mon petit trou l'a absorbée goulûment avec un plaisir à peine dissimulé 😃
Et j'ai ouvert le robinet, un peu anxieux quand même, étant donné ce que j'avais lu sur les effets de la potion que je m'étais servie.
J'ai commencé à sentir la chaleur du lavement qui progressait tranquillement mais inexorablement en moi, et c'était très agréable.
Après quelques minutes, j'ai commencé à me masturber, à plat ventre comme quand j'étais jeune ado, pour m'aider à supporter la poussée qui commençait à se faire sentir.
A peu près à la moitié du bock (d'après ce que j'ai soupesé, car je ne voyais pas l'intérieur du récipient), je me suis mis à quatre pattes pour varier la position, mais aussi pour ralentir le débit vu que mon trou de balle était plus près du liquide.
Tout en continuant à me masturber, je respirais profondément en m'aidant du diaphragme et en imaginant un mouvement vers le haut comme si le liquide montait de l'anus au sternum, pendant l'expiration. Moyennant quoi, les choses se passaient plutôt de façon agréable quoique un peu acrobatique.
Par contre, le ciel s'obscurcit vers la fin (à moins qu'il ne s'agisse d'une éclipse de lune?), peut-être pour le dernier demi-litre. Là, j'ai l'impression qu'il y a eu un mouvement de grève sans préavis de la part de mon ventre et un rejet de l'ordre établi, si je puis dire.
Je n'avais pas pour objectif de garder le lavement après introduction, mais je trouvais dommage de faire naufrage au port, et mon éducation m'a toujours appris à ne pas gaspiller😃. J'ai donc redoublé d'énergie , me massant le ventre d'une main et me masturbant ( de façon peu efficace) de l'autre, les fesses hautes et le front au sol, pour essayer tant bien que mal de contenir la rébellion qui faisait rage dans mon intestin.
Là, le lavement avait un peu perdu son caractère agréable et j'ai eu du combat. J'ai même laissé bien malgré moi, un peu de munitions sur le champ de bataille, environ un fond de verre d'eau pas trop propre, heureusement que j'étais sur le carrelage de la salle de bain, car je m'étais reculé et avais quitté la serviette.
Mais après ces quelques spasmes plutôt douloureux, le soleil s'est remis à briller pour le Pierrot lunaire, et j'ai pu absorber le cocktail savonneux jusqu'à la dernière goutte.
Et là, j'avoue que je n'ai pas cherché à faire preuve de bravoure, profitant de l'embellie, tout en ayant en souvenir le dernier quart d'heure passé (qui m'avait paru bien long), je me suis dirigé rapidement , mais sans brusquerie inutile, de peur de déclencher involontairement un tsunami , vers les toilettes très proches.
Assis sur la lunette, dans un premier temps, sans doute à cause des longs efforts de rétention, j'ai eu l'impression d'être complètement bloqué. et ne pas pouvoir laisser partir ce lavement qui tout à coup était beaucoup moins pressé que ne le dit le dicton.
Mais après quelques massages du ventre, j'ai pu me décontracter et me vider comme un ballon de baudruche qui se dégonfle,( mais en plusieurs vagues), avec une délectation quasi orgasmique que ne peuvent comprendre que ceux qui l'ont déjà éprouvée. Que du bonheur !
Après, j'ai procédé à un rinçage avec de l'eau bicarbonatée.
Comme dit la chanson: "les plaisirs gratuits, y'en a beaucoup dans la vie, je me demande pourquoi les gens n'y pensent pas..."
Voilà mon compte rendu de l'opération "soapy enema", que je compte bien renouveler en ajoutant un temps de rétention.