Merci de vos réponses.
Finalement ce qui m’attire et me fait fantasmer, c’est ce qui est caché. En effet, j’ai toujours fantasmé sur les visites de ma femme parce que je n’étais pas présent et que je suis resté dans le bureau à côté de la salle d’examen, la seule fois où j’ai accompagné mon épouse. Dans une autre vie avec ma petite copine, au milieu des années 1970, nous vivions de manière plus libertaire, et sans pratiquer franchement le naturisme nous ne nous cachions pas lors de weekend entre amis (Voir le film « Après Mai »). Les filles se mettaient torse nu comme les garçons. Même si j’étais déjà un peu curieux à l’époque, son checkup chez le généraliste se passait entièrement nue (pareil pour mon père qui avait le même médecin).
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Plus tard, celle qui est devenue mon épouse, bien que travaillant dans le milieu médical, était beaucoup plus pudique, mais aussi un peu provocatrice et joueuse.
Il ne faudrait pas croire que je suis complètement à l'aise lorsque je dois montrer mon intimité, mais depuis mes visites scolaires, je m'y suis habitué et c'est parfois moi qui mets le praticien à l'aise...
Du coté fantasme, je pense qu'avoir joué au docteur à l'initiative d'une cousine, puis d'une voisine et d'avoir découvert à cette occasion que les filles n'étaient pas faites pareil que nous, m'a bien aidé à apprécier les femmes et les plaisirs de la vie, même si à l'époque de pré adolescence, les sensations sont différentes. Ces quelques images, pour ce que je m'en souviens, sont inoubliables et je remercie mes parents plutôt traditionnels qui avaient probablement devinés un peu le "manège" de ne pas m'avoir culpabilisé, ni isolé de ces "amies". Plus tard, ma voisine a été une de premières silhouettes féminines qui m'a donné des émotions. L’adolescent de 14 ans que j’étais, en pleine croissance, face à cette jolie créature de 16 ans n’avait aucune chance. Deux ans plus tard, lors d’un weekend organisé par nos parents, nous avons passé la soirée ensemble. Nous nous sommes embrassés une fois pour dire bonjour et la deuxième fois pour se dire au revoir…Malgré les lumières tamisées du lieu j’étais bien trop timide pour tenter quoi que ce soit, et ça vaut peut-être mieux car au lieu d’un « râteau », j’ai rencontré une jeune fille qui se disait très heureuse de me retrouver et le disque des Beatles que nous avons écouté raisonne encore dans ma mémoire.