Le jeu du " stop-pipi " lors de scénarios de visites médicales, quand on aime voir ou subir, est un grand classique je trouve.
Quelques idées peut-être, pour ceux et celles qui trouveraient bien de voir solliciter leur imagination ?...
Il y a l'élément de la vision intime, liée à la conjugaison du voyeurisme et de l'exhibitionnisme imposés.
Pour un homme, l'érection éventuelle puisse l'empêcher d'uriner; en le laissant au calme, les choses s'arrangent en général. Pour éviter une miction hasardeuse, on doit veiller cependant avant de procéder à l'examen à ce que le gland soit bien apparent, et ait été soigneusement et entièrement décalotté. Ce peut être un jeu supplémentaire de voyeurisme et d'exhibitionnisme contraint, d'imposer au " patient " de se décalotter lui-même, et qu'on l'observera alors tandis qu'il se livre sur lui-même à ce geste impudique; on peut également profiter de la contemplation de cette mise à nu plus compète du sujet pour des interventions très indiscrètes : " Mieux que ça !...je veux voir le gland entièrement; ramenez la petite peau plus en arrière ! il ne faut pas qu'elle risque de revenir devant, vous risqueriez de mal uriner. "
Pour une femme, elle peut avoir à faire pipi en se plaçant accroupie au-dessus d'une cuvette quelconque ou d'un bassin, mais pas aux toilettes : il faut qu'elle offre un maximum de vision indécente par sa position autant que par l'endroit où on lui fait faire ça. Sa position : accroupie genoux écartés en grand pour qu'elle ait à se montrer ainsi, dans une position qui tient sa fente ouverte; on pourra, soit lui demander de tenir de ses doigts ses lèvres écartées, soit lui coller deux petits sparadraps qui maintiendront les lèvres ouvertes, l'une ou l'autre de ces opérations étant destinée à maintenir le méat visible, tout en évitant au possible les jets incontrôlés. L'endroit à choisir peut aussi avoir beaucoup d'importance, selon les effets recherchés :
- dans les toilettes; la solution la plus douce, la plus anonyme;
- sur le sol de la pièce, accroupie au-dessus d'une simple cuvette ou d'un bassin, devant le praticien, assis sur un siège quelconque; cela peut se faire dans une salle de bain...dans un couloir...dans la cuisine...dans le salon...
- sur une table...très coquin ! la cuvette ou le bassin aura été posé sur une table, et elle devra y monter pour y passer cet examen; hummm !...avoir à se tenir ainsi, au centre d'une pièce, exposée !...en ayant à rester toujours, cuisses ouvertes, chatte ouverte !...et à montrer ses jets au praticien judicieusement placé devant elle, assis sur une chaise à hauteur idéal pour un bon examen.
Bien sûr elle devra se dévêtir et se mettre entièrement nue, car tout vêtement risquerait de gêner un bon examen; on tolèrera toutefois qu'elle garde son soutien-gorge; à moins qu'on préfère qu'elle le garde !
L'examen lui-même pourra se faire par cessions espacées de quelques dizaines de secondes; on demandera des jets plus ou moins longs, qui devront s'interrompre sur ordre, pour apprécier les réactions physiologiques du sujet, ainsi que des séquences de jets les plus courts possible et rapprochés...
Bien sûr, pour juger des réactions et des contractions, des palpations de la zone du périnée seront faites, et, pour tout sujet, homme ou femme, les contrations anales accompagnant le " stop " seront estimées, y compris par intromission d'un doigt lubrifié dans l'anus...
...d'où la nécessité, quand ce jeu plaît, d'un examen préalable, suivi d'un lavement.
Des questions ?