Vues: 469 Created: 2017.02.11 Mis à jour: 2018.11.15

Soizig

Soizig 12

Soizig ne fût pas la seule à recevoir des soins affectueux de la part de la maman de Malo, un après- midi où je passais par hasard voir si mon pote voulait aller faire un tour en ville, Charlotte m'ouvre pour me dire qu'il est partit faire des courses et m'invite à entrer pour un café, une fois assis sur le canapé du salon, elle commence par m'entretenir à mots couverts sur notre relation à trois avec Soizig, elle ne juge pas et n'y est pas opposée, mais elle me parle surtout de l'hygiène dans une sexualité en trio, elle me prévient avoir déjà parlée de cela avec Soizig et Malo, puis elle me pose directement la question de savoir si ma maman me faisait des lavements quand j'étais enfant, je dois virer au rouge car elle rie de ma réaction…

Le regard fuyant, je lui répond que oui, j'en ai quelques souvenirs mais je n'en reçois plus depuis des années, elle m'en vante alors les mérites, tant en soins du transit qu'en méthode de propreté puis elle me révèle, du moins le croit-elle, que Malo en a reçu d'elle jusqu'à il n'y a pas longtemps et que maintenant il se les fait lui-même, elle ajoute ensuite à voix basse, comme un secret révélé, qu'elle en a donnée à notre petite amie et que celle-ci aime beaucoup cela, d'ailleurs, me dit-elle au passage, elle trouve Soizig très mignonne et gentille, serviable aussi car elle ne refuse pas de lui faire son lavement quand elle est de passage, sans parler d'autres soins plus féminins qu'elles se font toutes les deux, me soupir-t-elle rêveuse…

Je comprends qu'elle me parle à mis-mots de caresses saphiques, chose dont Malo et moi nous doutions bien, cette confidence, comme le reste de la conversation, a provoqué chez moi un réveille des phantasmes libidineux et voilà que ma verge durcit dedans mon pantalon, Charlotte est en jupe et celle-ci est remontée bien plus qu'au dessus des genoux, ce qui me laisse entrevoir la chair des ses cuisses laiteuses et sans bas, le fait-elle exprès ou est-ce une négligence, je ne le sais, mais elle ne fait rien pour rectifier sa tenue et à chaque mouvement de jambes, le tissus remonte encore plus haut si bien que je commence à apercevoir la dentelle des bords de sa grande culotte blanche, un Panty à frou-frou, à la mode de l'époque…

J'essaye tant bien que mal de regarder ailleurs et de dissimuler la bosse qui déforme ma braguette mais mon sexe durcit encore quand j'aperçois la présence de son soutient gorge sous son pull en cachemire, soutient gorge d'ailleurs fort bien remplit par une poitrine ferme et volumineuse, la main qu'elle vient de poser sur ma cuisse me sort de ma contemplation et j'entends la maman de Malo me proposer, si besoin en est, un lavement fait par elle, comme je lui répond ne pas savoir si j'en ai besoin, elle m'interroge sur les miens, leurs régularités, leurs consistances, suis-je constipé, j'en rougis encore tant s'en est gênant de questionnement sur l'intimité du popo mais je répond à ses questions comme chez le docteur…

Sa main sur ma cuisse à glissée vers ma braguette en une douce caresse et Charlotte feint de découvrir la chose en me demandant, faussement étonnée, ce qu'il m'arrive et si elle en est la cause, je ne sais que répondre, troublé par la situation d'avec la maman de mon meilleur ami qui veut me lavementer et me caresse la turgescence, elle me propose alors de me faire comme une consultation pour voir si j'ai besoin ou non d'un lavement, une auscultation rectale qu'elle a apprit à faire quand elle était aide-soignante pendant la guerre puis plus tard avec son mari, elle me rassure quand à d'éventuelles douleurs, tout en me précisant que Soizig, un peu gênée et craintive au début, a beaucoup appréciée sa façon de faire par la suite…

Le massage de la paume de sa main sur ma boursoufflure achève de me convaincre de me laisser faire et elle m'entraîne dans sa chambre pour me déshabiller et m'installer à quatre pattes sur son lit recouvert d'une grande serviette de bain blanche, au passage elle aperçoit ma verge bandée qui se redresse d'un coup quand je baisse mon slip et comme Malo, elle me dit qu'elle est belle, décidément, c'est de famille, ensuite, elle chausse sa main d'un gant de caoutchouc blanc et dépose une grosse noisette de pommade sur l'un des doigts, Charlotte me fait me cambrer, tête reposant sur le lit, appuyé sur mes coudes, la position me fait lui tendre mes fesses et ma petite ouverture, délicatement, elle me masse l'anus, une délectation…

Tout en me préparant à son touché rectal de contrôle, elle décrit ma petite ouverture et commente mes réactions, elle trouve mon anus joliment plissé mais contracté, elle me demande de me détendre en poussant comme aux wc, pour elle, je suis encore vierge de toutes introductions et je dois être très étroit du sphincter, je ne la contredis pas, je me vois mal lui raconter que Soizig et Malo m'ont déjà introduit un ou deux doigts dans les fesses, que penserait-elle de moi, je me décontracte doucement sous ses habiles caresses et plus je m'ouvre, plus sa première phalange avance en moi, à un moment, elle se dit satisfaite de ma décontraction et m'avertie de l'insertion complète de son doigt, je le reçois de toute sa longueur…

A mon tour, je feins d'être surpris et lâche faussement un petit gémissement de douleur, Charlotte s'excuse et me dit que ça va aller, comme pour me soulager, elle me masse les testicules de sa main libre en attouchant ma verge de ses doigts, elle me redit que j'ai un beau membre, j'en viens à fantasmer sur la possibilité de lui y faire goutter par tous les orifices et cela me durcit encore, son doigt dans mon cul s'enfonce en profondeur et gigote en moi tel un petit serpent, Charlotte me dit ressentir un léger encombrement au fond puis elle lui donne quelques vas et viens avant de le retirer pour l'inspecter, constatant qu'il est légèrement souillé, elle m'affirme qu'une douche rectale me fera le plus grand bien, je l'accepte…

Charlotte ne me couche pas sur ses genoux comme elle l'a fait à Soizig pour lui injecter son lavement, elle me fait rester dans la même position pour m'introduire la canule de sa poire et avant de la presser, elle me gratifie le rectum de quelques aller retour en me demandant si j'ai aimé son doigt dans mes fesses, je bredouille un oui honteux, elle me dit de ne pas être gêné car beaucoup d'hommes aiment être touchés là et peu l'avouent, d'ailleurs, si je veux, après la restitution de mon lavement, elle me fera goutter à quelque chose d'agréable, si je le veux bien, puis elle commence à presser la poire et le liquide chaud m'envahit agréablement, son autre main caresse ma queue sans la décalotter, j'attend ce moment avec impatience…

Une fois la première poire vidée, je ressens déjà quelques gargouillements dans le ventre mais Charlotte m'en propose une deuxième qui, dit-elle, ne sera pas de trop, d'ailleurs, Soizig en reçoit toujours deux aussi précise-t-elle comme pour me convaincre, Hummm…gentille Soizig et sa douce langue…soupire-t-elle, j'en déduis que notre petite amie est déjà descendue à la cave avec la maman de Malo, elle s'en est bien cachée la petite cochonne, moi qui aimerai tant assister à cela, il ne me reste qu'à l'imaginer, j'en suis là de mes pensées quand se termine la deuxième injection, mon ventre se ballonne et gargouille de plus en plus, la maman de Malo me pose un pot de chambre au sol en me disant de me retenir encore…