Vues: 465 Created: 2017.02.11 Mis à jour: 2018.11.15

Soizig

Soizig 11

L'épisode était très érotique et surprenant, je découvrais que la maman de Malo aimait apparemment les femmes, peut-être même les jeunes femmes, je me demandais s'il le savait et si Soizig allait lui en parler, pour l'instant elle était encore bouleversée d'avoir prit du plaisir à être masturbée et lavementée par la mère de Malo, ce qui expliquait aussi la façon soumise et désinvolte qu'elle avait eu avec nous pendant l'accouplement torride après avoir quittée les mains de la dame, j'avais retrouvé une érection pendant que Soizig me contait sa séance de lavage et branlage, si bien qu'une fois Malo revenu, je partais sous la douche avec Soizig, son anus encore glissant m'accepta presque de suite et je lui ramonais le sphincter vigoureusement…

Les jours suivants, la maman de Malo nous regardait différemment, plus pour Soizig que moi d'ailleurs mais elle avait toujours une étincelle au coins des yeux en nous croisant dans la maison, Soizig avait finie par lui raconter la séance propreté et petits câlins d'avec sa mère, il en avait été un peu gêné au départ, nous disant qu'il savait que sa maman avait eu beaucoup de "Bonnes Amies" à une époque mais qu'elle s'était calmée en voyant ses fils grandir, il n'imaginait pas un seul instant qu'elle puisse avoir des "gestes" envers une jeune copine à lui, d'accord qu'elle lui propose un lavement entre femmes pour le bien être et l'hygiène, mais de là à lui tripoter la fente, il trouvait qu'elle exagérait, il allait lui parler…

Il ré-aborde alors le sujet du lavement avec nous, il s'en est fait un ce matin, et il nous explique que cela ce fait naturellement dans sa famille depuis des lustres, un rituel de santé et de propreté hérité de son père, l'ancien soldat Allemand prisonnier de guerre qui avait épousée sa maman, je ne peux m'empêcher de souligner que le "Lavement Allemand" a quand même fait "Chier" tous le monde, il baisse les yeux, gêné et un peu honteux d'un passé qui n'est pas le sien et dont il n'est pas responsable, je n'aurais pas dû faire cette perfide allusion, je la regrette de suite, Soizig me gronde un peu pour ma méchanceté, alors pour m'excuser, je prend pour la première fois l'initiative de lui faire une pipe qu'il accepte…

Soizig va rester me regarder la lui faire en se caressant, elle me baisse quand même le slip pendant que j'officie et me met un doigt vaseliné dans les fesses en me prédisant, ironiquement, qu'un jour se sera Malo à la place de son doigt, d'ailleurs elle ajoute complaisamment que son index n'est pas une bonne représentation de la verge de Malo et qu'avec son majeur en plus, je suis plus près du ressentit d'une enfilade de sa queue, effectivement, je sent la différence de suite, les deux doigts s'enfoncent dans ma rosette et me fouillent, je pousse un grognement sur la vraie bite qui est dans ma bouche mais continue de la sucer, Soizig me travaille l'anus en profondeur tout en me masturbant, elle cherche à m'élargir…

Lèvres en anneau sur la verge que je travaille, je masse un instant les boules de Malo puis lui glisse des doigts saliveux entre les fesses, à peine ai-je effleuré sa petite porte qu'il écarte les cuisses et les relève pliées en arrière, exposant outrageusement son anus boursoufflé par le désir, la demande est clair, l'orifice réclame les caresses apaisantes, je lui fais comme me fait Soizig, deux doigts lubrifiés mais en une seule fois, lui aussi pousse un grognement en même temps qu'il pousse pour les recevoir, je fourre le cul de mon pote avec sa verge dans ma bouche, voilà où j'en suis, la présence de Soizig permet tout, elle en est l'instigatrice, douce petite chienne vicieuse et dépravée de mes amours, mon amour, de qui j'accepte tout…

Moins de dix minutes de ce traitement suffisent à faire jouir Malo, il miaule, se tend puis se crispe, je veux me reculer pour ne pas recevoir son sperme dans la bouche mais Soizig tente de me faire garder l'engin au fond de la gorge en me posant une main ferme sur le crâne, je force mon retrait buccale mais trop tard, son jus blanc m'asperge le visage de deux jets puissants qui s'écoulent ensuite sur mes joues et mes lèvres, Soizig, comme pour s'excuser d'avoir essayée de m'obliger, vient lécher tout ce qu'elle peut, telle une chatte lavant son petit, Soizig aime le sperme, de toutes les manières, en arrosage et en dégustation, en étalement et injection anale, je lui laisse volontiers ses plaisirs, je n'ai pas encore goutté le mien…

La maman de Malo est une belle femme de quarante cinq ans, blonde avenante aux formes généreuses sans être grâces, si ce n'était pas la mère de mon pote, je ne dirai pas non à un peu plus d'affection de sa part, un peu comme elle a fait avec Soizig, Charlotte est son prénom, elle aime nous inviter à prendre un café avec un bout de gâteau et discuter avec nous de nos études ou travail, musiques, films et sorties, curieuse de tout sans être fouille merde, elle aime rire avec nous avec parfois quelques allusion à la sexualité qui se libère en ces temps là, une façon d'essayer de savoir où en est la nôtre je suppose, et même si Malo n'est pas encore rentré quand nous venons sonner, elle nous invite toujours à entrer pour discuter…

Elle est de ces femmes gentilles et accueillantes, à l'écoute des jeunes, mais qu'il ne faut pas prendre pour une dinde, de ces femmes qui dégagent un érotisme naturel dans leur maturité et sur lesquelles on fantasme d'une main le soir au fond de notre lit, dans la quiétude de la chambre à la lumière éteinte, mais aussi auxquelles on n'ose rien demander, espérant qu'elles vous fassent un signe qui ne viendra jamais parce que vous êtes le copain de son fils et qu'elles connaissent vos parents qui on le même âge, qui ont aussi connus la guerre et les privations, sans parler des interdits de la religion et de la bonne morale bourgeoise, mais avec Charlotte, tout semble possible, ouverte d'esprit et compréhensive, elle vous fait bander sans le savoir…

Soizig a succombée rapidement à l'affection lavementeuse de la maman de Malo, nous nous en sommes rendu compte car les fois où, l'ayant vue arriver par la fenêtre, elle ne montait pas nous rejoindre directement, Malo rage un peu de savoir que sa maman a des attirances pour notre amoureuse commune, je lui rappelle que lui aussi se l'ai appropriée sans me demander la permission, il s'en excuse encore une fois et m'offre une fellation que je ne refuse pas, après tout, pourquoi attendre le retour de Soizig pour prendre du plaisir, surtout qu'en ce moment elle doit prendre le sien avec Charlotte, lavementage, doitage et sans doute broutage, Malo me suce et tente un doigt dans mon anus, je le laisse faire en écartant les cuisses…