Vues: 537 Created: 2017.02.11 Mis à jour: 2018.11.15

Soizig

Soizig 16

Soizig était de plus en plus souvent en compagnie de la maman de Malo et me racontait tout à condition que je fasse ses quatre volontés, du moins, que je cède à ses envies du moment, comme par exemple de lui manger la moule lavée seulement de la veille pendant un 69, ou de me faire pipi dessus allongé nu sur le carrelage de la cuisine de sa mère quand ses parents partaient en W.E, le fait qu'elle choisisse la cuisine de sa mère pour faire cela m'avait parut étrange, du sexe bizarre sans doute, allez savoir où vont se nicher les dérives de la libido parfois, comme par exemple aussi, l'habitude qu'elle avait de venir s'asseoir sur mes genoux quand j'étais aux wc, et de me faire écarter les jambes pour faire son besoin du moment…

Avec Charlotte, elle avait finit de se libérer de certains blocages lesbiens et faisait tout avec elle, comme avec nous, Soizig me racontait leurs séances de broutage, soulignant que la maman de Malo était une délicieuse gourmande de sa chatte, même parfumée au naturel, mais qu'aussi, elle lui faisait connaître ses jouets, comme la fameuse tenue d'homme qu'elle m'avait montré, elles avaient fait le "Mâle en rut" l'une pour l'autre, s'introduisant la verge artificielle dans toutes les positions et tous les orifices, je me régalais d'une main masturbatrice devant Soizig pendant qu'elle me décrivait la séance de sodomie de Charlotte avec le sexe d'homme, qu'elle comptait d'ailleurs emprunter pour me prendre l'anus…

La maman de Malo lui avait également présenté, lors d'un w.e festif dans une villa du bord de mer, quelques amies aux mêmes gouts féminins, elle avait choisi les vêtements que devait porter Soizig pour s'y rendre et pour se changer ensuite, c'est ainsi qu'elle est arrivée en tenue de jeune étudiante, coiffée en couettes, chemisier blanc et jupe Écossaise, petits souliers vernis, socquettes et culotte de coton blanche, son succès avait été immédiat et chacune la voulait auprès d'elle pour des petits bisous, à table où au salon, puis après, une fois la soirée bien avancée, quand les langues se sont déliées en propos égrillards et liées en affections, les mains devenaient baladeuses et caressantes, sa culotte en était trempée…

Charlotte veillait sur elle, freinant les désirs trop empressés de certaines, bien qu'il fût évident qu'elle l'avait amenée à ses amies en guise de cadeau récréatif, Soizig avait tout fait et tout accepté, jouant pour le mieux à la bonne élève obéissante, et les Dames lui avaient aussi tout fait, pour commencer, elle fût lavementée d'un bock d'un litre devant toute l'assemblée, la maîtresse de maison en avait choisit la canule, un modèle large et annelé qui prédestinait son anus à recevoir plus gros par la suite, puis un vase de nuit en faïence de la capitale du pays Glazig avait été posé au milieu de la pièce pour qu'elle restitue sa douche rectale, elle se vida honteusement sous les regards attentifs de toutes et gourmands, de certaines…

Soizig observait les jeux des femmes entre elles, les mains s'égaraient, les culottes tombaient au sol et les cuisses s'écartaient pour recevoir les attouchements lingués de celles qui s'agenouillaient, une des femmes était punie pour une faute dont Soizig ignorait la raison, d'abord couchée en travers des jambes de Charlotte assise sur le sofa, elle fût fessée d'une main ferme, mais comme elle protestait encore, le martinet remplaça les mains punitives et, suspendue par les poignets liés à une poutre, elle fût cinglée jusqu'à que ses fesses soient zébrées des marques des lanières de cuir et qu'elle reconnaisse sa faute, pincée aux tétons, la douleur l'a fît uriner sous elle, on lui tendit le vase de nuit et elle fut essuyée par une bouche assoiffée…

Soizig, une fois les fesses lavées, allât de chatte en chatte faire plaisir à tout le monde, les vulves sentaient bon le désir féminin, mélange suave de miel et de sel marin, une ou deux seulement sentaient un peu le pipi, mais Soizig comprit vite que c'était pour faire plaisir aussi à celles qui aiment cela, d'autres, plus exigeantes, réclamaient des caresses sur leur petite entrée, s'écartant à deux mains leurs rondeurs fessières pour montrer le chemin à la jeune étudiante, les anus étaient propres et Soizig sans dégout y déposa sa bouche puis y rentra sa langue, pendant qu'elle leur donnait à chacune du plaisir, elle en reçut aussi, des bouches se glissaient entre ses cuisses ouvertes, lui donnant des caresses par devant et derrière…

Mais en réalité, ce n'était qu'un hors d'œuvre, la soirée avançant, la retenue s'effaçait avec ses pudeurs et maintenant chacune se livrait à ses désirs particuliers, c'est ainsi qu'une des femmes demanda la main de Soizig, mais pas pour le mariage, pour l'avoir en entier enfoncée dans son sexe, ne l'ayant jamais fait, elle se tourna vers Charlotte pour lui jeter un regard interrogateur et trouva celle-ci croupe offerte à genoux sur le sol, le trou de balle emmanché d'une main presque entière, elle se résolue donc à céder à la demandeuse et la main en fuseau, recouverte de pommade, elle lui fît son plaisir après dilatation, la maîtresse de maison avait sortit ses jouets et vint derrière Soizig lui promettre du plaisir…

Munie d'une grosse verge attachée à son ventre et tenant à la main un chapelet anal, celle-ci commença par lui rentrer doucement les boules vaselinées une à une dans l'anus tout en la masturbant, puis elle les fît ressortir de la même façon, cela rappela à Soizig une sensation déjà connue et elle en eu honte un instant, mais l'hôtesse s'occupait si bien d'elle qu'elle lui demanda de lui les mettre encore, la dame obtempéra et une fois le chapelet avalé par son rectum gourmand, Soizig poussa d'elle-même pour pondre comme une poule, puis elle sentit le gode s'approcher de sa fente et s'empala dessus, l'anus pondant ses œufs et le chibre dans son ventre, Soizig se sentait chienne, elle activa sa main dans le vagin de celle qu'elle fouillait…

Autour d'elle, ce n'était que scènes de débauche et copulations de toutes sortes, une femme accroupie au dessus du visage d'une autre se faisait lécher l'entre-jambe tout en lui faisant pipi dans la bouche, d'autres s'accouplaient munies de verges ceinture, se relayant dans les orifices offerts, celle qui avait été punie recevait un lavement, Soizig faisait aller et venir sa main dans la chatte qu'elle fistait ou en se faisant enfiler par la femme derrière elle, les boules du chapelet entraient et sortaient de son trou de plus en plus élargit et Soizig ne refusa pas de les remplacer par le sexe artificiel quand la dame le présenta devant sa petite porte, elle tendit même sa croupe à la pénétration et se laissa enculer profondément…

Dans les minutes qui suivirent, Soizig sentit la jouissance monter, sodomisée et branlée, émue par les vagissements de celle qu'elle enfilait de sa main, elle tenta un instant encore de ne pas sombrer en lâchant prise, mais l'orgasme la submergeât, entrant dans une transe agitée de spasmes et de râles incontrôlables, comme foudroyée par la jouissance, elle perdit presque connaissance en vidant sa fontaine par grandes giclées puis fit pipi sous elle, avant de s'affaler, elle retira doucement sa main du vagin dégoulinent, sa fistée venait de lui jouir au visage et Soizig l'avait bue, son enculeuse derrière elle se finissait à la main en se sodomisant du gode qu'elle venait de lui sortir des fesses, la pièce s'entait le sexe, la sueur et l'urine.