Vues: 883 Created: 2012.12.26 Mis à jour: 2018.12.07

L'aventure osée de Manon

Manon Ch. 2

Plus de trois semaines avaient passées depuis ma rencontre avec Manon. La jeune femme était repartie de chez moi le lendemain de notre première soirée, avec encore une légère douleur au trou du cul suite à une tentative de sodomie infructueuse.

Je pensais ne plus la revoir, et m'en voulais de l'avoir pénétrée par derrière "de force". Mais finalement, elle avait sonné à ma porte un soir quelques jours plus tard. Ce soir-là, on refit l'amour plusieurs fois, mais visiblement elle ne souhaitait pas recommencer la sodomie.

Depuis, Manon était repassée plusieurs fois à mon appartement. Elle arrivait certains soirs, on faisait des câlins, puis l'amour, puis on terminait la nuit ensemble, et le matin elle repartait. Elle aimait bien qu'on se voit mais ne voulait pas se lancer dans une vraie relation. Pour ma part ces petits épisodes torrides me faisaient le plus grand bien, si bien que j'en étais presque excité à chaque fois qu'on sonnait à ma porte le soir.

Ce soir-là, la sonnette retentit peu après que je finisse de manger. J'ouvris et découvris Manon. Elle était spendide comme d'habitude. Elle avait enfilé une veste, qu'elle ouvrit devant moi pour me montrer une tenue beaucoup plus légère.

Elle me salua en m'embrassant, puis s'avança dans le salon.

-J'ai besoin de tes compétences de médecin ce soir, fit-elle en me faisant face.

J'eus un moment de doute, mais Manon ajouta très rapidement après :

-Je me sens un peu constipée, docteur, vous n'auriez pas un suppositoire à me donner ?

Elle avait pris sa petite voix coquine qu'elle prenait de temps en temps au lit avec moi, et avait accompagné sa phrase en enlevant sa veste pour se retrouver vêtue d'une robe moulante rouge.

Mon coeur se mit à battre, sans savoir si c'était à cause de voir la jeune femme habillée ainsi ou pour ce qu'elle venait de me demander, probablement un peu des deux.

Elle savait que j'avais des suppositoires chez moi, car je lui avait montré un autre soir, me rappelant qu'elle préférait ça au lavement, mais elle n'avait pas voulu du médicament quand je lui avais proposé.

-Tu as besoin d'aide pour aller aux toilettes ? Demandai-je en m'approchant d'elle.

Elle hocha la tête positivement.

-Ok, je vais regarder ce que je peux faire, ajoutai-je avec le sourire.

J'accompagnai Manon jusque dans la chambre, et lui demandai de s'installer. Elle s'allongea alors sur le ventre, sans rien dire.

Je me penchai vers ses jambes, et tirai légèrement sa robe pour regarder dessous, suffisament pour m'apercevoir qu'elle ne portait pas de culotte. C'était parfait !

Je partis rapidement de la chambre chercher un tube de vaseline ainsi qu'une boîte complète de suppositoires à la glycérine, et me ré-installai sur le bord du lit, où Manon patientait sagement.

-Bon, voyons ça, commençai-je.

Je fis remonter sa robe jusqu'à son ventre pour découvrir ses fesses. Je les écartai un peu et observai son anus étroit. C'était la deuxième fois qu'elle m'offrait ainsi son cul. Mon sexe se tendit immédiatement dans mon pantalon à la vue de son petit orifice qu'elle avait rendu inaccessible ces dernières semaines.

J'allais lui demander si elle était vraiment constipée, mais me retins à temps. Inutile de casser ce jeu du docteur qu'elle avait mis en place en arrivant. Après tout, pas besoin d'être constipée pour recevoir un suppositoire !

Je fis couler un peu de vaseline sur mon doigt , puis en étalai une partie sur son petit trou. Manon sursauta.

-Tu as encore peur ? Demandai-je.

-Non, c'est juste que c'est froid, répondit-elle tout en gardant sa tête enfoncée dans la couette.

Mon doigt était toujours tendu et touchait son anus.

-Bon, c'est partit, fis-je.

J'appuyai sur sa peau, et fis glisser mon doigt dans son intimité chaude. En allant assez loin dans son rectum et en faisant tourner mon doigt, je constatai qu'elle ne devait pas être constipée, mais rentrai tout de même dans son jeu.

-En effet, tu as l'air d'avoir un gros bouchon ! Tu n'as pas pu aller aux toilettes depuis quand ?

-Depuis plusieurs jours, docteur.

J'aimais bien ce jeu de mensonges. Manon y jouait parfaitement son rôle de patiente. Je retirai mon doigt de son cul, et pris en main la boîte de suppositoires. Je l'ouvris et en pris un dans mes doigts.

-Ah, c'est une grosse constipation, fis-je. Je vais être obligé de vous donner un suppositoire à la glycérine.

Je me pencchai de nouveau au-dessus de son postérieur, et écartai ses fesses pour placer le médicament sur son anus.

-La petite fusée va partir, annonçai-je.

Puis je poussai le suppositoire qui rentra dans son derrière en glissant aussi facilement que mon doigt. Mais je fis exprès de ne pas l'enfoncer trop loin. Et quand je retirai mon doigt, je gardai ses fesses écartées pour voir son petit trou. Je le vis se resserrer plusieurs fois, puis comme je m'y attendais, le bout du suppo apparût à l'entrée de son trou et fut expulsé juste après.

-Oups ! Fit Manon. Je crois que je l'ai fait ressortir.

-En effet, confirmai-je en reprenant le médicament tout gras. Je vais le remettre mieux.

Je recommençai l'opération, et cette fois je fis entrer mon doigt presque entièrement. Quand j'enlevai mon doigt, elle poussa mais n'expulsa plus rien.

-Voilà, lui fis-je. Maintenant il faudra aller l'expulser aux toilettes dans vingt minutes.

Je jetai un coup d'oeil à ma montre pour l'envoyer à la selle au bon moment.

Manon se retourna alors dans le lit pour me faire face. Elle avait un sourire au lèvres. Comme j'avais remonter toute sa robe, son sexe était bien visible entre ses cuisses. Puis la jeune femme éclata de rire.

-Qu'est-ce que tu as ? Demandai-je.

-Rien, fit-elle en reprenant son calme immédiatement. C'est juste que j'ai pensé à cette scène toute la journée, je ne savais pas du tout comment ça allait se passer, mais c'était super. J'avais vraiment l'impression d'être dans mon rôle de constipée, là.

-Pendant un moment, j'y ai presque cru, à ton histoire, avouai-je.

Elle rigola encore, puis on se prit dans nos bras pour s'embrasser. Puis elle me glissa à l'oreille :

-J'ai envie de réessayer la sodo, fit-elle. Dès que j'aurai été aux toilettes bien sûr !

-Comme tu veux, répondis-je.

Je fis alors passer ma main sous son corps pour la placer sous ses fesses.

-Je vais passer un moment à dilater ce petit trou, alors, ajoutai-je. Tu es toute serrée, et je préfère éviter un accident comme la première fois qu'on a essayé.

Je fis avancer mon doigt entre ses miches, vers son anus, mais Manon comprit ce que j'allais faire et me dit :

-Arrête, le suppositoire est entrain d'agir !

-Justement, répliquai-je. Je vérifie qu'il fait bien son travail.

Juste après cette phrase, je poussai et fis remonter mon doigt dans l'intestin de Manon. Celle-ci fis la grimace.

-Beurk ! T'es dégoûtant ! Me fit-elle.

Je ne tins pas compte de sa remarque et fit tourner mon doigt pour la chatouiller de l'intérieur.

Coincée en-dessous de moi, elle écarta ses jambes, et me fit :

-Occupes-toi plutôt de mon minou. Mais pas avec le doigt que t'as mis dans mon cul !

J'acquiesçai, et enfonçai mon pouce délicatement dans son sexe, de quelques centimètres, pour atteindre son clitoris. J'avais découvert pendant nos soirées précédentes qu'elle aimait bien se faire chatouiller à cet endroit.

Comme je m'y attendais, elle bascula la tête en arrière, et se laissa pousser de petit gémissements, pendant que je m'occupais de ses deux orifices.

Quand je vis que les vingt minutes s'étaient écoulées, je retirai mes doigts de l'intimité de Manon, et me relevai pour la laisser passer.

-C'est l'heure d'aller aux toilettes, annonçai-je.

-Euh, je n'ai pas besoin, fit-elle. Je crois que le suppositoire n'a pas bien fonctionné.

-Ne t'inquiètes pas, répondis-je. Va aux toilettes et pousse un peu, ça va venir tout seul.

Elle se releva à son tour du lit.

-Sérieusement, insista-t-elle. Je n'ai vraiment pas besoin, en fait j'ai été ce matin, ça doit être pour ça.

-Vas-y toujours, et si tu n'y arrives vraiment pas, je te donnerai un lavement.

Elle approuva, et quitta la chambre en direction des toilettes.

Dans le lit, je m'apprêttais à ce qu'elle m'appelle pour aller lui donner un lavement, mais elle revint dans la chambre, en m'indiquant que finalement ça avait marché.

Puis, voyant qu'on était encore tout les deux habillés, on se retira mutuellement tout nos vêtements qu'on jeta partout autour du lit. En passant sous la couette, Manon me demanda :

-Tu crois que ça va passer, cette fois ?

-On va tout faire pour, répondis-je simplement.

Pour changer un peu, je lui proposai une meilleure position selon moi : à quatre pattes, renversée en avant.

Manon se positionna correctement, s'appuyant sur ses avant bras et écartant ses cuisses suffisament.

Je me mis à genou derrière elle, et commençai par mettre deux doigts dans son trou de balle. La vaseline aida beaucoup. Quand je fus passé à trois doigts depuis plusieurs minutes, je plaçai le bout de mon pénis sur son trou qui semblait cette fois bien dilaté.

-Je vais essayer une première fois, l'avertis-je. Tu es prête ?

-Oui, fit-elle.

Elle poussa sans que je lui dise, et je vis son trou de balle s'écarter d'un bon centimètre. C'était le moment ! Je fis avancer mon bassin vers elle, et mon pénis glissa très facilement dans son derrière.

-ça va ? Fis-je.

J'étais un peu surpris. Je m'attendais à un cri ou un "aie", mais Manon était restée silencieuse.

Elle me demanda simplement :

-T'es dedans ?

-Oui, entièrement.

Je fis alors balancer mon corps d'avant en arrière, très doucement car je ne la sentais pas tout à fait à l'aise non plus.

-ça marche mieux avec un suppositoire. Fit-elle.

-Je crois plutôt que c'est la préparation, répondis-je. Cette fois tu étais bien dilatée !

Elle se laissa balancer doucement en avant et en arrière, puis je lui demandai si elle voulait que j'aille plus vite, mais elle refusa et préféra continuer ainsi.

Je sortis mon pénis de son cul après environ cinq minutes de sodomie, et Manon s'affala sur lit. Je lui écartai rapidement les fesses, et vis son anus un peu rouge et encore dilaté.

-ça va ? Tu n'as pas eu mal ? Demandai-je.

-ça a été, répondit-elle en se retournant.

Elle porta la main à son sexe, et je compris qu'elle voulait que je m'occupe aussi de ce côté. Je partis me lavé rapidement, puis revint sur elle. Elle écarta les jambes très rapidement pour me laisser entrer.

-Fais-le par devant, maintenant, fit-elle.

Je la pénétrai, puis je lui fis l'amour, content que ça se soit bien passé cette fois.