Vues: 751 Created: 2012.12.26 Mis à jour: 2018.12.07

L'aventure osée de Manon

Manon Ch. 3

Manon dormait d'un sommeil profond dans le lit quand je me réveillai le matin. Comme c'était un jour de congé pour moi, je ne pris pas la peine de la réveiller. Doucement, je fis le tour du lit, soulevai la couverture au niveau de sa taille, puis écartai délicatement ses fesses pour observer son anus. Son petit trou n'était plus du tout rouge et semblait avoir regagné en fermeté. Elle s'était bien remise de la sodomie la veille au soir.

Probablement dérangée dans son sommeil par mon geste, Manon Bougea ses jambes et se retourna sur le dos, m'empêchant ainsi de continuer à regarder son intimité anale. Je posai un regard vers son visage mais elle avait toujours les yeux clos.

Elle me rejoignis alors que j'étais dans la salle de bain, encore nu. Je n'avais pas vérrouillé la porte. Elle aussi était nue et semblait encore fatiguée. Ses cheveux était en bataille et elle clignait encore des yeux face à la clarté du jour.

-Salut, me fit-elle. J'allais venir prendre une douche pour me réveiller.

Je me retournai, et la parcourus des yeux. Cela me donna des envies sexuelles et je lui proposai de prendre une douche avec moi. Elle accepta ma proposition, et referma la porte.

La douche chaude nous réveilla bien tout les deux. Tout en la lavant, je lui demandai si elle n'avait pas mal au derrière, mais elle secoua la tête pour me dire que non.

Quand ce fut son tour de me laver, elle prit une bonne partie de gel douche et en appliqua sur tout mon corps. Elle en profita même pour passer sa main entre mes fesses, ce qui me fit frissonner dans le dos. C'était la première fois que Manon osait me toucher à cet endroit, et je devais bien admettre que c'était quelque chose d'agréable. Malheureusement ce moment de plaisir ne dura qu'un instant, et elle s'occupa de mon entre-jambes avant de descendre plus bas.

Après, on resta enlacé sous l'eau chaude. Mon sexe était en érection, ce qu'elle avait eu vite fait de remarquer.

-J'ai toute la journée de libre, fit-elle sans se détacher de moi. Si tu veux on peut rester chez toi ou bien sortir ensemble.

J'étais flatté par sa proposition. Comme c'était dimanche, il n'y avait pas beaucoup de chose à faire et on décida de rester à l'appartement.

On sortit de la douche pour se sècher, puis on alla prendre un petit-déjeuner ensemble. Après ça, on regagna le lit pour aller continuer nos jeux coquins. En me déshabillant, Manon prit mon pénis dans sa main, et me demanda en me regardant :

-Tu veux que je m'occupes un peu de toi, ce matin ?

Cinq minutes plus tard, j'étais couché sur le dos, et tenait mes jambes relevées. Face à moi, Manon me regardait, un peu embarrassée.

-Je peux pas faire ça, fit-elle. Je n'ai aucune idée de comment m'y prendre...

En acceptant sa proposition, le lui avait demandé si elle pouvait s'occuper elle aussi de mon petit trou, mais elle était mal à l'aise avec ça, visiblement.

-T'as à juste à mettre ton doigt, et pousser, lui expliquai-je une nouvelle fois.

Elle m'avait touché l'anus plusieurs fois, mais n'osait pas appuyer pour me pénétrer.

-Et si je te fais mal ? Demanda-t-elle. Je n'ai jamais fait ça avant.

-Ne t'inquiète pas, la rassurai-je. Avec la vaseline ça va rentrer sans problème.

Elle étala à nouveau du gel sur son index, puis me dit :

-Bon, j'y vais. Tu me dis si je te fais mal, ok ?

-Ok, fis-je.

Elle baissa son regard vers mon petit trou, fit un mouvement du bras, et je sentis à nouveau son doigt enduit de gel gras toucher mon anus. Mon sexe se tendit un peu plus à ce moment-là. Je la sentis soudain appuyer un peu et devinai qu'elle avait rentrer son doigt d'un bon centimètre.

-C'est un peu dégueu, commenta-t-elle en faisant une grimace. Je préfère quand c'est toi qui me fait ce genre de truc que l'inverse.

-Tu fais ça très bien, l'encourageai-je. Tu peux aller plus loin si tu veux.

-Ok, fit-elle en continuant de braquer ses yeux sur mon anus.

Une seconde passa, puis je sentis son doigt se planter plus profondément dans mon trou de balle.

-T'es tout chaud, remarqua-t-elle.

-C'est normal. Toi aussi tu es chaude quand je mets mon doigt.

Elle fit des petits mouvement d'aller-retour du doigt pour me donner du plaisir, puis en rajouta en prenant mon pénis dans sa main libre pour me masturber.

Le doigt qu'elle me mettait m'excitait tellement, que à peine trente secondes plus tard, je crachai ma semence sur le lit. Manon continua de me taquiner du doigt pendant encore un moment, puis se retira de mon intimité et fila directement à la salle de bain pour aller se laver les mains.

Je relâchai mes jambes et me laissai retomber sur le matelas, content d'avoir pu faire cette expérience avec elle.

Quand elle revint, on décida de faire une pause, et on resta au lit tout le reste de la matinée.

Vers 13h, l'après-midi, on se leva après une bonne sieste pour aller se préparer à manger, bien qu'on ai pas très faim tout les deux. C'est à ce moment que Manon lança une nouvelle idée de truc cochon à faire. Je ne m'attendais tellement pas ça de sa part que j'en restai tout d'abord sans voix.

Elle était entrain de terminer de peler une carotte, quand elle me lança :

-Hé, tu veux voir un truc cochon ? Regarde bien.

Elle mit la carotte en question en bouche, puis elle souleva sa robe au-dessus de sa taille et écarta les jambes pour ne pas qu'elle retombe, puis elle repris la carotte en main et la dirigea vers son sexe. Pendant qu'elle faisait ça, elle me regardait avec son sourire coquin auquel j'avais parfois droit au lit.

Je la vis alors enfoncer le bout de la carotte dans son intimité, et la pousser jusqu'au bout en faisant rentrer son doigt dedans. Quand elle retira son doigt, le légume avait disparût dans son intimité.

Fière de son numéro, elle me demanda si j'avais aimé. Bien que je n'avais jamais vu personne faire ce genre de chose avant, il fallait bien avouer que c'était excitant.

-Oui, répondis-je, un sourire aux lèvres.

Manon fut contente, et saisit alors une autre carotte, plus petite.

-Et maintenant, comme je sais que tu aimes ça, fit-elle, je vais aussi fourrer mon petit trou.

Elle me tourna le dos, se pencha en avant, et porta la pointe de la carotte sur son anus bien visible d'où je me tenais. La carotte s'enfonça comme la précédente, et Manon l'accompagna également du doigt pour la faire rentrer entièrement. Quand elle se retira, son orifice se referma, gardant le légume enfermé à l'intérieur.

Voyant que j'étais intrigué par son numéro, elle se retourna à nouveau vers moi :

-Tu veux essayer aussi de m'en mettre ?

Je m'étais tellement laissé prendre à son jeu qu'on en avait complètement oublié le repas. Manon était allongée sur le canapé, et je lui avais relevé les jambes pour avoir accès à ses deux trous. A côté de moi, sur la table basse, j'avais ramené le tube de vaseline ainsi que divers fruits et légumes qui faisaient l'affaire pour notre petit jeu.

Je saisis tout d'abord un gros raisin vert, pas encore mûr et donc bien ferme.

-Alors, on commence par le suppo vaginal ? ou anal ? Lui demandai-je en lui montrant ce que je tenais dans mes doigts.

-Vaginal !

Je lui écartai les lèvres pour voir son trou, et plaçai le raisin dessus. Du bout du doigt, je le fis entrer suffisament loin, puis ressortis.

Je détachai alors de la grappe une autre raisin

-Celui-ci, c'est pour ton petit cul ! Lui fis-je.

Je mis un tout petit peu de vaseline dessus, puis pressai le fruit sur son anus. Son trou s'ouvrit, et engloutit d'un coup le raisin que je tenais. Puis son anus se referma comme avec la carotte juste avant.

Pour varier les plaisir, j'alternai entre les deux orifices de Manon. Je lui insérai un morceau de banane dans le vagin, le laissant dépasser de quelques centimètres, puis je choisis une tige de concombre découpée finement que je fis partir directement dans ses fesses. Je terminai par une autre petite carotte qui avait encore ses feuilles, et la fis rentrer dans son cul juste assez pour que ça tienne.

Je me reculai pour admirer le travail.

Manon se tenait là, les jambes écartées, un morceau de banane dépassant de son sexe, et des fanes de carotte dépassant de son petit trou.

-Et voilà ! Farcie aux fruits et légumes, fis-je, content de moi.

Puis j'ajoutai :

-Attends, je reviens !

Je partis un instant, et revint fasse à elle avec un appareil photo.

-Il faut immortaliser ce moment, blaguai-je.

Manon comprit trop tard ce que je faisais, et le flash surgit.

-Hé, cria-t-elle. Pas de photo !

-Trop tard !

Elle voulut d'abord se relever, mais se recoucha en poussant un soupir.

-Tu gardes ça pour toi, fit-elle.

Après quelques photos supplémentaires et mon appareil rangé, je revins vers elle qui était restée couchée.

-Enlèves-les, fit-elle. Je ne peux pas me rasseoir avec ça, sinon je vais salir ton canapé.

-Ok, répondis-je.

Je sortis d'abord la banane, puis la carotte qui dépassait de son trou de balle.

-Le reste sortira naturellement, lui expliquai-je.

Elle se releva, redescendit sa robe, et partit à la salle de bain cinq minutes. Puis le reste de l'après-midi, on rigola de cet épisode quelque peu insolite.

Vers la fin de la journée, Manon repartit chez elle, me promettant de repasser bientôt.