Vues: 710 Created: 2012.12.26 Mis à jour: 2018.12.07

L'aventure osée de Manon

Manon Ch. 4

ATTENTION ! Un nouvel épisode, pour les amateurs d'actions plus hards !

-Aie ! Cria à nouveau Manon alors que je lui donnai une autre fessée.

Son derrière commençai à rougir. Manon se débattit encore une fois dans le lit, en essayant de se tordre pour se dégager, mes les menottes que je lui avais mis la maintenaient dans le lit.

-S'il-te-plaît ! Arrête ! me fit-elle.

Je fis glisser ma main le long de son dos pour la calmer, mais quand j'atteignis ses fesses, elle se mit à nouveau à bouger.

-Je suis désolé, fis-je. Je suis obligé de te donner ce médicament.

Je saisis sur la table de chevet le flacon de microlax, un puissant laxatif, que j'avais laissé là, et fis sauter le bouchon. Une goutte sortit alors du bout du canule et je m'en servis pour lubrifier ce dernier.

-Non ! Pas ça ! S'il-te-plaît pas ça ! Répéta-t-elle.

J'étais tenté de lui donner encore une fessée pour la faire taire, mais quand je levai ma main, Manon comprit et se tut d'elle-même.

-C'est bien, lui fis-je. Maintenant je vais te donner ce microlax, que tu le veuilles ou non.

Je me penchai sur elle pour lui écarter d'une main les fesses, puis je plongeai le canule dans son petit trou, ça rentra tout seul et elle ne broncha pas. Une fois enfoncé à fond, je pressai le flacon pour envoyer tout le contenu du laxatif dans son rectum, et le retirai de son trou pour aller le jeter à la poubelle.

-Voilà, c'est fait, lui annonçai-je en revenant dans la chambre. L'envie va venir dans une dizaine de minutes.

-Je t'avais dit que je n'avais pas envie, fit-elle.

Elle avait encore les yeux rouges de son caprice qui avait duré un bon moment.

Je fis exprès de ne pas écouter sa remarque, et lui écartai à nouveau les fesses pour admirer son petit trou. Bientôt, j'allais avoir ce que je voulais : la voir expulser directement !

-Je crois qu'il vaut mieux que j'aille te chercher une bassine, fis-je. Au cas où tu ne tiendrais pas assez longtemps.

Je partis en chercher une dans la cuisine, sous l'évier, et revint pour la placer correctement. Je retournai Manon sur le dos, et la saisis par la taille pour amener son derrière au bord du lit, là où j'avais placé la bassine. Puis je lui levai les jambes en l'air et les écartèrent, pour dégager son trou de balle face au récipient en plastique.

Cinq bonnes minutes passèrent, mais la jeune femme n'émit que quelques gargouillis avec son ventre. Son anus que je ne perdais pas de vue ne montrait aucun signe de "poussée".

-N'essayes pas de te retenir, fis-je, ça sera vite terminé. Encore dix minutes maximum.

-S'il-te-plaît, supplia-t-elle cette fois. Laisse-moi aller aux toilettes.

-Je te l'ai déjà dit : pas question. On en a discuté et j'ai obtenu ton accord !

Je vis Manon faire une grimace, et son anus se crisper. Elle n'allait pas tarder à tout lâcher.

A côté de moi, j'avais un rouleau de papier toilette prêt à l'essuyer quand elle aurait fini.

Je me réveillai dans mon lit en sursaut. J'étais seul dans la pénombre. Mon sexe était en érection. Cela faisait plusieurs fois que je faisais ce genre de rêve la nuit. Je partis dans la cuisine boire un verre d'eau. Il fallait que ces rêves cessent. Pour ça, j'allais devoir en parler à Manon.

-Quoi ? fit-elle quand j'eus terminé.

Elle était assise à l'autre bout du canapé, face à moi. J'avais voulus en discuter dès son arrivée, car je savais que c'était un sujet délicat à aborder.

-Je sais que c'est vraiment bizarre comme demande, fis-je. Mais j'aimerais bien te voir aller à la selle. J'arrête pas d'y penser, j'aimerais le faire au moins une fois.

J'avais apporté pour l'occasion un microlax, qu'elle tenait à présent dans ses mains, pour lui montrer ce que c'était. Manon était très mal à l'aise de parler de ça, mais se montrait compréhensive et se forçait à en discuter sérieusement avec moi.

-Donc, résuma-t-elle. Tu veux me mettre ce laxatif dans le derrière, et me regarder aller aux toilettes après, c'est ça ?

-C'est ça, confirmai-je.

Elle fit une pause un moment, le regard dans le vide, avant de continuer.

-Je suis vraiment pas sûre d'être prête pour ce genre de chose, pour tout avouer, fit-elle.

Je m'attendais à cette réponse. Moi non plus je ne savais pas si j'allais vraiment prendre du plaisir à l'observer, mais je me disais qu'une fois fait, ces rêves cesseraient.

-Ou alors, commença-t-elle, si tu désires vraiment ça,...

Elle chercha ses mots.

-...Il va me falloir quelques verres, termina-t-elle.

Manon termina son quatrième verre rapidement, et le reposa sur la table du salon. Elle savait dans quoi elle s'engageait. Après qu'elle ait posé sa condition, on en avait longuement discuté.

Au moment où elle serait assez saoule, je pourrais l'emmener à la salle de bain faire le nécessaire. Ainsi elle n'aurait que de vagues souvenirs de ce moment.

Je pris la bouteille qui était sur la table, et remplis une nouvelle fois son verre. Elle avait décidé de ne porter qu'une culotte et un soutient-gorge pour l'occasion.

Après ce nouveau verre qu'elle termina presque cul-sec, je la vis vaciller un peu sur le côté. ça n'allait pas tarder à être le moment de l'emmener avec moi.

-Je ne me sens pas très bien, fit-elle en se tenant le ventre.

Je me relevai et la retins pour ne pas qu'elle tombe du canapé, et elle leva la tête vers moi.

-Je pense que c'est assez, lui fis-je. On va y aller maintenant ?

-Non, s'il-te-plaît, pas tout de suite, répondit-elle.

Pourtant, elle s'était relevé d'elle-même pour m'accompagner. On se dirigea ainsi dans la salle de bain. J'avais le microlax dans la poche de mon pantalon.

-S'il-te-plaît, continua-t-elle. Je veux pas faire caca !

-Ne t'inquiéte pas, ça va bien se passer, la rassurai-je.

Je refermai la porte de la salle de bain derrière nous, et Manon fit quelques pas pour aller se pencher sur la cuvette.

-Je ne me sens pas bien, répéta-t-elle.

C'était le moment. Le sortis de ma poche le microlax, et m'approchai d'elle.

-Reste ainsi, fis-je, ça va passer.

Je profitai qu'elle soit penchée en avant pour agripper sa culotte et la baisser au niveau de ses cuisses. D'une main, j'ôtai le bouchon du microlax que je tenais. Puis je m'accroupis derrière le cul de Manon pour repérer son orifice. Elle toussa plusieurs fois, sans que rien ne se passe. Elle ne se souvenait visiblement plus de pourquoi on était là.

Je profitai de ce moment et insérai le canule du laxatif dans son trou de balle, pressai sur le flacon, et le ressortis aussitôt.

Manon, toujours penchée, toussa encore. Elle ne semblait même pas avoir remarqué ce que je venais de faire.

-Assieds-toi sur la cuvette, fis-je en la prenant par les épaules.

Je le relevai, puis l'aidai à s'asseoir correctement sur la cuvette. Une fois assise, je lui descendis sa culotte jusqu'aux chevilles, et lui parlai.

-Tu vas bientôt faire caca, lui annonçai-je en gardant mes mains sur ses genoux.

Elle releva la tête vers moi, sembla forcer, puis s'arrêta.

-J'y arrive pas, fit-elle.

-Non, attends un peu, ça va venir, lui expliquai-je. Je t'ai donné un laxatif pour t'aider.

-Ok, fit-elle.

Ensuite, elle continua à pousser tout de même. Je restai près d'elle. Au bout d'un moment, elle lâcha quelques pets en poussant, puis j'entendis des bruits plus liquides. Je laissai Manon continuer tout en lui tenant les mains.

-Vas-y, fis-je. Ne te retiens pas. Vide-toi complètement.

La scène dura environ cinq minutes, puis quand je n'entendis plus rien pendant un moment, je lui demandai :

-Tu as terminé, Manon ?

Elle fit oui de la tête. Alors, je pris du papier toilette dans mes mains, et lui fis :

-Ok, lève-toi. Je vais t'essuyer maintenant.

Je la soulevai de la cuvette, et la penchai sur mes genoux, puis je passai plusieurs fois du papier toilette entre ses fesses jusqu'à ce qu'elle soit propre. Quand ce fut fini, je tirai la chasse d'eau, et emmenai Manon avec moi dans la chambre pour la coucher.

Ce soir-là, elle s'endormit presque aussitôt, tout comme moi, sans rêve de Manon cette fois.