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Vues: 1319 Created: 2008.02.11 Mis à jour: 2008.02.11

L'école de puériculture

Chapitre 3

Nous sommes vendredi et l'école propose aux élèves de notre promo de nous accompagner demain en car jusqu'à Limoges, où nous pourrons librement visiter la ville et faire du shopping.

Les élèves sont enthousiastes à l'idée de sortir enfin des murs de l'école, trois semaines après notre arrivée. Je suis dépitée, car comment sortir en ville avec une couche sur les fesses aussi visible et bruyante sans que cela se remarque ? Impossible de sortir en blouse, ce serait ridicule, et ma garde robe ne contient que des pantalons ou des jupes courtes qui ne pourront pas cacher la couche que je porte en permanence. La ceinture de chasteté, elle, reste invisible et mes copines n'ont pas ce problème.

Le soir, les "cinq" se trouvent réunies dans ma chambre et nous discutons de cette fameuse sortie.

Aucune d'entre nous ne veut prendre le risque que des passants aperçoivent nos couches sous nos vêtements dans les rues de Limoges. La mort dans l'âme nous décidons de renoncer à cette sortie, lorsque mademoiselle Smith entre dans la chambre. Elle nous demande le sujet de notre discussion et nous lui expliquons la situation. A notre grande surprise, elle nous indique qu'une couche peut très bien être invisible sous une jupe longue et ample, recouverte par un pull lâche et un peu long. Mais je lui réponds que nous n'avons pas ce type de vêtements.

- Je peux vous en prêter à toutes les cinq pour demain si vous voulez, nous dit-elle.

Lisa fit remarquer que le bruit de plastique si caractéristique des couche-culottes que nous portons est quasiment aussi inquiétant que la forme rebondie de nos fesses avec nos couches.

- J'ai là aussi la solution, nous dit mademoiselle Smith, je suis en contact avec plusieurs fabricants de couches et je dispose de modèles dont l'enveloppe extérieure en plastique a été remplacée par un tissu de coton imperméabilisé. Ces couches ne font quasiment aucun bruit lorsque vous bougez. - Pourquoi ne pas utiliser pour une fois un modèle plus fin, recouvert par une culotte de coton ? proposais-je.

- Non, répond mademoiselle Smith, il vous faut un minimum d'épaisseur, car vous serez absente toute la journée, le pire serait que vous ayez des fuites suite à deux pipis consécutifs dans la même couche.

Nous sommes toutes séduites par l'idée et remercions par avance mademoiselle Smith. Celle-ci nous donne rendez-vous le lendemain matin ici-même pour, avec Catherine et Stéphanie, nous mettre nos couches et nous aider à nous habiller.

Le lendemain matin, mademoiselle Smith est dans ma chambre tandis que les deux infirmières s'occupent des quatre autres filles. Je suis allongée dans mon lit et comme chaque matin, ma couche est mouillée, mais fort heureusement je ne fais jamais caca la nuit sans m'en rendre compte. Mademoiselle Smith le sait et s'inquiète de savoir si je pourrai tenir jusqu'à mon retour sans faire popo dan ma couche. Je n'en suis pas sûre et elle défait ma couche, me glisse un suppositoire dans l'anus puis referme la couche. Elle patiente quelques minutes et me demande de m'accroupir sur le lit et de pousser. Je m'exécute et donne des coups de reins, tandis que mademoiselle Smith pose sa main sur ma couche et accompagne mon mouvement tout en massant mon ventre de son autre main. Rapidement ma miction sort et se répand dans ma couche.

Mademoiselle Smith retire ma couche souillée, me nettoie et sort d'un carton la fameuse couche "sensation tissu". Elle est relativement épaisse et cela m'inquiète, mais elle est effectivement très "silencieuse" et une fois habillée des vêtements amples fournis, on ne peut pas remarquer la présence d'une couche-culotte sous ma jupe.

- Le tout, me dit mademoiselle Smith, est maintenant de ne pas attirer de garçons audacieux qui pourraient découvrir la couche en glissant une main sous ma jupe.

Je rejoins mes copines, enchantées comme moi et nous retrouvons le reste de la promo au car, les filles sont surprises de nous voir ainsi, mais heureuses que nous puissions les accompagner.

La journée est formidable et nous revenons le soir tout à fait comblées. Je n'ai fait pipi qu'une fois dans ma couche et celle-ci ne m'a pas trahie.

Le soir, dans ma chambre, je remercie mademoiselle Smith chaleureusement pendant que celle-ci me remet une couche "classique" avec une couche droite pour la nuit. C'est étonnant comme l'on change vite car trois semaines plus tôt je découvrais avec horreur cette même couche culotte, partie de mon déguisement et ce soir je remercie une femme de me mettre cette même couche. Je repense longuement à cette journée et spécialement à un groupe d'étudiants que nous avons croisés au restaurant à midi. L'un d'entre eux était très mignon et si ce n'est la couche que je portais je ne l'aurai pas repoussé s'il m'avait abordé.

A cette pensée, je m'échauffe un peu dans mon lit, caresse mes seins dont les tétons se dressent et porte mes mains à ma couche dans l'espoir de pouvoir glisser ne serai ce qu'un doigt jusqu'à mon sexe. Peine perdue, la couche toujours très minutieusement ajustée par mademoiselle Smith est beaucoup trop serrée. Très excitée maintenant, je passe mes jambes de part et d'autre d'un des pieds de lit et le frotte vigoureusement contre ma couche dans l'espoir d'en ressentir l'effet sur ma vulve ou mon clitoris. Mais là encore sans résultat, la couche est trop épaisse pour transmettre la moindre sensation.

Je suis horriblement frustrée et le massage de mes seins ne parvient pas à m'apaiser. Je repense avec envie au vibro masseur des anciennes qui m'avait si bien libéré des mes tensions dans un orgasme que je n'avais jamais encore vécu. Mademoiselle Smith, que je prenais pour une perverse lesbienne semble plutôt fantasmer sur les jeunes filles contraintes à une régression par le port de couche-culottes bien visibles, qui les maintiennent en état de dépendance à ses soins et accessoirement les privent de toutes relations sexuelles. Elle semble avoir des goûts très précis que ce soit en terme de physique qu'en terme de couches. Si elle préfère les couche-culottes épaisses, c'est surtout que celles-ci ne se plient pas lorsque l'on serre les cuisses et que leur présence ne peut pas échapper, même avec l'habitude, à celle qui en porte. L'aspect psychologique d'être sous la dépendance de la personne qui vous met et retire votre couche est tout aussi important que la privation d'accès à ses parties les plus intimes.

Le lendemain matin, malgré la nuit de sommeil ma tension n'est pas retombée et j'essais à nouveau de me masturber contre le pied de lit. Fort occupée, je ne remarque pas l'entrée de mademoiselle Smith venue pour me changer.

Lorsque je l'aperçois, il est trop tard et je suis morte de honte qu'elle m'ait découverte dans cette posture. Elle ne dit rien et défait ma couche et instinctivement je porte ma main droite vers mon sexe, alors que je dois garder mes mains paumes en l'air de part et d'autre de ma tête lorsque que mademoiselle Smith me change. Celle ci d'un geste sec me tape sur la main et me demande de me remettre en position. Je m'exécute à contre coeur et elle fixe une nouvelle couche prestement. Une fois changée, mademoiselle Smith me tend un sac avec des vêtements et me demande de les enfiler. A ma grande surprise, il s'agit d'une tenue d'écolière japonaise avec chemisier blanc, petit foulard, jupe plissée bleue marine assez courte, chaussettes blanches épaisses et montantes et petits souliers. Je trouve également un petit cache-coeur de dentelle blanche. Une fois habillée elle me demande de l'accompagner et m'indique que nous allons passer ce dimanche chez elle. Je suis très surprise et je la suis docilement. La jupe que je porte est juste assez longue pour masquer ma couche blanche, mais trop juste cependant et chaque mouvement dévoile la couche que je porte.

Nous arrivons rapidement à la maison de mademoiselle Smith sans rencontrer âme qui vive à mon plus grand soulagement, bien aidées par l'heure très matinale. Dans le salon, mademoiselle Smith me fait asseoir et s'assoit également en face de moi.

Elle a une vue directe sur ma couche et sur mon cache coeur qui ressort nettement sous le chemisier très transparent.

- Tu es très mignonne, Alice. Ansi habillée, on dirait vraiment une petite collégienne.

Je rougis comme à mon habitude, mais je ne dis pas un mot cherchant à deviner où elle allait en venir. Elle poursuit :

- Tu sais maintenant que je suis en contact avec plusieurs fabricants de couches pour lesquels je teste des nouveaux produits, mais ce que tu ne sais pas encore, ma petite Alice, c'est que j'ai des contacts dans le monde entier avec des gens qui partagent les mêmes centre d'intérêts que moi.

Elle se lève, se dirige vers la bibliothèque où se trouve plusieurs rangées d'albums photos, elle en prend deux et viens s'assoire, sur le canapé à mes côtes. Elle ouvre le premier album et je découvre page après page des dizaines de photos de jeunes filles habillées en écolières comme je le suis actuellement et portant des couches, dans différentes poses, debout jupe légèrement relevée, assises au sol jambes écartées, etc. Le deuxième album représente cette fois si d'autres jeunes filles, toutes très belles comme dans l'album précédent, mais habillées en bébé avec des barboteuses, des grenouillères etc.

Je comprends bien vite que je suis ici pour compléter les albums photos.

Mademoiselle Smith me met tout de suite le marché en main :

- Tu as pu constater, Alice, que sur ces photos, les filles sont belles et dans des positions coquines ou innocentes mais qu'elles sont toujours souriantes.

Aucune scène de nu ou d'humiliation. On ne peut forcer personne à poser ainsi, mais si tu acceptes de poser pour moi, je saurai te remercier.

Je comprends alors beaucoup de choses. Les correspondant étrangers de mademoiselle Smith doivent échanger des photos avec elle car j'ai vu dans ces deux albums, des filles de toutes races, de jeunes africaines comme d'adorables asiatiques. Pour m'éclairer sur la nature de ses remerciements mademoiselle Smith va chercher un objet que je reconnais immédiatement comme le vibromasseur utilisé par les anciennes et comme par réflexe, à sa vue, je porte mes deux mains sur ma couche. Mademoiselle sourie et me dit :

- Ce geste vaut toutes les réponses, ma belle Alice. Viens, nous descendons à la cave.

Je la suis et descends l'escalier de la cave et découvre stupéfaite plusieurs pièces aménagées en studios de photos avec des décors différents, une véritable chambre pour bébé adulte en autre. Sur un fond bleu, elle commence à prendre des photos me donnant des instructions pour les positions que je dois prendre. La séance dure ainsi toute la matinée.

Après le repas, cela recommence, mais dans des tenues différentes. Je découvre ainsi une garde robe complète de vêtements de bébés à différentes tailles adultes.

En fin d'après-midi, je suis fatiguée et mademoiselle Smith me demande si j'ai mouillé ma couche. Je réponds que oui et elle m'allonge sur un lit, me défait la couche et prend quelques photos supplémentaires. Je suis actuellement habillée dans une nouvelle tenue d'écolière, ma jupette est rabattue et une fois ma couche définitivement retirée, Mademoiselle Smith m'entrave les pieds et les mains aux montants du lit. Elle me place un bâillon boule rouge dans la bouche, puis attrapant un caméscope, elle le fixe sur un pied et le positionne de façon à me filmer entièrement. Avec une lingette, elle entreprend un long et minutieux nettoyage en évitant avec soin mon clitoris. Je gémie dans mon bâillon plus de frustration que de plaisir et mademoiselle le sait bien. Elle attrape une couche propre qu'elle me glisse sous les fesses puis me demande si je veux prendre du plaisir avec un vibro. Je hoche énergiquement de la tête, folle de frustration, et la caméra ne rate rien de cette scène où je sollicite moi-même ma propre humiliation.

Glissant deux doigts dans mon vagin, elle les retire couverts de mouille et m'indique que je n'ai visiblement pas besoin de lubrifiant pour le vibro.

Enfin, lentement, elle me pénètre avec le vibro, referme délicatement la couche et pose le boîtier de commande à côté de moi sur le lit. Elle ne le met pas en route et quitte la pièce. Je suis folle de rage car immobile, le vibro ne me fait pas suffisamment d'effet. Je me débats et des cris de rage étouffés sorte du bâillon boule. Mademoiselle Smith revient finalement pour mettre en route le vibro. Je me cabre de plaisir sous l'œil amusé de mademoiselle Smith qui détache rapidement mon bâillon dès qu'elle est sûre que je vais crier de plaisir, je suis rapidement secouée de spasmes puis je retombe sur le lit. Elle arrête le vibro, me détache, m'enlève le vibro et change ma couche trempée de mouille.

J'ai du mal à remonter l'escalier de la cave. Je sors et regagne l'école seule.

Les jours se passent, rythmés par les cours qui sont au demeurant très intéressants. Je n'ai jamais évoqué avec les quatre autres filles la journée passée au domicile de mademoiselle Smith, ne sachant pas si elles y sont passées également. En tous cas, aucune d'entre elles ne m'en a parlé alors que nous sommes très proches du fait de ce que nous vivons depuis notre arrivée à l'école. Je réalise qu'entre les vidéos réalisées par les anciennes lors de l'intégration et les photos et vidéos qu'elle réalise elle-même, elle doit posséder un stock de documents compromettant énorme sur un nombre de filles considérable. Avec cela, impossible de lui résister.

Un soir, rentrant dans ma chambre pour me changer, elle arrive avec un ordinateur portable sous le bras et, le mettant en route elle me montre les photos faites ce fameux dimanche. Je suis à l'image des photos que j'avais vues dans ses albums, et j'apparais dans la multitude de tenues et positions qu'elle m'a fait prendre. Je constate qu'elle a un grand sens de l'esthétisme, que les couches sont toujours bien tendues sur les fesses sans un plis et que manifestement elle adore photographier en contre-plongée pour révéler la couche qui se cache sous la jupe de la sage collégienne à laquelle je ressemble. Les couettes et les nœuds dans les cheveux me font paraître facilement trois ou quatre ans de moins, ce qui semble bien le but recherché.

Moi qui me posais des questions j'ai bien vite une réponse, en découvrant maintenant les photos faites de quatre autres modèles, à savoir Emilie, Laure, Jeanne et Lisa.