Biographie d'un infirmier militaire
Épisode 17 : petit lavement forcé
Après le repas de midi, Théo alla s'occuper de Nina en se dirigeant vers sa chambre. Il n'avait pas désiré d'assistance et j'ai eu pendant un court instant un noeud au ventre en le voyant se diriger seul vers la chambre 3, me demandant ce qu'il allait lui réserver comme soins.
Comme nous n'avions alors plus de travail à faire, j'ai entraîné discrètement Coralie dans une salle d'examen, pas celle où on allait d'habitude, mais une qui servait vraiment aux patients.
Je l'ai prise dans mes bras et l'ai assise sur la table métallique, puis j'ai fermé la porte à clé.
-Tom, qu'est-ce que tu fais ? Me demanda-t-elle.
Je suis revenu en face d'elle et lui ai annoncé que j'avais envie qu'on franchisse un pas de plus dans nos fantasmes, et que je voulais lui pratiquer un lavement.
-Non s'il te plaît. Pas de lavement, je ne me sens pas tout à fait prête pour ça, m'a-t-elle répondu.
Je venais déjà de commencer à lui ôter sa jupe et sa culotte. Cela faisait déjà plusieurs fois qu'elle se montrait réticente à un lavement, mais cette fois j'étais bien décidé à lui faire.
-Ne t'inquiètes pas, Coralie. Je vais y aller doucement et ce sera très agréable, lui dis-je en lui souriant. Tu as juste besoin d'être forcée un peu pour passer à l'acte je pense.
Pendant que je lui expliquais ça, je finis de lui enlever ses vêtements et je commençai à apporter du matériel médical près de la table.
-Tom, écoutes. Je sais que tu veux le faire, mais j'ai toujours été angoissée par les lavements et je n'ai jamais été plus loin que des suppositoires dans ma vie. Reportons ça à une autre fois, s'il te plaît ?
J'ai secoué la tête, et je suis resté impassible.
-Couches-toi sur le côté, et relèves une jambe, lui ai-je dit. Je sais que c'est stressant la première fois, alors je vais juste te mettre une petite poire, ok ?
Elle a finalement accepté, à contre-coeur, et s'est placée correctement pour que je puisse voir son petit trou. J'ai commencé ensuite par de petits préliminaires en mettant de la salive sur mon doigt pour lui masser la rondelle. Elle a dû apprécier car elle s'est bien détendue pendant ce massage. Je lui ai alors dit que j'allais démarrer, et je lui ai proposé un suppositoire avant le lavement, mais elle a gentiment refusé. J'ai alors enduit la canule médicale, longue et fine, de vaseline pour faciliter l'introduction, tout en observant le petit cul bien écarté de ma compagne.
-Voilà j'y vais, si tu as peur penses à autre chose.
J'ai dirigé la pointe de la poire remplie vers son petit trou, et je l'ai poussée dedans pas trop profondément pour ne pas la gêner.
-C'est bon, je sens l'eau qui entre, mais c'est un peu froid, fit-elle.
-Tu vois, c'est pas si terrible que ça.
-Oui, mais c'est humiliant surtout.
J'ai terminé de vider la poire, et je lui ai demandé si elle voulait continuer avec une autre poire, mais elle n'a pas voulu aller plus loin pour cette fois, et elle s'est rhabillée.
-Je vais aux toilettes, fit-elle. Pas question que je fasse dans une bassine.
Je n'ai pas insisté, elle avait plutôt bien réagi pour un premier lavement, inutile de la bloquer encore plus.