Vues: 504 Created: 2010.07.21 Mis à jour: 2010.07.21

Biographie d'un infirmier militaire

Épisode 18 : trafic

Un jour, un après-midi, j'étais en journée de repos avec Enora, et je décidai de profiter de cette opportunité pour en savoir un peu plus sur ce mystérieux trafic. En l'observant discrètement, j'ai remarqué à un moment donné qu'elle regardait souvent sa montre, puis elle a quitté le bâtiment et a marché sur un sentier sans prendre de véhicule.

Elle ne faisait peut-être qu'une balade, mais j'en doutais fort, alors je l'ai suivie à bonne distance sans faire trop de bruit. Après plusieurs minutes de marche, le sentier s'est élargi pour laisser place à une petite clairière dont je n'avais pas entendu parler. Au centre se trouvait une sorte d'entrepôt visiblement abandonné. Enora s'y est engouffrée sans faire de bruit. J'ai rejoint le bâtiment à mon tour, puis en le contournant j'ai repéré un vieil escalier que j'ai escaladé pour rejoindre directement l'étage.

Personne n'était visible derrière la porte vitrée, je suis donc entré silencieusement et je me suis retrouvé dans un espèce de grenier qui donnait directement sur le hangar principal au rez-de-chaussée.

Enora était là, avec trois autres hommes, près d'un bureau. Grâce à la mauvaise isolation je pouvais en tendant l'oreille, écouter leur conversation. Les hommes qui m'étaient inconnus étaient habillés normalement, un seul s'adressait à Enora, les deux autres devaient être là pour l'accompagner.

-J'ai deux autres colis pour ton chef, ma belle, fit l'homme en posant devant lui deux sachets plastiques remplis de médicaments.

-Fred, je ne veux plus continuer comme ça. Passes-moi les sachets simplement, je saurais être discrète. Personne ne se doute de rien là-bas.

Cette phrase venait de m'apprendre deux choses : le prénom du trafiquant : Fred, et le fait que seuls Enora et Théo étaient impliqués là-dedans.

-Désolé chérie, on en a déjà parlé mais on ne change pas les règles. Je ne prends aucun risque dans les transactions. Alors fais-moi gentiment voir ton petit cul.

-Pourquoi Théo ne vient-il pas les chercher lui-même ? Demanda Enora. Si ça l'amuse, il n'a qu'à se les cacher dans le cul.

-Tu es payée pour ça je te rappelle. Et puis je ne fais ça qu'aux femmes, c'était ma condition dans notre contrat.

Enora soupira, et s'aida de ses mains pour s'asseoir sur le bureau.

-Je ne transporterai pas vos médocs indéfiniment, au début on avait dit juste quelques mois.

-On reparlera de ta retraite une autre fois, Enora. En attendant obéis, je m'impatiente et je n'aime pas perdre mon temps, mes hommes non plus, d'ailleurs.

Il leur fit signe de venir et tous les trois s'approchèrent de la petite Enora assise sur son bureau. Je ne tardai pas à voir comment ils comptaient procéder : Enora se coucha en arrière d'elle-même et un des deux hommes vint appuyer ses mains sur ses épaules pour la maintenir plaquée sur le bureau. L'autre souleva ses fesses pour enlever son pantalon et un string qu'il laissa par terre, et maintint ses jambes levées et écartées. Elle ne se débattait pas, et le trafiquant se plaça en face de son anus, un sachet à la main.

-Pas besoin de me tenir ainsi, je ne vais pas me débattre, fit-elle.

-Désolé, mais c'est ainsi que je procède moi, répondit-il en écartant ses fesses.

Il étala rapidement un gel sur son anus et se prépara à entrer le sachet dans son derrière.

-Maintenant pousses un bon coup si tu veux m'aider, d'accord ?

Il attendit une petite seconde et força, son doigt fit disparaître rapidement le sachet dans son petit cul, comme s'il avait été aspiré dedans. Cela avait paru facile mais Enora cria faiblement au moment de l'introduction, signalant sa douleur.

Il ne réagit pas et posa tout de suite après le deuxième sachet contre son trou.

-Allez. Encore un et c'est tout.

Il fit rentrer l'autre sachet mais celui-ci fut bloqué par le premier et laissa son anus ouvert. L'homme ne retira pas son doigt et continua d'appuyer jusqu'à ce que tout soit bien enfoncé. Quand il eut fini, deux ficelles rouges assez longues dépassaient des fesses d'Enora, l'homme saisit une paire de ciseaux et n'en laissa que quelques centimètres. Pendant ce temps, Enora respirait fort pour s'en remettre, et on la relâcha.

Elle se relava et il posa sa main sur ses fesses nues.

-Et n'oublies pas, gardes-les bien jusqu'à la fin.