Billie à la piscine
Chapitre 3
Une vingtaine de minutes après, je revenais d'une pharmacie qui par chance était encore ouverte à cette heure. En repassant dans le hall de la piscine j'en profitai pour fermer l'entrée à clé afin qu'on ne soit pas dérangés par de petits curieux.
Billie attendait assise au bord de l'eau. Quand j'arrivai à son niveau, je la pris dans mes bras et elle posa un baiser sur mes lèvres. Ses seins s'appuyaient sur mon torse et elle baissa mon short en me demandant de me mettre à l'aise moi aussi.
C'est ainsi qu'on regagna le local, tous les deux nus, avec mon sexe bien dressé devant moi. Billie n'avait pas regardé le contenu du sac à pharmacie que je tenais pour en avoir la surprise, et je sortis en premier une boîte de suppositoires à la glycérine que je déposai par terre.
-Attends, fit-elle en tendant sa main avant que je commence. J'aimerais que tu me domines en faisant le docteur, c'est un truc qui m'a toujours excitée.
Je lui demandai un peu plus de précisions sur ce qu'elle voulait exactement.
-Ben moi je joue à la patiente qui ne veut pas son traitement et toi tu te débrouilles pour le faire quand même.
-Tu veux que je fasse ça de force, tu es sûre ?
Elle hocha simplement la tête.
Je pris alors un ton un peu plus autoritaire pour me glisser dans le rôle qu'elle m'assignait.
-Bon allez Billie, montres-moi tes fesses pour commencer.
-Non, je veux pas, ça va faire mal, j'en suis sûre.
Elle jouait bien son rôle, son intonation donnait un sens réaliste à la scène. Je sortis du sac plastique un pot de vaseline que j'ouvris et posa pas loin de moi.
-Désolée, ma grande, c'est pour ton bien. Tu es constipée il faut que je te mette ton médicament.
Je pris la jeune fille dans mes bras et elle essaya de se dégager avec des « non » plaintifs. Après une bonne minute de débattements énergiques, j'arrivai enfin à la placer dans une position pratique dans laquelle je la maintenais fermement : couchée sur le ventre et coincée entre mes cuisses, ses petites fesses étaient à ma merci. Je trempai mon doigt dans le pot de vaseline et le dirigeai entre ses fesses. Mon index rencontra une légère résistance devant son trou serré mais le lubrifiant fit son travail et je sentis mon doigt glisser dans cet orifice chaud.
-Non, pas dans mon cul, se plaignait-elle.
Je sentais son petit muscle rond se serrer sur mon doigt alors que je le retirais.
-Allez, un petit suppositoire maintenant.
-Non, je veux pas de suppositoire. Ça pique !
Ignorant ce qu'elle disait, je sortis un des médicaments de la boîte et l'introduisis de force dans son derrière.
-Calmes-toi, encore un deuxième et c'est bon.
Même traitement que pour le premier, j'espérais que je ne lui faisais pas mal à lui violer son petit trou de cette façon, même si c'est elle qui le désirait.
Je dû m'y mettre ensuite à deux mains pour réussir à écarter ses fesses et vérifier que les deux suppositoires ne ressortaient pas, mais elle n'arriva pas à les expulser. Je décidai donc de lâcher prise pour la laisser un peu se calmer.
-Restes ici, lui dis-je. Je vais te rajouter un lavement avant que tu n'ailles aux toilettes.
-Non, s'il te plaît, suppliait-elle.
Elle assista sans rien faire à la préparation du matériel, puis au moment de commencer elle recommença à faire une scène.
-J'ai besoin d'aller aux toilettes, pas la peine d'un lavement en plus.
-Chut, Billie. Arrêtes de faire l'enfant.
Je grimpai sur la couchette où elle s'était assise et la poussai doucement en arrière pour l'allonger sur le dos. J'avais posé le canule bien lubrifiée pas loin de moi au cas où il faudrait lui planter contre son gré. Je saisis chacune de ses chevilles fermement et les soulevai pour les ramener vers son ventre.
-Voilà, fis-je. Maintenant cesse de te crisper ainsi, je vais y aller.
La canule était terminée par une forme ronde plus volumineuse pour empêcher l'expulsion, je la posai contre son anus.
-Allez, pousses comme si tu étais aux toilettes.
-Non, ne me fais pas de lavement, pitié.
-Bon allez...
-...Aïe...
Je venais de lui rentrer la canule en force et en profitai pour ouvrir le robinet du bock.
-Désolé Billie, je devais le faire moi-même si tu ne m'aidais pas.
-S'il te plaît, ça presse trop, je dois y aller.
-Non, fis-je, catégorique. Tu attends la fin du lavement.
Elle tenta un moment de retirer elle-même la canule que je tenais, mais je tins bon et lui donnai immédiatement une fessée qui eut pour effet de la calmer tout de suite.
Le reste de l'opération se déroula sans problème.Après l'avoir libérée de la canule, je la portai dans mes bras , une main soutenant également ses fesses jusqu'aux WC de la piscine où elle put se soulager tranquillement.
Une fois ressortie, je lui annonçai que c'était tout ce que j'avais prévu pour elle. Elle se plaqua alors contre moi et me chuchota :
-Merci, c'était vraiment excitant comme préliminaires.
Mes doigts se dirigèrent instinctivement vers son sexe, et les siens vers mon pénis. On retourna dans le local se coucher sur des matelas en mousse pour faire l'amour. Durant nos ébats je sentis un doigt se planter dans mon cul.
-Petite vengeance, précisa Billie avec un sourire et en retirant son doigt pour ne pas me mettre mal à l'aise.
On continua de faire l'amour, puis un moment elle se retourna, le ventre contre le matelas, et attendit de se faire sodomiser. Je rentrai sans souci dans son orifice à présent tout propre, puis me mis à remuer jusqu'à l'éjaculation finale dans ses fesses.
-Tu as vraiment fais fort, j'ai mon trou qui me brûle un peu, remarqua-t-elle.
-Désolé, j'aurais dû utiliser un lubrifiant.
Elle se retourna face à moi.
-C'est pas grave, c'est vraiment bien comme soirée.
fin de la troisième partie, je ne sais pas encore s'il y aura une suite à cette aventure.
I surely can do this for you