Billie à la piscine
Chapitre 5
Je suivais Billie dans les rues avec mon sac sur les épaules, pour venir dans son quartier, on avait pris deux métros. J'essayais de retenir le mieux possible le chemin si je devais revenir seul une autre fois. Finalement, elle ouvrit une porte en bois et monta un escalier jusqu'au troisième étage.
En entrant, je découvris Sophie entrain de prendre son petit déjeuner devant la télévision. Elle vint à notre rencontre et Billie nous présenta. Sophie faisait une tête de moins qu'elle et avait de long cheveux noirs et lisses. Elle portait encore un pyjama. Elle était toute aussi mignonne que Billie, mais semblait à première vue un peu timide.
Une fois dans sa chambre, Billie me chuchota dans l'oreille :
-Tu la trouves mignonne, Sophie ?
-Ben oui, elle est jolie, pourquoi ?
Elle sembla chercher ses mots.
-Ça te dirait de lui faire un bilan médical à elle aussi ? Hier soir elle ne se sentait pas super en forme et prévoyait peut-être d'appeler un médecin, alors je peux lui dire que tu peux t'en charger.
-Mais je ne suis pas médecin, répliquais-je. Et tu veux que je lui fasse quoi ?
-Fais semblant de l'examiner un peu, t'as déjà été chez un docteur, non ? Puis tu trouves un prétexte pour lui faire ce que tu m'as fait hier.
-Et si elle ne veut pas ?
-Dans ce cas un peu de vaseline devrait aider je crois, fit-elle avec son sourire mesquin.
Vingt minutes plus tard, je m'asseyais sur le rebord du lit de Sophie. Convaincue rapidement par Billie, elle était déjà couchée sur le dos, toujours en pyjama. Billie attendait sur le seuil de la porte.
-Bon, j'ai pas emporté avec moi tout mon matériel de toubib mais on va toujours voir ce qu'on peut faire, prévins-je. Tu te sentais comment hier matin quand ça a commencé ?
-Un peu fatiguée, et quelques maux de ventre aussi, avant de dormir.
-Ok, ben on va déjà commencé par de petites vérifications.
Je me penchai sur son visage et ouvris ses yeux pour les observer, je lui demandai d'ouvrir la bouche et de dire A, puis je manipulai doucement sa tête sur les côtés pour regarder ses oreilles.
Ensuite ce fut un peu plus sérieux.
-Je vais regarder ton ventre et je prendrai ta température après, lui dis-je.
Je remontai alors son chemisier jusqu'au cou, observant ses magnifiques petits seins : un plus petit gabarit que ceux de Billie mais qui gardait tout son charme. Heureusement, elle ne semblait pas embarrassée par ce geste, probablement parce que toutes les filles se montrent ainsi devant un docteur.
-Tu as mal vers où ? A la poitrine ou en bas ?
-Je sais plus, je n'ai plus très mal maintenant.
-On va un peu examiner ça alors.
Je lui touchai les seins en premier, devant le regard de Billie qui exprimait clairement le désir : « ce soir c'est mon tour » pensait-elle sûrement. Puis mes mains glissèrent vers son ventre, pressant certains endroits avec des gestes qui se voulaient professionnels. « Rien de spécial visiblement », marmonnais-je.
« Bon allez c'est le moment de passer à la température ».
Je pris le pantalon de Sophie et tirai dessus légèrement.
-Hé attends, prévint-elle, je suis toute nue là-dessous.
-Ne t'inquiètes pas, c'est normal, je dois prendre ta température.
-Ah ... ok alors.
Elle ne semblait pas très réjouie par la nouvelle mais écouta ce que je lui dis. Je finis donc de retirer entièrement son pantalon, et donc de la déshabiller, et je le posai à côté de nous sur le lit. Contrairement à Billie qui avait une fine toison cachant son sexe, Sophie était épilée intégralement.
-Tu as eu des rapports sexuels ces derniers jours ? Demandais-je.
-Non, ... je suis encore vierge, répondit-elle après une hésitation.
Je hochai la tête.
-Ok, maintenant tournes-toi, je vais prendre ta température.
Elle me demanda alors si elle devait se tourner sur le ventre ou sur le côté simplement.
-Comme tu préfères, du moment que je puisse planter le thermomètre.
Elle se mit sur le ventre et me montra son fessier bien ferme. Pendant qu'elle se préparait, j'avais sorti la vaseline et en avait étalé sur mon doigt. J'écartai alors ses fesses avec deux doigts, et frottai son anus tout serré pour l'assouplir un peu.
-Je vais te mettre un peu de vaseline avant.
J'enfonçai progressivement mon doigt dans son trou qui se resserrait sur moi et Sophie ne bronchait pas. Elle avait sa tête enfouie dans ses draps et je ne pouvais distinguer si elle éprouvait de la gêne, du plaisir, ou peut-être un peu des deux.
Après avoir saisi l'instrument, je dégageai à nouveau l'anus de Sophie et le plantai dans son petit trou lubrifié.
Billie s'était rapprochée du lit pour observer l'opération de plus près.
-Tu n'as pas eu mal ? Demanda-t-elle à sa colocataire.
Celle-ci hocha négativement la tête. Elle attendit tranquillement que je retire l'instrument.
Je pinçai la tige de verre et l'extirpai délicatement de son trou de balle.
-Tu n'as pas de température, lui annonçais-je. Je devrais peut-être te faire un dépistage pour les maladies de ventre.
Billie intervint :
-Je peux y avoir droit aussi ?
-Bien sûr. Il faut que vous vous déshabillez entièrement toute les deux pour ça.
-Déjà fait, fit remarquer Sophie en relevant la tête.
-Je suis prête dans un instant, fit à son tour Billie en commençant à retirer son chemisier.
Sophie se redressa en position assise et sourit en voyant nos regards complices : elle venait de commencer à comprendre le jeu qui s'installait entre nous trois.