Souvenirs de Jean
Chapitre 6 - Jean et sa voisine
Allo docteur ?
Fasciné par la médecine je me promenais souvent en blouse blanche, un stéthoscope dissimulé le plus mal possible, mais détrompais toujours mes interlocuteurs sauf que…
Une voisine avait pris l'habitude de me nommer docteur malgré mes dénégations,lui expliquant que je n'étais qu'étudiant dans une branche particulière, et comme cette curieuse insistait je lui précisait étudier l'effet"Kirlian"et ses répercutions médicales .
Ce fumiste russe ayant suffisamment fait parler de lui par n'importe qui, une simple compilation me permettait d'en parler des heures durant. Je savais tout ce qui concernait ma voisine au demeurant encore appétissant malgré une cinquantaine bien tassée.
Une ménopause sans problèmes lui avait laissée un appétit sexuel qu'elle aurait bien voulu assouvir avec moi.
J'avais a coup sur mon repas du soir assuré par ses soins et quelques travaux de blanchisserie gratuit en échange il m'arrivait de lui donner quelques conseils de bon sens et je lui retirais une écharde, lui massait suite a une chute le bas des reins.
Grimpée sur un escabeau elle glissa, s'enfonçant une vilaine écharde dans la fesse et se faisans très mal a la région lombaire avec une écorchure plus cuisante que sérieuse.
Alerté par le bruit, et n'obtenant que des gémissements à travers la porte, je poussais celle-ci heureusement non verrouiller pour la voir à demi étendue, jupe retroussée sur des dessous coquins, je tentais de la relever mais elle se plaignait et comme je lui proposais de faire venir un docteur, elle protesta.
"Vous pouvez bien me soigner, je n'en dirais rien à personne."
Je récupérais chez moi ma trousse et après qu'elle se fut allongée à plat ventre sur son lit j'entrepris de retrousser sa jupe sur ses reins mais l'épine tiraillée la faisant souffrir je dégrafait la jupe et lui retirait la laissant en petite culotte.
Elle avait encore de belles fesses bien fermes et avec des gestes de praticien j'examinais la chose.
"Votre culotte vas me gêner pour extraire l'écharde !"
"Alors retirez-la ! Ce n'est sans doute pas la première paire de fesses que vous verrez non ?"
"Sans doute pas aussi appétissantes"
"C'est vrais vous les trouvez bien ?"
"Ne bougez plus s'il vous plait !"Et d'une pince à épiler maniée comme un bistouri je retirais l'intruse et un coton imbibé d'alcool assura l'asepsie, mais voulant trop bien faire un peu d'alcool coula le long de la fesse s'infiltrant dans le sexe heureusement débordant de cyprine.
Quel bond ! Mais aussi tôt je tamponnais le sexe d'un coton sec apaisant la brûlure, mais augmentant les secrétais.
Un vilain bleu marquait le début du sillon fessier et ma mallette magique me fournis la solution. Une pommade a l'arnica qu'il suffisait de faire pénétrer d'un massage doux.
Je m'y employais de suite, la couche généreuse assurant la lubrification et la disparition progressive de la douleur. Je lui écartais les fesses pour bien accéder à la zone concernée et comme le petit œil m'y invitais le touchait légèrement lui demandant"si la aussi elle avait mal."
La gorge serrée elle me répondis que"c'étais a la fois externe et interne".
Je désinfectais l'éraflure en profitant pour lui faire retirer son soutien-gorge la laissant nue offerte a mon regard. Le retrait du soutien l'avait obligée à se mettre de face me révélant un sexe épilé, mais bien vite elle se remit à plat ventre.
"Je vous trouve bien tendue, crispée !"
"Je peut vous le dire, je suis constipée"
"Quel remède utilisez-vous habituellement ?"
"Je n'aime pas beaucoup les micro - lavements, mais les suppositoires a la glycérine, la poire ou le bock j'ai tous ce qu'il faut mais seule ce n'est pas facile"
"Je vais donc vous aider ! si on commençait avec un ou deux suppositoires, et peut-être qu'une ou deux poires ou si vous préférez le bock ?"
"Sans doute le tout ! Si vous pouvez m'aider ?"En un instant elle eut tout préparé se déplaçant nue dans la chambre et la salle de bain. Elle disposa une grande alèze en caoutchouc rouge sur son lit et se recoucha me tendant ses fesses.
"Comme je viens de me désinfecter les mains et que vous me semblez saine, je vais travailler à mains nues"Mon index enduit de lubrifiant n'eut aucun mal à visiter son rectum.
"Ma question est toute médicale avez-vous pratiqué la sodomie ?"
"Oui, mon mari me prenait souvent de ce côté, mais depuis deux ans je n'ai plus que les canules."
Appréciez-vous ?"
"Oh oui beaucoup mais seulement avec douceur"
"Vous allez vous placer a quatre pattes, pour commencer et vous tenez bien vos fesses ouvertes"Les deux suppositoires disparurent comme avalé et l'index ne pus en trouver trace ! De même deux poires furent injectées puis il la disposa sur le coté pour lui injecter deux litres très doucement tout en agitant la grosse canule. Il eut du mal à retirer la canule tant elle serrait les fesses. Elle courus sur les toilettes et un bruit de cataracte accompagnée de pets lui confirma sa disponibilité.
Elle se remit à quatre pattes.
"Vous, vous occupez du reste aussi ?"
"Bien sûr et dite moi si je vous fais mal ?"
Deux doigts graissé dans son anus et sa verge enduite aussi, il rajouta un doigt mais ralentis elle gémissait de plaisir aussi retirant ses doigt il s'engouffra, sans aucune difficulté dans ce gouffre brûlant.
Il y laissa sa sève et comme épuisé il tentait un retrait il se retrouva couché sur le dos et sa"patiente"travaillant toujours un membre a demis tendu mais incapable d'éjaculer.
Sa prostate lui en laissant la possibilité il vida sa vessie a grand jets lui arrachant des orgasmes continus et a son tour elle lui pissa sur le ventre épuisée mais ravie.
Apres s'être soulagée elle fit couler un grand bain où elle s'occupa de lui mieux qu'une nurse patentée