fiction de suppositoires
Le soir
Ce soir là alors que je rentrais tranquillement de la faculté de Médecine je pénètre dans ma maison et constate que ma mère, une femme qui fait plus jeune que son âge et extrêmement jolie, ne se trouve pas dans la cuisine à préparer le repas. Au contraire celui-ci est déjà dressé et des petites bougies ont été ajoutée avec seulement deux couverts. Je trouve ça étrange et monte donc à l'étage pour rejoindre ma chambre sans faire de bruit. Avant d'arriver à ma chambre je dois passer devant la porte de la chambre de ma sœur. Sa porte est juste entrouverte et je peut observer ma sœur, qui est une fille plutôt petite pour son âge, avec de jolis yeux marrons et des cheveux noirs frisés, allongée sur son dos avec les jambes en l'air. Sa culotte de pyjama est à ses cotée posée sur le lit et ses chaussures roses gisent sur le sol. Voyant ma sœur dans le plus simple appareil je ne peut m'empêcher de remarquer qu'elle est mince et très jolie et ressent donc une pointe d'excitation. Je m'aperçois ensuite que ma mère se trouve dans la chambre. Elle tiens d'ailleurs une boîte dans sa main. Dont elle sort un petit étuis blanc en forme de fusée qu'elle commence à déballer, dévoilant l'ogive blanche qui se cache en dessous. Elle approche l'engin des fesses de ma sœur, pose la partie plate contre son anus et pousse avec son doigt pour le faire entrer à l'intérieur avant de le retirer au bout de quelque secondes. elle conclut "Voilà ma puce maintenant tu va pouvoir faire un gros dodo" Avant d'entreprendre de rhabiller Sophie.
J'essaie donc de faire demi-tour, mais le panneau de plancher craque et ma maman m'aperçois. Elle s'empresse de rhabiller ma sœur, ramasse la boîte qu'elle à posé sur le lit pendant qu'elle rhabillait ma sœur et viens vers moi "Lucas tu est rentré c'est parfait file à la douche"
N'osant pas désobéir je me hâte donc d'aller à la douche, que j'expédie en seulement quelques minutes, avant de passer une serviette autour de ma taille et de ressortir. En repassant devant la chambre de Sophie je constate que celle-ci dort à point fermé et qu'une drôle d'odeur de plante règne dans la pièce.
Je regagne donc ma chambre où à ma grande surprise m'attend ma mère. "Ce soir je compte passer une soirée romantique avec votre père et comme on risque de faire un peu de bruit, j'ai amené quelque chose pour que tu passe une bonne nuit"
"Qu'est ce que c'est des boule quies ?"
"Non des suppositoires pour aider à dormir" Me répond ma mère en exhibant la boîte.
"Tu plaisante Maman j'ai 22 ans" Dis je, pas du tout emballé à l'idée de recevoir un de ses médicaments.
"Bien tiens toi bien droit" Dit ma mère en commençant à me regarder.
"Qu'est ce que tu raconte Maman ?" Dis je surpris par ce changement d'attitude.
"Laisse tes bras le long de ton corps" Poursuis t'elle.
"Je comprend pas très bien ?" Dis je en commençant à me sentir étrange.
"Regarde moi fixement bien dans les yeux" Insiste ma mère.
"Si tu crois que je vais me laisser hypnotiser aussi facilement pour que tu me mette un suppositoire" Dis-je sur la défensive.
"Non c'est toi qui va le mettre tout seul comme un grand" Dit ma mère en appuyant le regard et en sortant une fusée dans son emballage de la boîte.
"Regarde je m'allonge, t'as juste à me dire de dormir" Dis je en m'allongeant sur mon lit, espérant ainsi trouver un moyen d'échapper au suppo.
"C'est très bien Lucas mais tu ne va quand même pas dormir avec ta serviette ?" Poursuis ma mère.
"Non tu as raison" Dis-je en enlevant la serviette me retrouvant l'entrejambe à l'air devant ma mère sans aucune gène à cause de l'hypnose.
Elle appuie donc son regard hypnotique avant de dire "Élève de médecine Martin Lucas pouvez vous nous faire la démonstration de l'insertion d'un suppositoire à un patient sur vous même" Tout en me tendant le médicament.
Complètement absorbé par son regard je répond "Bien sûr professeur" tout en m'emparant du suppositoire.
La technique d'insertion la plus facile étant sur le coté en chien de fusil, les jambes repliées sur elle même, c'est donc celle que je choisis tout en détaillant la procédure à haute voix.
Une fois le suppositoire inséré je ne tarde pas à prendre le chemin du sommeil.