Christophe, jeune homme naïf
Découvertes à deux
Le lendemain, il était clair que Cécile et Christophe étaient « ensemble »… Les regards échangés en disaient long. Et le soir, Christophe se retrouva à nouveau chez Cécile. À peine la porte fermée, ils s’enlacèrent et s’embrassèrent. Les vêtements ne tardèrent pas à tomber.
Cécile prit une initiative. « Ça te dirait de prendre une douche ensemble ? ». La chambre de Cécile disposait en effet d’une petite salle d’eau douche-lavabo.
C’était étroit, mais amusant. Ils se mouillèrent, puis Cécile commença de savonner Christophe, d’abord le haut du corps.
« Ça me rappelle quand je donnais le bain aux petits enfants que je gardais… sauf que tu es bien plus intéressant ! »
disait-elle en lui caressant le torse de sa main savonneuse.
Elle lui savonna alors le sexe. « C’est vraiment marrant, c’est vraiment tout lisse et ça glisse bien. », s’amusa-t-elle alors que sa verge se mettait au garde-à-vous, puis elle lui savonna le dos et les fesses.
« J’aime bien tes fesses. Excuse-moi, mais je découvre comment c’est fait, un garçon… Mmh… tu veux que je fasse comme avec les enfants ?
— Comment cela ?
— Hé bien les enfants on leur savonne l’entre-fesses.
— Heu si tu veux. »
La main passa entre les fesses. « Pour eux j’avais un gant de toilette mais là… Ah mais c’est amusant je sens ton anus ! »
Effectivement le doigt de la jeune femme lui taquinait cet orifice que personne n’avait touché depuis qu’il n’avait plus l’âge que sa maman lui mette des suppositoires ! Il eut certainement un mouvement, puisque Cécile s’excusa
« Oh pardon c’est juste que je trouvais ça amusant.
— Non non tu peux toucher… »
Elle lui explora le relief fripé de son œillet, puis passa au savonnage des jambes. Elle nota que la verge était toujours en bonne position.
« Je crois que c’est le moment de rincer. »
Elle repassa méthodiquement partout où elle avait savonné, insistant sous les bras, sur le sexe (« on m’avait dit de bien rincer là ») et dans l’entre-fesse, n’hésitant pas à agir de ses doigts.
« À ton tour maintenant. »
Christophe n’avait aucune expérience en la matière, aussi fit-il comme Cécile lui avait fait. Le torse, les seins (en profitant pour les peloter), insister sous les aisselles, puis le ventre.
« Euh… je crois qu’il va falloir que tu écartes les jambes. »
Elle s’exécuta, mais quand elle vit sa main savonneuse s’approcher, elle l’arrêta.
« Alors Christophe, pour laver le sexe d’une fille, on savonne sur la peau autour, les poils tout ça mais on ne met pas de savon entre les lèvres de la vulve et encore moins dans le vagin. On n’y met que de l’eau. Tu sauras faire ? »
Sous la direction de Cécile, il lui fit sa toilette intime. Après avoir rincé le sexe (qu’il se trouvait confiant lui qui hier encore n’avait jamais vu l’intimité d’une femme !), il lui demanda de lui tourner le dos.
Il lui savonna les fesses puis, prenant exemple sur elle, lui savonna l’entre-fesses et l’anus. Puis il la rinça comme elle le lui avait fait.
« J’ai beaucoup aimé ! » lui dit-elle avec un sourire. « Ça me fait marrer de penser que j’étais en train de me faire doucher par toi tandis que les autres font je ne sais pas quoi dans leur chambre.
— J’ai trouvé ça super. »
Ils s’essuyèrent réciproquement en riant. Ils n’auraient pas pensé que la sensualité pût être si plaisante, si libératrice. Toutefois, ils n’allaient pas s’en tenir là, et finirent bientôt tout nus l’un contre l’autre sur le lit à s’embrasser et à se caresser.
La main de Christophe finit par s’aventurer entre les cuisses de son amie. Ses doigts trouvèrent l’orifice déjà bien humide. Il avait beaucoup entendu des garçons se vanter de faire « mouiller » leur amie, il connaissait depuis hier le sens de cette affirmation… Il commença à la caresser dedans et dehors en se frottant contre elle.
« Christophe, pourrais-tu y mettre ta langue ? »
Elle était toute surprise de sa propre audace, même si elle était préméditée. Ils se remirent comme hier, lui à genoux par terre et elle au bord du lit, et il la lapa. C’était différent, forcément, la vulve lavée n’avait plus ce goût âcre, mais au moment de passer la langue à l’entrée du vagin il sentit un goût différent, acide. Il s’enhardit, enfonça son doigt et le suça. C’était ça ! C’était follement excitant. Il se frottait le visage sur son sexe, lui mettait le doigt, la touchait par l’intérieur comme il avait fait un peu par hasard hier d’une manière qui lui avait plu, la léchait.
Cécile eut un splendide orgasme. Christophe, plus expérimenté qu’hier, sentit quand cela arriva et arrêta de lui-même de la lécher. Il se coucha à côté d’elle.
« Qu’est-ce que c’est bon ! » dit-elle. « J’ai du mal à croire que je sois la première.
— Hé si !
— Je vais t’avouer une chose : depuis tout à l’heure dans le couloir de l’école j’avais envie de te mettre la main aux fesses, j’avais envie que tu me lèches. C’est pour ça que j’ai eu l’idée de la douche, pour que je sois plus propre pour toi. Mais déjà la douche rien que ça c’était super bon ! Tu me rends folle ! Et maintenant tu sais quoi ?
— Non mon cœur ?
— J’ai envie de te sucer la verge. »
Cécile se mit en position et s’activa. Christophe finit par l’arrêter.
« C’est très bon mais… tu m’enfonces ton coude dans le diaphragme.
— Oh pardon ! »
Ils changèrent de position. Cécile tenait la verge d’une main, la suçait, puis arrêtait et frottait le gland de son autre main…
« Cécile, je vais… »
Mais Cécile était déjà en train de passer de la main à la bouche, et le sperme, à son insu, dégoulinait déjà du gland, quand elle l’emboucha.
« Oh désolé Cécile je ne voulais pas ! »
Cécile, qui avait préparé un mouchoir pour recueillir l’éjaculation de sa conquête, s’essuya la bouche.
« Pas grave. Pas de ta faute. Puis j’aurais pensé que c’était pire que ça… Le goût n’est pas super mais il n’y a pas de quoi hurler. »
Après un moment calme à deux, ils se rhabillèrent pour travailler un peu et aller prendre leur dîner.
Belle suite .....