Christophe, jeune homme naïf

Cécile

La vie continua. Christophe entra en école d’ingénieurs. Là, il fit la connaissance de Cécile, de la minorité féminine. Cécile était timide et Christophe aussi, mais ils finirent par se retrouver tous les deux dans la chambre de l’étudiante. Cécile n’y tenait plus et enlaça Christophe. Celui-ci osa enfin embrasser la demoiselle.

Les inhibitions étaient tombées et les mains des deux jeunes s’activaient sur le corps l’un de l’autre, d’abord sur les vêtements, puis sous les vêtements.

« J’ai envie de te déshabiller. » finit par dire Christophe. « Vas-y. »

Christophe était maladroit, mais il réussit à la débarrasser de ses vêtements du dessus. Elle était maintenant en culotte, chaussettes et soutien-gorge. Il s’enhardit et, après avoir un peu bataillé avec l’agrafe, lui libéra les seins. Il y porta les mains alors qu’il était derrière, puis contourna la demoiselle et la regarda par-devant. Il lui embrassa les tétons. « Hi hi ça chatouille ! »

Christophe la caressait. Il hésitait à lui enlever sa culotte. Elle dut percevoir cette réticence.

« Tiens enlève-moi mes chaussettes, je me sens ridicule. »

Il s’exécuta. « Maintenant, la culotte. »

Christophe n’avait jamais qu’entraperçu des poils pubiens féminins ; on était encore à une époque où l’accès à la pornographie était restreint. Cette touffe rousse le ravit.

Cécile se redressa, montrant son corps nu.

« Ça te plaît ?

— Beaucoup… tu es magnifique !

— C’est la première fois que je suis nue devant un garçon. Mais avec toi je me sens bien. En parlant de toi, je crois qu’il est temps que tu sois nu toi aussi. »

Cécile entreprit le déshabillage du garçon. Elle s’était occupée d’enfants et avait plus l’habitude que lui d’enlever les vêtements sur quelqu’un d’autre. Au moment du slip, elle n’hésita pas et Christophe se retrouva déculotté. Quand il fut nu, elle le câlina. C’était enivrant.

« Tu permets ? Je n’ai jamais vu d’homme de près à part des petits garçons. »

Elle regarda la verge en fronçant les sourcils.

« Ce n’est pas fait comme chez ceux que j’ai vus… Euh… tu es juif ?

— Non… j’avais un phimosis, on m’a opéré l’an dernier.

— C’est quoi un phimosis ?

— On ne peut pas tirer le prépuce, la peau qui couvre le gland. Ça m’avait provoqué une infection, alors on m’a conseillé une opération. Je ne m’attendais pas à ce qu’ils retirent tout !

— Oh pauvre de toi. Ça fait mal ?

— Ça a été un peu inconfortable juste après l’opération mais là ça va mieux.

— Très bien. »

Elle posa sa main sous les bourses. « Tu permets ? Je suis vraiment curieuse, je n’ai jamais senti comment c’était fait. »

C’était la deuxième fois en un an que Christophe se faisait palper les testicules par une dame, mais cette fois dans un contexte bien plus agréable.

Christophe s’enhardissait. Quand son examen intime fut fini, il osa

« Et toi ? J’aimerais voir aussi.

— D’accord… je me mets comment ?

— Et si tu te mettais au bord du lit jambes écartées ? »

Pour Cécile, qui n’avait jamais subi d’examen gynécologique, c’était une grande première, mais cela lui faisait plaisir de « tout montrer » à ce garçon. Il regardait avec avidité.

« Je peux toucher ?

— Oui vas-y… Je vais te guider, ça c’est mon clitoris. L’organe rien que pour le plaisir ! »

Cécile était très inexpérimentée avec les garçons, mais un mélange de lectures théoriques et d’actions manuelles seule dans son lit lui avaient appris son usage, même si un reste de morale judéo-chrétienne en elle trouvait ces actes honteux.

Ses doigts continuaient d’explorer. Il sentit les petites lèvres, puis posa son doigt à l’entrée d’un orifice bien humide.

« C’est l’entrée du vagin » lui précisa inutilement Cécile.

« Je peux mettre mon doigt ?

— Tu as les mains propres ?

— Oui.

— Vas-y. »

La sensation était incroyable. C’était chaud, humide. Le doigt passa au travers d’une portion un peu étroite. Était-ce cela l’hymen, que Christophe avait rencontré dans ses lectures ? Il entreprit de tâter un peu l’intérieur.

« Mais ça fait du bien ! Je n’avais jamais fait ça…

— Tu ne te doigtais pas ?

— Si mais juste un peu l’entrée. Continue. Et puis touche-moi le clitoris… »

Christophe n’avait aucune expérience, mais ne demandait qu’à apprendre. Il s’activa, suivant les indications de Cécile. Il eut une inspiration, elle aussi issue de lectures… il posa la langue là où il avait mis le doigt. Le goût était un peu âpre, ça sentait un peu le pipi, mais qu’est-ce que c’était excitant ! Quant à Cécile, elle fut surprise mais apprécia tout de suite cette caresse qu’elle n’avait jamais connue. Sa respiration se faisait de plus en plus forte. Elle ne disait plus rien, dirigeant par gestes. Son corps fut pris de saccades, elle repoussa Christophe.

« Je t’ai fait mal ? »

Cécile reprenait sa respiration.

« Non pardon mon cœur mais quand j’ai eu mon orgasme après j’ai le clitoris très sensible et c’est désagréable. »

Christophe se rengorgea. Lui, si expérimenté, avait pu faire « jouir » une fille, comme ses amis disaient !

Ils se pelotonnèrent.

« Christophe tu sais c’est la première fois que je le fais avec quelqu’un et j’ai vraiment beaucoup aimé.

— Moi aussi.

— Et si je m’occupais de toi ? »

Elle se saisit de la verge. Elle n’avait là-dessus que des connaissances théoriques et vu quelques extraits pornographiques, et se mit à astiquer l’engin de bas en haut.

« Pardon Cécile mais là… tu me fais mal à la cicatrice.

— Oh pardon.

— Il faudrait peut-être lubrifier, ou alors tu frottes moins haut ? »

Le gland sous le nez, Cécile hésita. Elle prit une inspiration, souffla, et se mit à lécher l’engin.

« C’est la première fois que je fais ça. J’ai un peu peur…

— Pourquoi mon cœur ?

— Peur que tu n’éjacules dans ma bouche.

— T’inquiètes je te préviendrai. »

Rassurée, elle prit le gland dans sa bouche. Elle avait appréhendé cette caresse, mais la trouvait maintenant curieusement plaisante. Elle suça la chair.

« C’est tout doux, tout lisse ! » s’écria-t-elle avec enthousiasme !

Alternant mouvements de la main et succions, elle amena bientôt Christophe à s’épancher dans ses doigts. Elle rit devant le résultat.

Ils dormirent à deux dans le lit une place.

Comments

Franck Il ya 4 ans  
clyso Il ya 4 ans