Les études de Marie-Jeanne
Extraits végétaux
La cinglante fessée avait atteint son objectif. Marie-Jeanne était devenue sensiblement plus attentive en vélo : le souvenir de sa cuisante punition lui revenait régulièrement à l’esprit !
Les études se poursuivaient, ainsi que la curieuse vie de couple caché avec sa logeuse. Celle-ci, un soir, refusa les baisers de Marie-Jeanne.
« Ma petite je suis enrhumée et j’ai mal à la gorge. Je vais éviter de vous contaminer, préservez votre voix pour vos études. »
Si la transmission se fait de bouche à bouche, entre voies respiratoires, raisonna Marie-Jeanne, elle ne s’effectue pas pour autant de vulve à bouche. Le soir venu, après avoir couvert sa partenaire de baisers, elle présenta lui ses jambes écartées. Madame Granlean ne se fit pas prier, et après avoir à son tour couvert la poitrine et le ventre de la jeune femme de baisers, elle lécha les parties sensibles jusqu’à l’orgasme de sa partenaire. Marie-Jeanne, après s’être remise de ses émotions, lui rendit la pareille, si ce n’est qu’elle agrémenta son geste d’un massage interne.
Le lendemain matin, alors que Marie-Jeanne partait pour l’université, madame Granlean lui demanda un service : pouvait-elle passer à une pharmacie acheter des pastilles pour le mal de gorge ? Sa boîte était presque terminée.
À la sortie de l’université, se disposant à rendre ce service, Marie-Jeanne songea à un petit incident arrivé il y a quelques semaines alors qu’elle gardait les enfants des Leloup tandis que ceux-ci sortaient pour la soirée.
« Juste avant le coucher, vous rappellerez à Julie qu’elle doit se mettre un suppositoire pour son mal de gorge. Vous lui en donnerez un, la boîte est dans la porte du réfrigérateur, et vous lui rappellerez qu’elle doit d’abord aller à la selle, et ensuite mettre le chiffon dans sa culotte.
— Des suppositoires pour le mal de gorge ?! Je n’en avais jamais entendu parler !
— Ils sont très efficaces, je prends la version adulte quand je suis affectée.
— Et… euh… pourquoi un chiffon ? »
Madame Leloup avait eu un petit rire.
« Malheureusement il y a parfois quelques fuites. »
Marie-Jeanne avait rougi. Elle aurait dû y penser.
« Julie n’aime pas ce traitement. Si elle renâcle, dites-lui qu’elle aura affaire à moi. »
L’heure du coucher venue, Marie-Jeanne avait exécuté les ordres de la maîtresse de maison. Comme prévu, Julie avait fait la tête quand Marie-Jeanne lui avait présenté le suppositoire, à la forte odeur, et avait roulé des yeux vers le ciel en entendant Marie-Jeanne lui rappeler qu’elle devait d’abord aller à la selle et ensuite mettre le chiffon. Toutefois, Julie avait dû sentir qu’il serait vain de tenter de négocier, et, l’air dégoûté, était partie aux toilettes y faire ce qu’elle avait à y faire.
Marie-Jeanne demanda donc au pharmacien non seulement la boîte de pastilles demandée, mais aussi une boîte de suppositoires de la marque utilisée par madame Leloup « pour adultes ».
Au moment de la toilette du soir, Marie-Jeanne fit une demande incongrue à madame Granlean.
« Madame, allez donc à la selle avant que je ne vous lave.
— Mais, je n’ai pas envie.
— Essayez du moins. »
Et une fois au lit…
« Madame, je vous ai pris des suppositoires pour votre mal de gorge.
— Ne pensez-vous pas que ce n’est pas le bon orifice pour passer un traitement pour la gorge ?!
— On m’a assuré de leur efficacité. Ne faites pas votre mauvaise tête !
— Ce serait plutôt le mauvais derrière ! Allez, soit. »
Madame Granlean se mit en chien de fusil.
Marie-Jeanne avait peu d’expérience en matière d’administration de suppositoires. On lui avait donné une fois un tel traitement quand elle était petite, en plus des « quilles de savon » tant détestées. À l’adolescence, sa mère l’avait une fois sommée de s’administrer une « quille » sous la menace que si elle ne s’exécutait pas, elle viendrait la lui mettre elle-même — un moment peu agréable ! Marie-Jeanne opta pour le confort et la sécurité : elle se mit un peu de Vaseline sur le bout du doigt, oignit l’anus de madame Granlean, présenta le remède par la pointe et d’un geste preste l’enfonça le plus profondément qu’elle put, puis se retira et essuya l’excès de lubrifiant.
Les ébats qui suivirent furent assez amusants.
« Marie-Jeanne… le remède que vous m’avez administré me picote. Un peu comme si j’avais pris un bonbon à la menthe par le derrière.
— Oh madame ! C’est douloureux ?
— Non, juste bizarre. »
L’odeur du suppositoire se répandit quelques minutes plus tard dans le lit. Madame Granlean semblait embarrassée.
« Marie-Jeanne, pardonnez-moi… un gaz…
— Ce n’est rien madame. »
D’un doigt curieux, Marie-Jeanne vérifia l’entrefesse de sa partenaire. La raie était graisseuse… Voici dont les fameuses fuites ! Entre la sensation dans le rectum, les fuites et l’odeur, Marie-Jeanne comprenait que Julie n’eût pas été enthousiaste à l’idée de s’administrer ce traitement !
La stimulation apportée ne semblait cependant pas n’avoir que des effets négatifs. Madame Granlean était en effet très empressée, et voulu recevoir les doigts puis l’olisbos. Marie-Jeanne prit note.
Une belle surprise que tous ces épisode…