Les études de Marie-Jeanne

Marie-Jeanne est corrigée

Marie-Jeanne circulait à bicyclette quand, distraite, elle traversa une intersection sans apercevoir l’automobile survenant de la droite. Le conducteur pila, et l’automobile qui le suivait lui rentra dans l’arrière dans un grand « bang ». Marie-Jeanne, tirée de ses pensées, comprit vite l’embarrassante situation. Elle n’avait aucune envie qu’on la tînt responsable de l’accident, et partit à grands coups de pédale.

Se sentant toutefois coupable, elle conta l’incident à madame Granlean.

« En effet vous avez été imprudente, et vous avez fui vos responsabilités, même si bien sûr c’était à l’automobiliste qui suivait celui qui s’est arrêté pour vous de garder une distance de sécurité lui permettant de s’arrêter en urgence sans rentrer dans le véhicule qui le précédait. Votre imprudence aurait d’ailleurs pu vous entraîner des blessures graves. »

Marie-Jeanne regardait ses pieds.

« Qu’aurait fait madame votre mère s’il vous était arrivé pareille aventure quand vous aviez douze ans ?

— Je pense que… qu’elle m’aurait donné le martinet. Vous… vous n’allez quand même pas…

— Mais si, Marie-Jeanne. Je vais vous fouetter. Faisons d’abord la cuisine et mettons le couvert, je m’occuperai de vous cuire le postérieur pendant que le repas cuira.

— Mais… quand j’avais perdu la clef, vous m’aviez dit que le martinet était trop sévère pour une faute non délibérée, pour une inattention.

— En effet. Mais il s’agissait d’une inattention sans conséquences autres qu’une dépense et l’inconvénient de trouver un serrurier. Là, vous risquiez votre vie, et vous avez occasionné des dommages bien plus chers à réparer qu’une serrure à changer. D’ailleurs, plus je songe aux risques courus, plus j’ai envie de vous donner une fouettée exemplaire.

— Mais ! » La voix de Marie-Jeanne se faisait vraiment craintive et montait dans l’aigu. « Madame ! Quand vous aviez commis cette imprudence au volant… je n’avais pas utilisé de martinet !

— Non, en effet. Une pantoufle, si je me souviens bien. Mais je vous l’avais proposé, et vous auriez peut-être dû. On ne badine pas avec la sûreté routière. Allez, cessez de parlementer, et venez avec moi préparer le repas. »

La cuisine fut tendue. Marie-Jeanne appréhendait ce qui allait suivre. Elle en avait presque les larmes aux yeux.

« Bien ! Cela mijote, le couvert est mis, il ne nous reste plus que notre petite affaire. »

Marie-Jeanne suivit madame Granlean comme un animal promis à l’abattoir et qui connaîtrait le sort qui l’y attendait.

« Enlevez votre jupe et votre culotte. »

Marie-Jeanne, tremblante, s’exécuta, tandis que madame Granlean pliait le traversin au milieu du lit et y ajoutait un oreiller.

« Allongez-vous fesses en l’air, appuyez votre ventre sur ces oreillers. »

Marie-Jeanne prit la position demandée.

Madame Granlean lui cingla les fesses.

« Vous avez été imprudente. »

La cinglée continuait.

« Vous auriez pu être blessée, ou pire. »

Madame Granlean variait les angles d’attaque.

« Marie-Jeanne, je vous aime. Je ne veux pas qu’il vous arrive malheur. »

Marie-Jeanne se mit à sangloter doucement. La douleur, ou l’évocation de cet amour… ou les deux ? Ces pleurs n’arrêtèrent cependant pas madame Granlean, qui se mit à cingler les cuisses, puis les mollets, avant de revenir au fessier.

Ce ne fut que quand celui-ci eut pris une belle couleur que madame Granlean cessa.

« Levez-vous et regardez-vous dans le miroir. »

Marie-Jeanne, les yeux rougis, put admirer le travail sur son postérieur.

« Remettez en place les oreillers, remettez votre culotte, mais pas votre jupe, et rejoignez-moi pour dîner. »

Lorsque Marie-Jeanne vint s’asseoir, elle vit que madame Granlean avait échangé sa chaise habituelle, rembourrée, pour une chaise en bois habituellement inutilisée. La sensation de brûlure de ses fesses, à peine protégées par la culotte, et de ses cuisses nues se poursuivit au long du repas. Madame Granlean avait le souci du détail.

C’est sur le ventre, couchée sur son lit, que Marie-Jeanne reçut de sa logeuse une masturbation « pour vous remettre de vos émotions et vous faire dormir » d’une main glissée sous le ventre, tandis que l’autre main caressait la croupe encore endolorie.