Christophe, jeune homme naïf
Trois amis
Cécile invita Anne à passer un long week-end au studio vers la fin du stage. Elle pourrait comme cela visiter la ville, dont les monuments l’intéressaient. Elle coucherait sur un sac de couchage sur un matelas de camping.
Christophe apprécia la culture de leur invitée, avec laquelle ils visitèrent un musée. Toutefois, il n’apprécia pas une plaisanterie qu’elle fit le soir.
« Ah là là, les hommes pincent souvent la bouche quand ils voient un tableau de la circoncision du Christ. Ils ont peur pour leur zizi ! Oui, Christophe, je t’ai bien vu. »
Christophe, agacé, rétorqua qu’il pouvait difficilement avoir peur qu’on lui ôtât ce qu’on lui avait déjà retiré.
« Oh pardon. Je ne pensais pas… enfin tu n’as pas un nom juif, et hier tu as mangé du jambon.
— Pas raisons religieuses, mais médicales. »
Anne sentit qu’elle avait touché un point sensible. Elle tenta la compassion.
« Oh. Ah oui quand j’y repense j’en ai vaguement entendu parler sur les enfants. Ça doit être terrible à cet âge d’être opéré.
— C’était l’an dernier pour moi. »
Gaffe sur gaffe. Cécile changea le sujet.
Le lendemain soir, ils firent un peu la fête. Anne ne tenait pas trop l’alcool…
« En fait Christophe je repense à ce que tu disais hier et je me rends compte que je n’ai jamais vu de zizi circoncis. Je peux voir ? »
Christophe était un peu interloqué — mais qu’ont ces bonnes femmes et leur curiosité ?! Est-ce que lui leur demande d’écarter les cuisses afin qu’il puisse se rendre compte de la diversité de leurs vulves ?
Cécile intervint. « Hé bien oui, pourquoi pas, cela fera à Anne une leçon de choses. »
Christophe tombait des nues. Puis, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, il se déculotta. Anne examina sa verge, et alla même jusqu’à faire jouer la peau.
« Ah oui effectivement ils ont tout enlevé.
— Comme tu dis.
— C’est plutôt joli et ça fait très propre.
— Merci. Ta curiosité est satisfaite ?
— Oui merci. »
C’est alors que Cécile intervint. « Anne, je te trouve n’empêche bien indiscrète. Hier, tu as fouillé dans le placard de la salle de bains et tu m’as posé des questions sur le matériel de lavements.
— Je cherchais le papier toilettes !
— Oui, mais une femme bien élevée aurait fait semblant de ne rien voir. De même qu’une femme bien élevée ne demande pas à voir le sexe de ses amis, même pour satisfaire sa curiosité. »
Anne pinça les lèvres.
« Je pense que tu mérites une bonne fessée. Comme Christophe est le principal offensé, c’est lui qui te la donnera. »
Anne était pétrifiée.
« Christophe, assieds-toi sur le lit. Anne, préfères-tu te déculotter toi-même ou que je le fasse ? »
Christophe, allant d’étonnement en étonnement, s’assit et vit Anne baisser pantalon et culotte. Il n’avait pas vu de près d’autre toison pubienne que celle de Cécile et il s’amusa à comparer avec celle d’Anne.
« Prends place. »
Anne s’allongea en travers des genoux de Christophe. « Joli cul », pensa celui-ci. Il se mit à la fesser. Il repensait à Martine, au docteur Hirsch — hé bien les fesses d’Anne paieront toutes ces indignités. Il lui rosit le derrière avec entrain. Anne agita les jambes. Cécile, qui ne perdait pas une miette du spectacle, lui retira complètement son pantalon puis sa culotte. Christophe redoubla d’efforts. Quand le postérieur eut pris une belle teinte, Cécile lui dit d’arrêter.
« Anne, veux-tu bien écarter les cuisses afin que Christophe vérifie ton excitation. »
À la grande surprise de Christophe, Anne obéit. Du doigt, Christophe vérifia que tout l’intérieur des petites lèvres était lubrifié. « Ah la coquine ! Elle mouille quand on lui donne la fessée ! ». Christophe se dit qu’Anne avait dû faire des révélations à Cécile et que c’est pour cela que cette dernière avait proposé cette punition, qui n’en était visiblement pas forcément une. Il ne se trompait pas, mais il ne savait pas jusqu’où les choses étaient allées…
« Je pense que nous devons satisfaire la curiosité d’Anne. Anne, reste ici. Je vais te faire couler un lavement.
— Non ! Enfin non je n’en ai pas besoin et…
— Anne. Ce ne sera pas un gros lavement. Juste un petit qui te dégagera le rectum, histoire que tu saches ce que ça fait. Ne fais pas ta mauvaise tête. Tu feras caca, cela ne te fera pas de mal. »
Christophe s’attendait à ce qu’Anne s’enfuît, mais elle resta sur ses genoux, exposant ses fesses et ses hauts de cuisses châtiés. Cécile arriva avec bock rempli et Vaseline. Elle lui tendit la canule. Christophe prépara celle-ci, l’approcha de l’anus.
« Pousse comme pour aller à la selle. »
Anne obéit, la canule pénétra. Cécile ouvrit le robinet. L’eau coula.
« Voilà, c’est fini. Tu vois, rien de bien impressionnant. Tu peux aller aux toilettes. »
Anne se releva, le visage rougi, et fila à la salle de bains. Elle prit son temps. Quand elle revint, Cécile l’interpella :
« Hé bien tu as été longue, je croyais que tu étais tombée dans le trou des toilettes. »
Anne rougissait.
« Tu t’es touchée, pas vrai ?
— Oui.
— Enfin Anne il ne faut pas avoir honte de cela ! Mais tu sais nous t’aurions bien rendu ce service… »
Christophe était bouche bée. Anne, embarrassée, ne savait que répondre.
« Je te propose de mieux encore satisfaire ta curiosité. Tu as dit que le zizi de Christophe te plaisait, veux-tu le sucer ? »
Anne baissa les yeux.
« Pourquoi pas.
— Christophe, veux-tu bien l’aider ? »
Christophe était surpris que Cécile voulût le « partager ». Il hésita un peu, mais se dit qu’il serait bien bête de rejeter pareille opportunité, lui qui était « puceau » il y a peu. Il se débraguetta.
Anne reprit un peu l’initiative. « Ça me plairait plus, je pense, si tu te déshabillais totalement et que je puisse te caresser. On ne suce pas une verge, on suce un homme. »
Christophe acquiesça et se déshabilla complètement lui aussi. Cécile joint le mouvement.
Anne caressa Christophe sur le torse, le dos, puis la verge. Il avait durci. Elle le fit s’allonger confortablement au bord du lit, se mit sur la descente de lit et commença à lui lécher le sexe. Cécile prenait note de la technique.
« C’est différent pour un non-circoncis ?
— Un peu. Christophe est encore plus lisse et doux. »
Anne était plus endurante que Cécile, dont la mâchoire fatiguait facilement — ou avait-elle une meilleure technique, ou encore était-ce que Christophe n’avait pas éjaculé depuis plusieurs nuits, puisque Anne dormait dans la même pièce ? Toujours est-il que…
« Anne, je vais… »
Anne ne retira pas sa bouche. Cécile observait, bée. Anne avala.
« Ben tu en fais une tête…
— Je… Tu as avalé ?!
— Il m’a prévenue, j’ai volontairement continué. Qu’étais-je censée faire ? Aller cracher au lavabo ? »
Cécile la regardait, étonnée. Bien qu’elle eût reçu du sperme sur la bouche, elle n’aurait pas songé à le faire volontairement.
« Enfin c’est moi qui devrais être choquée, moi qui viens de me prendre une fessée et un lavement dans le cul !
— Tant que ce n’est qu’un lavement… » remarqua Christophe, qui reprenait ses esprits après son orgasme.
Anne regarda Christophe.
« Ah parce que tu voudrais y mettre autre chose ? »
Cécile prit un air embarrassé. Anne les regarda tous deux.
« Attendez. Cécile, Christophe t’encule ? »
Cécile rougit.
« Parfois.
— Ben dis donc… Ça ne fait pas trop mal ?!
— Il faut bien préparer, bien lubrifier. Ça peut être inconfortable. Ça dépend.
— Je n’ai jamais fait ça. »
Ils se regardèrent tous les trois tout nus. Ils finirent pas sourire. La situation était tellement inattendue !
Anne reprit l’initiative.
« Tu m’as demandé une démonstration de fellation. Veux-tu une démonstration de cunnilingus ?
— Sur moi ?
— Oui. Christophe pourra observer et comparer avec sa technique. »
Cécile ouvrit de grands yeux, mais s’installa sur le lit.
« D’abord des caresses, quand même » demanda Anne « on ne fait pas un cunni à une vulve mais à une femme ».
Les deux jeunes femmes se caressèrent. Christophe prêta un peu ses mains et donna quelques baisers aux deux dames. Puis Anne s’installa entre les cuisses de Cécile. Effectivement, elle s’y prenait un peu différemment de Christophe… Celui-ci prit note de son approche. Elle enfonça ses doigts d’un air décidé dans le vagin de Cécile et la massa vigoureusement. Cécile jouit.
Anne brandit ses doigts. « Je n’ai pas de zizi mais j’ai ceci !
— Et toi, tu ne veux pas que je m’occupe de toi ? » proposa Christophe.
Cécile intervint. « Les doigts la langue si tu veux Christophe, mais la verge c’est pour moi. Je… enfin là je ne me sens pas de partager cela. »
De toute façon Christophe avait éjaculé depuis trop récemment pour avoir une bonne érection. Il ne se précipita pas vers le sexe d’Anne, mais commença plutôt par bien la caresser, notamment les fesses et les cuisses, passant près du sexe sans le toucher et faisant monter la frustration. Puis il s’installa. Se souvenant de la méthode d’Anne, quand il sentit celle-ci bien excitée, il la pénétra de ses doigts et la massa de l’intérieur, vigoureusement. Anne jouit.
Les trois amis dormirent dans le même lit, Anne au milieu.
Un des épisodes les plus délicieusement…
Christophe n'est plus du tout naïf !
C…