Maddy en visite chez des amis
Petit vicieux
Le matin, Maddy partit à la recherche de Louise pour que celle-ci la délivrât de la ceinture.
« As-tu passé une bonne nuit ? » demanda Louise avec un petit sourire narquois, avant de accompagner Maddy pour son pipi du matin et la regarder prendre sa douche (« Je ne sais pas si je peux te faire confiance pour te laver consciencieusement sans te toucher pour t'amuser. »).
Samuel se leva plus tard et alla aux toilettes. Robert l'attendait.
« Je crois que c'est le moment d'aller à la douche. »
Robert accompagna Samuel à la salle de bains et lui demanda de se déshabiller. Il emporta le pyjama et laissa le jeune homme. Celui-ci revint donc nu à sa chambre. Robert l'attendait, ainsi que Louise et Maddy. Instinctivement, il mit sa main devant le sexe.
« Samuel, je crois que nous devons avoir une petite conversation. » annonça Robert. Louise enchaîna : « Et d'ailleurs, commence par arrêter de te toucher le sexe. Enlève cette main. »
Samuel obéit. Robert poursuivit : « Il y a des taches dans le fond de culotte de ton pantalon de pyjama. Peux-tu m'expliquer cela. »
Samuel rougit, mais sans oser répondre.
« Tu t'es masturbé ce matin ? »
Samuel ne savait toujours pas répondre. Louise intervint « Tu t'es touché le zizi ? »
Comme Samuel ne répondait toujours pas, Louise s'approcha et lui mit une claque sur chaque fesse. « Réponds. »
« Non ! Je… ça date d'avant de venir ici.
— La tache est fraîche. En plus d'être un masturbateur, tu es un menteur. » répondit Robert.
« Je vais m'occuper de lui. », annonça Louise. Elle sortit. Samuel restait debout, nu, sous les regards ironique de Maddy et sévère de Robert. Elle revint avec un martinet. Samuel jeta des regards effrayés.
« Allonge-toi sur le ventre.
— Mais…
— Samuel, tu sais que tu mérites une fessée. Comme tu t'es touché malgré l'interdiction, et qu'en plus tu as tenté de mentir en prenant Robert pour un imbécile, ce sera le martinet. Sur le ventre, maintenant ! »
Samuel obéit, lentement. Louise commença à lui fouetter le derrière.
« Petit vicieux, je vais te rougir les fesses. »
Et c'est bien ce que fit Louise. Samuel, qui au début avait tenté de rester stoïque, se mit vite à émettre des petites plaintes, parfois des petits cris. Quand son postérieur eut atteint une bonne teinte, elle s'arrêta.
Samuel ne voyait pas ce qu'elle faisait. Il sentit ses fesses écartées, puis un objet un peu froid et lubrifié rentrer dans son anus.
« Ah il a l'air malin avec un thermomètre dans son popotin rougi, qu'en penses-tu Maddy ?
— Euh… oui.
— Je crois que nous nous occuperons de ses poils après le petit déjeuner. Je ne l'avais pas fait hier car j'espérais qu'il se comporterait bien, mais là, pas de raison. »
Samuel passa 3 minutes fort embarrassantes en attendant que la mesure soit faite. Louise nettoya le thermomètre. Enfin, tout le monde sortit et il put s'habiller.