Chaud Lapin


Vues: 627 Created: 2008.01.26 Mis à jour: 2008.01.26

Une aventure singulière.

Chapitre 1

Voici une aventure singulière que je suis en train de vivre.

Il y a 6 mois de cela, un bon copain m’appelle au boulot pour me demander un service. Aline, sa femme qui est encore étudiante doit effectuer un premier stage de 15 jours dans une petite ville de province située à moins de 20 kilomètres de chez moi. Nous habitons tous les deux en lointaine banlieue d’une métropole régionale, lui au nord et moi au sud. Hélas pour Aline, le stage trouvé se situe au sud. Elle n’envisage pas de parcourir 100 km aller et 100 km retour tous les jours. Il me demande donc si je peux l’héberger durant la semaine, il s’arrangera pour s’occuper du fiston.

Après quelques plaisanteries grivoises du style "attention, juste héberger, on ne touche pas" on tombe d’accord. On se donne rendez-vous le lendemain à midi pour le repas, sans Aline qui a cours à la même heure. Je lui donnerai les clefs, pour qu’elle puisse aller et venir librement.

Je connais Pierre et Aline depuis plus de 6 ans et nous nous retrouvons au moins 2 fois par semaine pour fêter en ville.

Nous avons passé des vacances mémorables à 3 ou 4, à l’étranger comme en France.

Depuis la naissance de Florian, les sorties ce sont considérablement espacées, la vie de jeune mère de famille étant moins compatible avec la débauche selon Aline.

Le vendredi, Pierre me téléphone et me dit, "Aline n’a pas envie de rouler lundi matin, peut elle venir dès dimanche soir?". Je lui dis: "Ecoute, il n’y a pas de problèmes, elle a les clefs, elle vient quand elle veut, moi je ne rentre pas avant 18 heures car avant je suis en rando toute le Week-end".

Dimanche soir 18 heures 30, retour de journée de décrassage en montagne, exténué mais heureux.

J’habite une maison de village fort agréable achetée depuis peu, que je suis en train de retaper. À mon arrivée, je ne suis pas surpris de trouver Aline allongée

sur le transat dans le jardin, profitant des rayons du soleil.

Elle me lance un "Salut Eric" avec un large sourire en me voyant arriver. "La journée a été bonne?"

"Salut ma grande, le temps était superbe pour la ballade".

Entre Aline et moi, l’ambiance est plutôt à la franche camaraderie voire même à la complicité. 6 ans d’excellents rapports, de vacances ensembles, nous permettent une certaine liberté dans nos propos et attitudes respectives. De plus, j’étais son témoin au mariage.

Aline est une jeune maman de bientôt 24 ans, encore étudiante, cadette de 4 ans de Pierre et mariée depuis 2 ans. Le fiston, Florian, est né il y a 13 mois. Comme toute jeune maman, la seule chose qui la préoccupe est Florian. Depuis son arrivée, il y a moins d’une heure, elle a déjà appelé 2 fois pour prendre des nouvelles. Je lui dis qu’elle peut appeler autant qu’elle veut depuis le fixe et laisser ainsi refroidir le Nokia.

Après les retrouvailles, je décide d’aller prendre mon bain, tant attendu.

"Pas de problèmes" me répond elle, "J’ai déjà étudié le frigo, je vois que tu as fait le plein, je te prépare le repas du soir pendant que tu te rafraîchis. J’ai déballé mes affaires dans la salle de bain, et j’ai pris la deuxième chambre".

Je lui réponds, "Tu connais la maison, tu fais comme chez toi". À peine arrivée, et déjà installée, c’est l’efficacité mère de famille. Pierre va l’avoir dure, tout seul avec Florian.

Après une bonne douche, je redescend au séjour et trouve Aline en train de gazouiller au téléphone avec son ’bout d’chou’. Ai je bien fait, de lui laisser le libre accès au téléphone?

"Installe toi" me lance t’elle "tout est prêt".

"Tu peux dire a Pierre, que je suis comme un coq en pâte" lui dis-je. "A mon tour d’en profiter un peu".

"Si tu veux" me dit elle, ce qui arrache quelques protestations complaisantes a Pierre à l’autre bout de la ligne et un grand éclat de rire à Aline.

"promis mon chou, pour pas perdre la main je le bichonne" lance t’elle à Pierre.

Après quelques minutes de délire à trois au téléphone nous raccrochons et passons à table.

En règle générale, comme tout bon célibataire fier de l’être, je n’aime pas cuisiner et mes repas du soir se passent plutôt devant l’ordinateur ou la console.

"Si tu n’as pas l’habitude de manger à la maison, on peut aussi sortir" me lance Aline. "Ne chamboule pas tes habitudes pour moi".

"Ah non, tu dois me bichonner, tu l’as promis a Pierre, rappelles toi"

"Ca me va" me lance t’elle en souriant.

A ce moment la, je ne sais pas ce qui me passe par la tête, mais je suis pris d’une magistrale érection qui me fait mal, tellement ma verge est gonflée.

Voyant ma grimace, Aline me demande : "Ca va?"

"Oui, oui, juste mal au bas ventre, mais ça va passer"

"Moi, j’ai souvent des douleurs abdominales" me dit elle, "Problème de constipation qui passe après un bon lavement. J’ai toujours avec moi ce qu’il faut si tu veux".

"ça fait partie du bichonnage?" je lui demande.

"Si un lavement te bichonne, qu’est ce que ça va être quand je vais m’y mettre" me dit elle en éclatant de rire.

Le reste du repas, se déroule dans la bonne humeur.

La vaisselle effectuée, et après avoir gazouillé avec son "bout d’chou" et embrassé Pierre, "la soirée peut commencer" me dit elle.

Après cinq heures de randonnée en montagne, mon rêve de bonne nuit sous la couette s’effondre subitement.

"Je ne sais pas, ou je vais demain, peux tu me montrer le chemin?"

"Pas de problèmes, en voiture, mais tu conduis comme ça tu mémoriseras mieux la route"

Nous voila donc partis, au crépuscule, pour une promenade sur les routes de campagne jusqu’à la bourgade voisine. Tout compte fait, cette ballade est plutôt relaxante, Aline conduit plutôt cool, et le son de sa voix mélodieuse est plutôt berçant. Pour un peu, j’aimerai qu’elle me chante une berceuse pour m’endormir dans ses bras.

"tu t’endors?"

La question me tire de mes rêves. "Tu as la voix tellement mélodieuse et tu conduis si cool que j’etais en train de rêver que je m’endormais dans tes bras pendant que tu me chantais une berceuse".

Est ce le reflet du soleil couchant, ou ses joues sont elle devenues plus rosées tout d’un coup?

"Pour l’instant, je ne chante que pour mon bébé" me dit elle en souriant, "mais, qui sait!" dit elle en éclatant de rire.

"Nous voila arrivés en ville", me dit elle. "Tu connais la rue?"

"Non, mais je connais un bon glacier, si tu préfères"

"D’abord on cherche l’adresse et après on mange une glace. Si le glacier est fermé, je sais que tu en as dans le congélateur".

"Mais tu as tout fouillé!"

"Non juste la cuisine, c’est mon domaine et je suis la pour quinze jours dans un premier temps. J’ai aussi trouve ta game boy et tes revues pornos dans les toilettes…"

"???"

"j’ai tout laissé dans l’état, ne t’inquiète pas"

"???"

"tu ne dis plus rien?"

"Tu as dis dans un premier temps?"

"Oui, en fait mon stage se déroule en deux phases. La première de quinze jours, qui commence demain, et une deuxième phase, dans un mois, d’une durée de 12 semaines. Mais pour la deuxième phase, on ne t’a rien dit, car je préférerai que Florian soit avec moi. Il faudrait donc que je trouve une location et une assistante maternelle ici."

"???"

Sourire!

"???"

"Donc, il faut que je te bichonne, au cas ou je trouve pas de location"

"???"

"T’as perdu la langue?"

"Non, non" Et la, je ne sais pas ce qui ma pris, mais je m’entend dire "Il y a la troisième chambre pour Florian, si tu veux. Tu auras juste à trouver l’assistante maternelle"

"On en reparlera" me dit elle, "Tu me la trouves cette adresse?"

"Bien ma grande" lui dis je en sortant de la voiture pour consulter le plan municipal.

Le glacier était fermé, pour un dimanche soir, cela semble normal. De retour a la maison, la ’maîtresse de maison’ a pris les choses en main.

"J’ai vu que tu avais Grand Tourismo sur la PS2. On se fait une petite course devant les glaces"

P…!!!, quand est ce que je vais l’avoir ma couette? "Ok, si tu veux"

"Tu préfères peut être te coucher après ta rando?"

"Au départ, oui, mais entre mon lit froid et ta compagnie, je choisis vite en général"

"Tant mieux, parc’que moi, j’ai pas sommeil. Vas y lance tout. Que veux tu comme glace, il y a des …. enfin tu le sais mieux que moi"

"un petit pot au chocolat pour moi stp"

Tout compte fait, la soirée a été géniale. La miss a pris ses marques de suite, s’appropriant une couverture et glissant ses pieds sous ma cuisse "pour les mettre au chaud". On a joué, discuté, rit, mangé, bu jusqu’à tard dans la nuit. On a beaucoup parle de Florian, de ses études, d’informatique, de lecture et de cinéma. J’ai subi un interrogatoire en règle sur mes goûts en matière féminine, mes dernières conquêtes qui selon elle n’allaient pas avec moi, mais elle n’a jamais parlée de Pierre.

Au moment d’aller au lit, elle me dit.

"Je suis un peu constipée, je vais me faire un lavement, tu en veux un?"

"???"

"Moi ça me réussit bien, tu avais mal au ventre tout a l’heure"

"C’est bon, c’est passé maintenant. Bonne nuit"

Ces propositions de lavement, la bise, tout ça a fait que je me tire une érection phénoménale de nouveau. Je vais devoir emprunter les toilettes avec mes revues pour pouvoir me coucher tranquillement. En fait, pas besoin de revue, la seule pensée de la soirée passée avec Aline ma procure une jouissance extrême.

Enfin la couette. Je suis bien, couché dans mon lit, mais impossible de dormir : La savoir en train de prendre un lavement dans la salle de bain attenante est un vrai supplice. Et mon érection qui est revenue, il va falloir que je me masturbe de nouveau si je veux dormir. Je m’allonge sur le dos, prends ma queue dans ma main et m’astique lentement en écoutant tous ses bruits. J’entends des gémissements assourdis à travers les murs, me laissant imaginer des scènes torrides entre sa canule, ses fesses et son sexe. Je l’entends se vider dans les toilettes quand je jouis dans ma main et sur mon torse. Merde, il va falloir que j’aille me laver, manque plus que ca et bien sur pas un kleenex pour m’essuyer. Je sors de la chambre quand elle sort des toilettes.

"Tu ne dors pas, je t’ai réveillé?"

"Non non, j’ai encore un peu mal au ventre"

"Vas t’allonger, je vais te faire un lavement… j’insiste, je vais préparer l’eau et je remonte"

De toute façon, vu l’état d’excitation dans lequel je suis encore, je ne pourrai pas dormir. De plus, son regard à bien vu mon érection qui déforme mon pantalon de pyjama. "D’accord, je prends une douche et je me couche pour t’attendre"

La douche froide calme un peu mes ardeurs et j’abandonne ma silhouette de gros satyre chassant la nymphette.

En sortant de la douche j’entends la voix d’Aline qui me dit : "Prends une serviette pour la glisser sous toi avant de t’allonger, ce serait idiot de noyer ton lit, tu devrais partager le mien"

Partager son lit! Il n’en fallait pas plus pour que je bande à nouveau. Décidément, je sens que la soirée va être longue. Au moment ou je vais m’allonger, Aline rentre dans la chambre en portant un sac prolongé par un tuyau se finissant par une canule.

"Je me met comment?"

"Sur le cote, le dos ou le ventre comme tu veux. Mais je doute que tu sois a l’aise sur le ventre avec ton érection"

"???"

"Avec la bosse que tu as devant, on peut pas se tromper" me dit elle en désignant mon pyjama. "Je savais que tu avais des érections matinales, comme j’ai pu le voir quand on faisait du camping et qu’on dormait à trois dans la tente, mais j’avais jamais remarquée les nocturnes" dit elle en riant.

"…" C’est vrai, j’ai beau me branler et jouir, je bande toujours. Ce coup ci, c’est la vue d’Aline entrant dans la chambre avec sa chemise de nuit qui ressemble plus à un t-shirt court, très court, qu’un vêtement de nuit.

"Vas y, enlève ton pantalon et couche toi sur le côté, gauche de préférence, que je puisse commencer"

"Bien madame l’infirmière"

"Par contre, je n’ai rien pris pour lubrifier le petit trou, moi je n’en ai plus besoin. Ne bouge pas et tiens moi le matériel, je vais chercher un coton avec de l’huile à la cuisine"

Moins d’une minute après, Aline remonte avec son coton.

"Je vais lubrifier ton anus avec le coton et mon doigt puis introduire délicatement la canule dedans"

ALine m’écarte délicatement les fesses et je sens aussitôt le contact du coton huilé sur mon anus. Celui est bientôt remplacé par son doigt qui me masse délicatement et commence à s’introduire dans mon fondement.

"je vais introduire mon doigt, pour lubrifier l’intérieur, et si tu as mal tu me le dis. Mais vu ton expression, je ne pense pas que tu as mal"

"pardon?"

"Vu le sourire et l’érection que tu affiches, je pense pas me tromper" me dit elle en me regardant de ses yeux d’un bleu profond.

C’est vrai, je suis aux anges. son doigt s’est introduit en moi sans que je m’en rende compte. je dois afficher un sourire béat, doublé d’une érection monumentale qui ne me quitte pas.

"Je vais retirer mon doigt,"

"Oh non!"

"et insérer la canule. Tu vas voir, ça va devenir divin" me dit elle.

AHHHH, c’est divin effectivement. Je sens la canule pénétrer petit a petit en moi. Mais Aline ne s’arrête pas la, elle commence à effectuer des va-et-vient avec l’objet ce qui a pour conséquence de m’arracher des gémissements de plaisir. Instinctivement, je bascule sur le dos, dévoilant mon sexe en

érection que je prends rapidement en main. À ce moment la, Adeline arrête son va-et-vient et ouvre l’eau. Je sens le flot se précipiter dans mes boyaux m’arrachent un râle de plaisir.

Mon regard croise celui d’Adeline et elle me sourit. Elle semble heureuse de me donner du plaisir de cette façon.

"c’est bon, tu aimes?" me dit elle. Mais avant que je puisse répondre, elle continue par "A voir ton expression, il n’y a pas de doute à ce sujet".

Sa main s’avance vers mon sexe quelle saisit à ma place en me disant : "Détends toi, et laisse faire"

Profitant de ma main libre, je la glisse délicatement sur sa cuisse intérieure que je commence à la caresser. La dame n’est pas farouche et j’arrive rapidement en haut des cuisses. Ma main effleure ses lèvres intimes. Pas de culotte? Mon doigté se fait plus précis pénétrant délicatement dans l’orifice parfaitement lubrifie.

"la situation ne te laisse pas indifférente a ce que je sens" lui dis-je,

"Oui, mais pour l’instant, je ne suis pas encore prête psychologiquement pour aller plus loin"

Le flot d’eau vient de s’arrêter. Aline ferme le robinet, pose le sac et reprend la canule en main. Elle est maintenant accroupie sur le bord de mon lit en appui sur mon ventre, la tête au niveau de mon sexe, me masturbant le sexe d’une main et l’anus à l’aide de la canule de l’autre main.

Son sexe est tout offert a ma vue et ma main peut librement masser son bouton d’amour et pénétrer dans le saint de saints. le rythme de notre respiration s’accélère, je ne sais pas ce que la canule touche à chaque va-et-vient dans mon intérieur mais il devient évident que je ne vais pas tarder a jouir.

Soudain, ma vue s’arrête sur un objet qui dépasse de son anus. Un bijou!, elle a un bijou inséré dans l’anus?

La vue de ce bijou intime provoque une éjaculation puissante qu’Aline avait anticipée. Sans que je m’en rende compte, elle m’avait déjà prise en bouche pour limiter les dégâts. Sans lever la tête et nullement gênée par mon éjaculation, elle avale tout mon sperme et entreprend de me nettoyer complètement en aspirant les dernières sécrétions.

Fin de la séance, la dame a déjà repris le contrôle.

"J’ai senti que tu allais jouir, et j’ai mis la bouche pour ne pas salir le lit" me dit elle. "Je vais retirer la canule et tu vas serrer les fesses pour aller jusqu’aux toilettes. Pendant ce temps, je vais tout nettoyer. Attention…"

Adeline retire la canule délicatement et m’envoie aux toilettes pendant qu’elle commence déjà à tout ranger.

Pendant que je me vide, je l’entends nettoyer le matériel dans la cuisine et remonter. Elle se tient debout devant la porte des toilettes ouvertes, au cas ou j’aurai un problème m’a t’elle dit et me regarde de son bleu profond.

J’ai toujours été fascine par son regard qui tranche sur sa peau blanche et ses cheveux blond très clair. Ce regard qui vous met à nu et vous ausculte au plus profond de vous. Quand j’étais plus jeune, il m’effrayait, ayant pour conséquence de me tenir toujours plus en recul par rapport à Pierre vis à vis d’elle.

"Tu vas bien?" me demande t’elle en me souriant

"Ca va, merci".

"Je crois qu’il va falloir qu’on discute" me dit elle

"Je le pense aussi"

"Prends ton temps, je t’attend" dit elle en s’éloignant.

Quoi, elle veut discuter maintenant, merde mais j’ai sommeil et je suis vidé après avoir joui déjà 3 fois.

Je sors des toilettes et regagne ma chambre. Aline est couchée sous la couette dans le lit.

"Ca ne te dérange pas si je dors avec toi?" "J’aime pas vraiment dormir toute seule et ce soir j’ai encore moins le moral pour ça"

La dernière fois que j’ai dormi avec une fille, c’était avec mon ex, Murielle, et ça remonte à 6 mois déjà.

"Non, non, ça sera bien plus agréable"

"Mais attention, on ne fait que discuter et dormir" dit elle en souriant

"De toute façon, je ne bande plus" lui dis je en désignant mon pantalon.

"pour combien de temps?"

"jusqu’à demain matin, tu le sais bien, et la si tu es dans le lit…"

Cette dernière remarque la fait éclater de rire et j’en profite pour me glisser sous la couette.

Aussitôt, la dame prend place contre moi, posant sa tête sur mon torse et ses pieds froids sur mes jambes.

"J’en profite pour me faire réchauffer, j’ai eu un peu froid les fesses à l’air"

"Bon vas y, raconte moi tout. Je suppose que ça va pas fort avec Pierre si j’en juge par les allusions de la soirée et par ce qui vient de se passer entre nous deux?"

"Pierre et moi, on a entamé une procédure de divorce il y a 2 mois. On se sépare par consentement mutuel. Il a déjà une maîtresse"

"Murielle?"

"SALAUD, tu le savais et tu ne m’as rien dit! T’es un vrai pourri, tu protèges ton copain"

"Non, non, je savais qu’il la voyait mais je ne savais pas que vous vous quittiez"

"La, tu t’enferre encore plus » me dit elle. « Si, je demande la garde de Florian et l’appartement est déjà en vente. En ce moment, Murielle est déjà à la maison. Elle arrivait quand je partais"

Elle a continuée à me parler toute la nuit de son mariage qui était un échec complet. Des le début, ça ne fonctionnait pas. Elle préférait la nature, les ballades, il préférait les boites la ville…

Tout cela, elle le savait déjà depuis le début mais elle espérait qu’il changerait.

Elle a continué à me parler de leur sexualité.

"La dernière fois qu’on a fait l’amour, jetais enceinte de 5 mois. Depuis je n’ai plus eu aucun rapport avec lui. Tu es le premier homme que je touche depuis"

"Toi, avec ton physique de bombe sexuelle, tu n’as pas touché un gars depuis un an et demi?"

"Non, c’est pas les propositions qui manquent, mais je ne suis pas bien dans ma peau. Je me suis sentie revivre quand cet après midi, je me suis allongée sur ton transat. Je respirais, j’étais à la campagne au calme. Quand je t’ai vu arriver dans le soleil, un délire fou m’est passé par la tête. Je me suis dit que peut être je me suis trompée il y a deux ans et que j’ai pas choisi le bon copain".

"Eh bien, si je m’attendais à une telle déclaration à plus de 3 heures du matin au fond de ma couette. J’en reviens pas. Et tu as d’autres surprises comme ça?"

"Non, c’est déjà pas mal non?"

"En tout cas, je sais pas ce que tu m’as fais, mais j’ai du mal a m’en remettre émotionellement"

"Je sens que tout cela te fait de l’effet. J’ai ma jambe dessus ton sexe et je le sens bien grossir" me murmure t’elle à l’oreille.

J’essaye de détourner la conversation en parlant de son bijou anal.

"Et ce … bijou que tu as dans l’anus c’est quoi?"

"C’est un bijou au bout d’un ’plug’. Je le garde tout le temps sur moi, c’est très intime, invisible, et quand je suis assise, j’ai qu’a écarter légèrement les fesse et bouger, cela me procure des sensations qui m’amènent à jouir. J’ai commencée à le porter après l’accouchement quand il est devenu évident que Pierre ne voulait plus continuer avec moi. En fait, c’est à la suite des lavements que je m’administrais durant la grossesse. La canule entre mes fesses me faisait jouir a chaque séance. J’ai acheté ce bijou sur Internet pour environ 80 euros"

"et depuis tu continues?"

"oui, je suis devenus hyper sensible de l’anus. J’ai tout un attirail que je te montrerai qui me permet de jouir comme je veux, quand je veux ou je veux"

"tu réagis bien de devant d’après ce que j’ai pu voir tout a l’heure"

"oui mais c’est encore plus explosif de l’anus. Je jouis presque instantanément. Et si en plus j’ai le rectum plein c’est l’extase voir des fois à la limite de l’évanouissement"

"Arrête tu es en train de m’exciter" tout en me parlant, Aline avait écarté sa jambe qui me massait discrètement le sexe et glissée sa main dans mon pantalon. Sa lente masturbation venait de commencer en prenant soin de bien masser sur le gland et le frein. Ses yeux me dévisageaient dans la pénombre et son visage me souriait. Elle dirigeait la situation depuis le début de la soirée et avait jetée son dévolu sur moi, son meilleur copain. Depuis le début, je n’étais qu’un pantin manipulé. La mante religieuse changeait de partenaire tout en faisant croire que cela était fortuit. Le plus amusant dans l’affaire, j’en étais très heureux. Même si les blondes ne sont pas mon type de fille, je m’imaginais bien faire ma vie avec elle.

Elle se mit à baisser mon pantalon et adopta rapidement une position de 69. Son sexe se posa au raz de ma bouche m’invitant à goûter au plaisir pour lequel elle n’était pas encore prête en début de nuit. Je me plongeais dans les délices pendant que sa bouche avalait mon sexe et que ses doigts agiles se promenaient sur la rosette de mon anus. Je décidais donc de manipuler son bijoux pour voir si l’effet était aussi immédiat. aussitôt sa respiration s’accéléra et des gémissements de plaisir sortirent de sa gorge, étouffés par mon sexe qu’elle avalait goulûment. Son doigt venait de s’introduire dans mon anus et avançait rapidement vers un point qui tout à l’heure avait accentué mon plaisir. je tirais délicatement et faisait tourner son bijou dans son anus quand elle toucha ma zone sensible dans mon rectum. instantanément , j’éjaculais dans sa bouche pendant qu’elle me massait ce point. Mon éjaculation était beaucoup plus longue que lors de mes séances personnelles et le jet me semblait beaucoup plus fourni. comme tout a l’heure, Aline ne s’est pas retirée, avalant toute ma production goulûment et continuant même à m’exciter pour en obtenir plus.

Cette éjaculation surprise ayant entraîné une contraction inattendue, j’arrache le plug de son anus. Aussitôt Aline joui dans ma bouche perdant par la même occasion quelques jets d’urine qui coulent au fond de ma gorge. Trop occupé pour réagir, j’avale ce liquide chaud mais amer. Cette fille vient de me pisser dans la bouche et je n’ai pas réagi. Pire j’ai avalé, et je suis en train de rêver qu’elle se vide complètement en moi. Je dois devenir fou ou alors je suis envoûté.

Aline remonte à la surface et me regarde. Elle se rue sur ma bouche et me donne un long baiser fougueux ou nos langues se mêlent. "Désolée, je n’ai pas pu me retenir et je t’ai fais pipi dessus"

"J’ai vu, ça surprend"

"Je t’avais prévenu, quand on touche à mon cul, je perds tout contrôle de mon corps. Mais toi aussi tu sembles apprécier cela"

"J’avoue que ton doigt me transporte aux anges. Je n’ai jamais été aussi bien au lit avec une fille".

Cette confidence idiote la fait sourire.

« Ce n’est que le début » me dit-elle.

Aline reprend sa position contre moi, me gratifie d’un long baiser et d’un "Bonne nuit mon roudoudou"

"Bonne nuit ma puce"

P…, dans quelle merde je me fourre ? En tout cas, sa peau est douce, son odeur enivrante et si c’est l’enfer, il me semble fort attirant. Que la nuit va être courte mais bonne.