Chaud Lapin


Vues: 442 Created: 2008.01.26 Mis à jour: 2008.01.26

Une aventure singulière.

Chapitre 2

8 heures du matin, la nuit a été très courte. J’ai un mal de tête ce matin, je vais fonctionner au « Doliprane ». La miss est déjà levée, mais je ne l’entends pas dans la maison. Je descends à la cuisine et trouve la table prête pour le petit-déjeuner. Un mot m’attend, m’expliquant qu’elle est déjà partie au travail mais elle m’appellera dans la journée pour savoir comment je vais. Je n’ai qu’à laisser tout sur la table, elle rangera ce soir.

Bon tout est prêt et pourtant je ne lui ai pas dit ce que je mangeais le matin. Une pensée me traverse l’esprit « Elle tient vraiment à se faire adopter ». Le petit déjeuner expédié, je monte me doucher et pars au travail.

Le portable vibre, un appel d’Aline.

— « Salut mon amour, tu as bien dormi ? Est-ce que le petit-déjeuner te convenait ? »

— « Salut ma puce, c’était parfait. Tu es où ? »

— « Je vais me présenter, je suis devant l’entrée, mais je voulais entendre le son de ta voix avant de commencer la journée »

— « Charmante attention »

— « Je te laisse, il est l’heure, je t’AAAIIIMMMEEE »

Putain, c’est quoi ce traquenard. Il faut que j’en ai le fin mot. Un coup de téléphone à Pierre pour lui dire qu’on mange ensemble à midi. Il est d’accord mais il sera là avec Murielle. Cà marche pour moi aussi.

Matinée calme, si ce n’est l’impossibilité de me concentrer sur le travail. Je n’arrive pas à mettre en place toutes les pièces du puzzle. J’attends des explications de Pierre ce midi.

Midi, rendez-vous à la cantine habituelle, le chinois de la rue des Monges. L’ambiance y est plutôt cool, le repas est bon et pas cher. Un salut à la patronne en entrant, elle me confirme que Pierre et Murielle sont déjà arrivés. Je les rejoins à notre table, quand le serveur arrive pour nous indiquer le plat du jour. Une poignée de main et une bise plus tard je rentre direct dans le vif du sujet.

— « C’est quoi le traquenard que vous me montez ? »

Attitude gênée de Murielle et regard fuyant de Pierre. Je continue en indiquant que je suis au courant de la procédure de divorce en cours. Je lui demande s’il peut m’expliquer comment Aline n’a pas pu trouver un stage dans une agglomération de plus de 800000 habitants mais qu’elle réussisse à en trouver un à côté de chez moi.

— « Vous en êtes où ? » Me demande Pierre, « Elle t’a déjà passé au lit ? »

Je reste interloqué un moment avant de lui répondre « Depuis hier soir, elle m’a déjà sucé 2 fois. J’avoue que cela m’a laissé perplexe »

— « 19 mois, 19 mois que moi je ne l’ai pas touchée car elle ne voulait pas et toi en une soirée elle te suce 2 fois ! Jolie performance. On est tous les deux cocus mon gars » Il continue sur sa lancée. « 2 ans de mariage et on ne couche plus depuis 1 an et demi. D’entrée le mariage à « merdé ». On était pas faits l’un pour l’autre. La nuit, elle rêvait de toi tout haut. Un coup au moral d’entrée. La nuit de noce, elle m’a appelé Eric, un lapsus révélateur non ? »

Le serveur vient l’interrompre pour prendre la commande. Murielle en profite pour me vanner. « Prends du gingembre au dessert ou tu tiendras pas ce soir »

Après la commande Pierre continue. « Le divorce c’est elle qui le demande. Elle savait pour Murielle, elle en a profité. Elle a tout combiné, le stage à côté de chez toi, elle a même déjà le nom d’une nourrice dans ton village. Elle l’a déjà contactée, il lui reste plus qu’à récupérer Florian, mais elle ne voulait pas le prendre d’entrée pour pas t’affoler ».

— « Bon d’accord, mais pourquoi est-ce toi qui m’as appelé ? »

— « En échange, elle n’a aucune objection à ce que Murielle vienne à la maison ».

Nous sommes interrompus par le serveur qui apporte l’entrée.

— « Pourquoi moi ? »

Ce coup ci, c’est Murielle qui prend la parole. « Regarde toutes les photos où on est tous ensemble, elle passe son temps à te regarder. Depuis le début, elle te veut, mais à priori t’as pas compris le message. Je pense qu’elle a épousé Pierre pour te rendre jaloux mais ça n’a pas marché. Le bébé était l’étape suivante mais elle s’est rendue compte de l’erreur trop tard. Elle change de tactique mais maintenant elle a un handicap supplémentaire. Du coup elle accélère le rythme mais elle peut se le permettre vous vous connaissez depuis très longtemps. À mon avis, elle teste votre compatibilité pour une vie en couple et avec Florian ». Elle rajoute en souriant : « Ce soir t’es bon pour la totale. Et puis, toi aussi tu as un gros faible pour elle ».

Pierre enchaîne sur un « La boucle est bouclée, tu étais avec Murielle, et j’étais avec Aline, on vient d’échanger ».

Le téléphone sonne, c’est Aline qui vient prendre des nouvelles. L’annonce de notre repas en cours ne la trouble pas. Elle s’y attendait et me demande si Pierre a donné sa version. Comme je lui réponds par l’affirmative, elle propose qu’on se rencontre tous un soir de semaine, après que nous ayons eu une discussion en tête-à-tête. Elle me gratifie d’un énorme bisou et raccroche sans demander Pierre.

Je regarde Murielle et lui dis : « C’est peut être pas la totale ce soir, mais en tout cas, on aura mis les choses au clair ».

Il n’est pas encore 19 heures quand je suis de retour à la maison. La renault d’Aline est déjà garée. Comme hier soir, elle bronze tranquillement dans le jardin. Je ne sais pas comment attaquer. Je me décide finalement par montrer que j’ai envie qu’elle reste avec moi. Avant que je n’ai pu parler, elle se rue sur moi et m’embrasse goulûment.

— « Alors, comme ça tu as mangé avec Pierre ? »

— « Et Murielle »

— « Même Murielle était là ! Bon tu es au courant de tout je suppose, je pense que »

— « Aline, peut importe ce qui c’est dit, je voudrais te dire ce que je pense ».

— « !!! Vas-y »

— « J’ai raté le coche il y a 2 ans, j’étais trop timide pour me décider et je m’en suis mordu les doigts. Ce coup ci, je ne laisserai pas passer ma chance. J’ai envie de passer le restant de mes jours avec toi à mes cotés, de fonder une famille avec toi, de t’aimer comme un fou, de » et là impossible de finir ma phrase, Aline s’est déjà jetée sur moi et m’embrasse vigoureusement. Dans son élan, elle m’entraîne et nous tombons tous les deux sur le gazon. Je ne sais pas combien de temps a duré ce baiser, mais nous avons du mal à reprendre notre souffle quand nos lèvres se séparent.

— « Si tu savais combien j’aurai aimé que tu me fasses cette déclaration il y a 2 ans » me dit-elle, « Je n’aurai pas fait toutes ces bêtises et je n’aurai pas fait tant de mal autour de moi ».

Elle continue en disant « Il faut que je m’excuse auprès de Pierre, il serait idiot que notre amitié en pâtisse, que vous soyez fâchés car je suis sur que nous avons encore plein de merveilleuses choses à vivre ensemble ».

Puis elle enchaîna sur notre avenir. « Je souhaiterai que Florian puisse venir le plus rapidement possible ici si cela ne te dérange pas ».

— « Personnellement je n’y vois aucune objection. Par contre il faut demander au papa car là-bas, Murielle a pris les choses en main ».

— « Murielle ? »

— « Oui, c’est elle qui s’occupe du petit, le change, le baigne, le nourrit ».

— « Il faut que je l’appelle »

Aussitôt dit, aussitôt fait, Aline s’empare du téléphone et appelle chez Pierre. La miss tombe sur Murielle, et la discussion s’engage. Il temps que j’aille vaquer à mes occupations, ça risque de s’éterniser.

20 heures, Aline arrive dans le bureau. Elle vient de raccrocher avec Murielle. Elle s’installe sur une chaise et me sourit. « Je viens de parler avec Murielle, elle veut bien garder Florian encore un peu, le temps qu’on apprenne à vivre ensemble et qu’on achète le mobilier pour l’accueillir. Qu’est ce que tu en penses ? »

— « Si elle pense qu’elle peut assurer, moi ça me va. Je ne suis pas spécialiste mère de famille et enfant en bas âge ». Je rajoute, - « Il paraît même que c’est pas facile à vivre… »

— « C’est faux, à cet âge, ça se couche tôt et ça laisse beaucoup de temps aux parents ».

— « Si tu le dis, je te crois »

— « Ai-je le droit de repeindre la chambre comme je veux ? »

— « Tu as carte blanche, on ira acheter ce qu’il faut quand tu veux »

— « Super !!! Et pour maintenant, que veux-tu que je fasse à manger, ou plutôt veux-tu aller dîner au restaurant ? »

— « En tête-à-tête, cela me convient parfaitement. Je te laisse le choix ».

— « Pizzeria » lança t’elle, - « C’est sympa, rapide, ça laisse du temps pour le reste de la soirée ».

Alors que nous nous préparons, je ne peux m’empêcher d’admirer le corps d’Aline. Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle n’est pas très grosse. Pour une taille d’à peu près 1m70, elle pèse tout juste 50KG. Vous comprenez que quand on pèse ce poids, on manque généralement de forme. Elle est plutôt du genre longiligne, peu de poitrine, des hanches de fillette et une taille de guêpe.

Elle a des cheveux blonds très clairs mais qui sont très fins et manquent de volume. Les poils pubiens sont très clairsemés et très blonds, limités à la partie supérieure. Le reste est recouvert d’un très fin duvet imperceptible. Les jambes sont recouvertes d’un duvet blond tout aussi imperceptible que celui de ses parties intimes et le duvet des aisselles est tout aussi discret. Cette pilosité particulière lui permet de ne pas avoir à se raser. Cet état m’a toujours étonné car jusqu’à présent, mes conquêtes étaient plutôt brunes comme Murielle.

Je tiens à préciser que la demoiselle n’est pas anorexique. Il suffit de dîner avec elle pour s’en apercevoir. Mais depuis que je la connais, je l’ai toujours vue dans ce corps. Même lors de la grossesse de Florian, je me souviens que son médecin s’était inquiété du peu de poids pris. Certes, autant que je me souvienne, Florian était un petit bébé mais bon nombre de personnes ne savaient pas qu’elle était enceinte même au neuvième mois.

La soirée au restaurant à été sublime. La regarder vivre est un vrai plaisir pour les yeux. Elle est toujours dynamique, souriante et enjouée, ces expressions et ses moues sont craquantes. Je ne peux rien lui refuser et pour l’instant je n’ai pas envie de lui refuser quoique ce soit. Nous avons parlé de nous tout le repas et aussi de Florian.

Elle est heureuse que j’accepte aussi vite sa venue pour re-fonder une famille. Nous avons aussi parlé sexualité. Pour l’instant, elle ne prend pas la pilule, et doit prendre RDV chez son gynéco. En attendant elle a acheté des préservatifs et me rappelle que si cela ne me dégoûte pas, elle adorerait que je joue avec son cul. Si ça c’est pas une invitation à la sodomie, je n’y connais rien.

Le voyage de retour s’est déroulé sans encombres. Elle à réussit le tour de force de me tenir à la limite de l’éjaculation pendant tout le trajet. Elle est vraiment experte en pipe. Pierre a du se régaler les premiers temps de son mariage.

La soirée c’est terminée dans une orgie anale. Après un lavement pour tous les deux, j’ai connu « les délices de Capoue » dans son rectum pendant qu’elle m’initiait au dildo, certes de petite taille, mon anus étant encore novice. Devant ma réaction positive au traitement, elle a promis qu’elle me sodomiserait au gode ceinture car cela devrait me plaire selon elle ; Vous savez quoi ? Je suis impatient d’essayer. Par contre, elle possède une sensibilité anale impressionnante. L’effet que cela lui fait est fou. La demoiselle ne se retient plus et son orgasme est explosif. Le seul problème, dans ces moments la, elle ne contrôle plus ces sphincters et à tendance à se pisser dessus. Tout cela est un peu affolant au début, les hurlements, les tremblements et les jets d’urine sont très impressionnants.

Pourtant, même si je nage dans le bonheur, au moment de m’endormir contre elle, je ne peux m’empêcher de penser que je suis monté dans un TGV fou, sans en connaître la gare de destination. On verra demain, la nuit porte conseil. De toutes façons, si elle manie le gode ceinture comme elle manie le dildo, j’ai pas envie de descendre du train et pour les hurlements, on mettra du double vitrage. Par contre, pour l’urine, s’il faut baiser dans la baignoire, ca va pas être pratique.

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BSA54 Il ya 3 ans