Martine variait les plaisirs, pour elle comme pour moi, toujours élégante, une élégance sobre mais raffinée, elle venait m'attendre à la brasserie d'à côté de mon travail, là où j'allais prendre un verre avec quelques collègues

le soir après le taf...

Nous faisions semblant de ne pas nous connaître, nos regards se croisaient brièvement, mais l'intensité du sien pendant ces quelques secondes, déclenchait toujours un début d'érection, je savais qu'elle allait me surprendre...

La première fois où elle était venue me surprendre en m'attendant un soir, elle s'était approchée de nous au comptoir et m'avait demandée du feu pour sa cigarette, de sa main libre, elle m'avait touchée discrètement la braguette, me saisissant furtivement le paquet sans que mes collègues s'en aperçoivent, puis elle était retournée à sa table, portant un blouson de cuir, j'avais eu du mal à cacher la bosse qui déformait mon pantalon...

Un autre soir, nous croisant dans le hall des toilettes où elle m'attendait, Martine avait rapidement troussée sa jupe devant moi pour enlever sa culotte, qu'elle m'avait glissée dans la poche avant de repartir les fesses à l'air en salle, je m'était enfermé quelques instants dans un wc pour en humer le parfum, et constater que mon amie c'était un peu laissée aller dans le gousset, mélange de ses mouillements intimes et de gouttes de pipi, au fragrances affolantes qui m'avaient durcies la verge...

A chaque soir sa surprise, elle était inventive et j'ai rapidement compris que par son geste, elle m'annonçait la couleur de la suite de la soirée, la culotte légèrement souillée signalait la venue de jeux mouillés, un soir elle glissa un vibro dans ma poche et elle me fit le cul avec, un autre soir, entrouvrant son sac à main, elle me fit voir rapidement une boîte de suppo et ce fut une nuit très médicale...

Mais la chose la plus folle que je l'ai vu faire eu lieu pendant le retour en métro vers chez elle, Martine me semblait lointaine depuis un bon moment, elle regardait ailleurs, semblant préoccupée, elle n'avait pas voulue s'asseoir, malgré un wagon vide...

Mais au bout d'un moment, elle se tourne vers moi, me fixant du regard, et son visage change...

Remontant discrètement le tissu de sa robe sur le haut de ses cuisses, cachée par son manteau, elle me fait découvrir qu'elle ne porte pas de culotte, mais une couche pour adulte qui enveloppe complètement, tout le bas de son ventre, ses fesses et l'entrecuisses...

Elle me dit, "- deux suppos...", en rabaissant sa robe et je la vois rougir...

Elle semble se contracter, ses yeux s'humidifient, je comprend tout à coup son silence distant, elle évacue sous elle, une forte constipation, tout en restant de marbre, se tenant à la barre, elle se mord les lèvres, la chose doit être de taille, pour ainsi faire couler des larmes de ses yeux...

Tout à l'heure en rentrant, je serai son baby-sitter, allongée sur la table, elle se laissera faire, je lui ouvrirai sa couche pour lui laver les fesses...

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Il était devenu évident pour moi que Martine voulait me faire découvrir des plaisirs hors normes,

elle jouait avec mon corps, et avec ma jeunesse inculte, m'amenant vers l'acceptation de pratiques

médicalement intimes, et aussi à ce que je soit décomplexé vis à vis de tout ce qui concernait l'Anal...

Le premier lavement qu'elle m'avait fait était resté en ma mémoire comme une révélation, comme

le premier touché rectal dont elle m'avait gratifié, même si je ressentais encore un peu de honte

à être lavementé, je me laissais guider vers les variantes de ce plaisir avec délectation...

Partant au début d'une réflexion sur ma propreté rectal, elle s'était contentée de m'injecter

une poire de 250ml et m'avait laissée aller me vider aux wc sans rien demander de plus...

Les poires suivantes devinrent plus sensuelles, elle faisait de petits mouvements avec la

canule dans mon sphincter, des petits vas et viens bien agréables, alliés à des attouchements

sur les parties et de la masturbation de ma verge...

Martine avait finie par me demander de venir avec moi pour l'expulsion,

je devais encore la retenir, assis sur le wc, pendant qu'elle me prenait

en bouche en me caressant d'un doigt le bourrelet de l'anus que j'essayais de garder

contracté...

Chose difficile car sous l'effet de ses caresses buccales et digitales,

la pression de l'eau et les crampes, les trois sensations réunies

faisaient monter en moi un plaisir divin où le choix du premier à

laisser exploser était jouissante torture...

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Mon initiatrice s'est mise à changer de canule et de poire, ce fut d'abord pour une canule à lavement vaginal, plus longue, d'un diamètre supérieur, et terminée par un embout plus large, en forme d'olive et multi-perforé, la contenance aussi devenait supérieure, passant de 250ml à 350, voir 400 ml...

Comme je l'ai dis, Martine en faisait un rituel, quand je l'ai vus arriver dans la chambre un matin, alors que je m'attendais à une gâterie buccale, elle avait revêtue une blouse de coton blanche, attachée ses cheveux en chignon et portant ses lunettes...

Elle a disposée deux serviettes de bain sur le dessus des draps et m'a presque ordonnée de me mettre à quatre pattes, comme je n'avais pas encore été aux wc, ce lavement me semblait justifié, d'autant plus que la cérémonie devenait excitante par son côté réalisme médical...

Martine commençait toujours par un touché rectal en profondeur, qu'elle ponctuait par un diagnostique invariable en me montrant le doigt qui m'avait fouillé:

- hum...oui... tu en as besoin...

Récemment, elle était passée à deux injections, ce qui faisait un volume en moi que j'avais du mal à retenir, alors un jour, elle m'avait annoncée que pour éviter de "fuir" sur son lit ou par terre, elle allait me mettre une protection, une sorte de "bouchon" m'avait-elle expliquée...

Et ce fut la découverte de l'introduction d'un tampon périodique dans mon anus, à l'aide d'un applicateur...

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Cela amusait Martine de me voir déambuler avec la ficelle du tampon qui me sortait de l'anus, elle jouait à tirer dessus pendant qu'elle me masturbait ou me suçait en attendant le moment fatidique où à la suite d'une crampe, je croyais qu'il allait sortir tout seul, d'autres fois, elle me faisait mettre une culotte à elle, j'aimais bien celle en coton cannelé blanche, un jour, elle m'avait provoqué en disant que je n'étais pas capable de la porter pour aller bosser...

Un pari qu'elle avait perdu, je l'avais gardé toute une journée, et bonne perdante, j'avais eu le droit de lui demander et de lui faire ce que je voulais... Du coup, je lui avais fais le coup des courses avec un lavement en elle, une poire 250ml avec un peu de savon, comme elle m'avait fait, et je l'avais suivie chez l'épicier du coin, la regardant se tenir le ventre et serrer les fesses aux moment des crampes... Elle avait bien passé cette épreuve, en bonne habituée des lavements, et une fois rentrés, sans fuites, je l'avais masturbé, assise sur les wc, elle n'avait pas mit longtemps à expulser sa charge d'eau et à me jouir dans la main, je l'avais lavée et sodomisé juste après, ce qu'elle aimait beaucoup aussi... Bref, j'en étais à mon tampon dans les fesses, chose aussi envahissante qui grossissait en se gorgeant d'eau, un jour, suite à une triple poire, le bouchon avait sauté tout seul, émettant un son ressemblant à l'ouverture d'une bouteille de champagne, on avait bien rit... Les autres fois, elle venait aux wc me le retirer en prenant son temps, retrait toujours accompagné d'une gâterie manuelle ou buccale pendant que je me vidais... Je vous parlais plus haut(ou en dessous), des changements de canules, après avoir joué plusieurs fois dans mes sphincters et rectum avec celle pour lavements vaginaux, elle en avait achetée une qui faisait tout ses effets, d'un diamètre plus large, elle était faite d'une série de boules espacées d'un demi centimètre à peine, ce qui, au passage dans l'anus, me donnait des sensations fortes et agréables... Elle l'introduisait lentement, comptant parfois les boules à haute voix, puis une fois entièrement entrée, elle me la retirait tout aussi lentement après m'avoir arrosé le conduit d'une petite giclée chaude, elle répétait l'opération plusieurs fois, augmentant la vitesse de son geste, pressant la poire à chaque fois que la canule était en moi, toujours en me masturbant, charmante Martine, elle me faisait le cul comme ça, simulant une sodomie aux éjaculations multiples et généreuses...