Vues: 479 Created: 2014.12.07 Mis à jour: 2014.12.07

Martine, mon initiatrice

Martine à la Plage

Pour cette histoire de plage, j'avais dans les vingt et un à l'époque, j'étais en fac, c'était les vacances et pour me faire un peu de "soussous", je gardais le petit garçon d'une amie de ma grande sœur en Bretagne, maison à cinq cent mètre de la plage, je m'occupais de lui du matin au soir, sa maman travaillait, le père était partit avec un jeune, il faisait beau cette année là et je passais mon temps avec le gamin à nous baigner et jouer dans le sable, pas une minute à moi pour glander sur ma serviette au soleil, à dix ans, ça demande de l'activité un gosse comme ça, le pire, c'était les constructions de châteaux forts, avec mon petit deux pièces qui finissait toujours par me rentrer dans la raie et les pelletés de sable qui me remplissaient le slip de bain, j'en ramenais tous les jours à la maison, je passais une heure sous la douche à enlever tout ce qui avait collé sur mes parties intimes…

Un jour où j'en avais autant à enlever que t'habitude, je ne sais pas ce que j'avais fais en me lavant les fesses mais des grains de sable c'étaient introduits dans mon petit trou, bien coincés dans les plis annaux, façon papier de verre, impossible à enlever, même du bout des ongles qui me pinçais l'anus atrocement, très douloureux à enlever, je n'y arrivais pas, même en entrant mon doigt dedans, il en restait quand même, j'ai laissé tomber, me disant qu'ils finiraient bien par s'en aller tous seuls, mais à table pendant le diner avec la maman et le petit, j'ai été prise de terrible démangeaisons, à la limite de l'insupportable, je m'agitais le popotin sur ma chaise, essayant de me frotter sur le siège, je ne pouvais décemment pas me mettre la main dans la culotte pour me gratter, Marie Hélène, la maman, a finie par me demander ce que j'avais à m'agiter comme ça, j'ai que c'était rien, j'allais quand même pas lui dire que j'avais le trou de balle en feu, nous avons finis le repas, et pendant que je débarrassais la vaisselle dans la cuisine, n'y tenant plus et je me suis lâchée en me grattant la rondelle avec les doigts dans la culotte sous la jupe, wouaaa…! La vache…! Quel bonheur, quel soulagement…

Mais je n'avais pas entendue Marie Hélène arriver derrière moi, elle resta un moment figée à me regarder faire avant de toussoter pour me faire voir sa présence, la honte que j'ai eu, la baby-sitter de son fils se fouillant avec des doigts entre les fesses dans la cuisine, mais elle était cool, elle me demanda sérieusement quel était mon problème, elle voyait bien qu'il y avait quelque chose qui n'allait pas chez moi, on pouvait tout se dire entre femme, j'ai lâché le morceau, très gênée d'avoir à parler de cette partie de mon intimité, elle a rit, elle connaissait le problème, elle avait vécue cela étant ado et c'est une Tante à elle qui lui avait fait les soins propices à enlever les méchants grains de sables irritants, elle me raconta comment sa Tante s'y était prise, la honte et la gêne qu'elle avait ressentie à exposer son anus devant elle, mais elle me dit aussi l'extase libérateur qu'elle avait ressentie une fois tous les grains de sable enlevés, elle se proposa pour en faire de même avec moi, j'ai été pour lui dire non merci, par pudeur, mais la démangeaison était devenue trop forte, je risquais de ne pas en dormir de la nuit, j'acceptais…

Et c'est comme ça que je suis retrouvée à quatre pattes sur mon lit, le cul en l'air, avec Marie Hélène à genoux derrière moi, me demandant d'écarter mes fesse avec mes mains et de pousser sur mon sphincter pour qu'elle puisse voir dedans et repérer les méchants grains, elle avait mit une serviette de bain sous moi, j'ai compris pourquoi quand je l'ai vue revenir de la salle de bain avec une petite poire en caoutchouc rouge et une cuvette, elle a trouvée les premiers…

- Ils sont là…! - Poussez…!, m'a-telle dit en utilisant un coton tige pour les sortir un par un, puis elle m'aspergeait l'ouverture avec une pette giclée du liquide tiède de la poire pour nettoyer, récupérant l'eau avec la cuvette sous moi, c'était très agréable ce petit jet, ajouté à la délivrance de ma démangeaison, elle en a trouvée deux encore, m'a rincée de nouveau en passant ses doigts délicats sur mes plis, j'étais bien, je me suis surprise à me penser que je resterai bien comme ça un moment, à me faire tripoter l'anus par elle, Marie Hélène était si douce, si caressante, j'ai sentis que je commençais à mouiller, c'est alors qu'elle m'a dit qu'elle voudrai bien voir plus loin s'il n'en restait pas, si j'étais d'accord…

Je lui ai répondus qu'elle savait ce qu'elle faisait, si ça ne faisait pas mal, je voulais bien, elle à commencée par me rentrer entièrement le tube de la poire dans les fesses…

- Je vais vous faire un petit lavement pour tout évacuer… Vous connaissez…? M'a-t-elle demandée.

- Heu…Non… on ne m'a jamais fait ça… ai-je répondue alors qu'elle finissait de vider la poire en moi, je sentais le liquide tiède gicler dans mon rectum.

- Videz-vous dans la cuvette maintenant… Je la tiens…

Je me suis vidée honteusement, le visage enfoncé dans le dessus de lit pour ne pas qu'elle me voit rougir, puis elle m'a nettoyée la raie avec une lingette et m'a essuyée, elle est allée chercher un gant vinyle, ce genre de gant qui sert pour se faire des colorations, elle m'a montrée un petit pot de crème épaisse en me disant que c'était de la vaseline pour lubrifier, elle m'en a déposée sur l'anus, me le massant délicatement, j'aimais cette attouchement, j'avais discrètement glissé une main sur ma vulve pour empêcher ma mouille de s'écouler devant-elle et je me touchais, elle s'est enduite un doigt de pommade et me l'a rentrée doucement dans les fesses en me disant de pousser à nouveau, je m'étais faite ça un jour, pour voir, ayant entendue des copines parler de sodomie, je voulais essayer seule, mais cela ne m'avait pas convaincue, mais là, en poussant, le doigt rentrait comme dans du beurre, je crois qu'elle me l'a mit entièrement, puis Marie Hélène m'a demandée si ça allait, si j'avais mal, j'ai dis non, elle m'a prévenue qu'elle allait bouger son doigt dedans et, d'une voix douce, m'a dit que je pouvais laisser ma main où elle était, elle avait vue et comprit…

Quand son doigt à bougé en moi, ça m'a fait bizarre au début, comme si un petit serpent était en moi, puis elle a commencée à faire des vas et viens, me demandant si j'aimais ça, j'ai miaulé un "oui" timide, elle m'a doigtée plus vite, son souffle était court, comme le mien, mes doigts se sont agités sur mon sexe, passant des lèvres à mon clito, la jouissance est montée très vite, ce n'était pas ma première fois avec une fille, mais là, c'était une femme de trente ans, comme une initiatrice, elle me faisait découvrir le plaisir anal, j'ai eu un orgasme foudroyant, j'ai giclée sous moi, une femme venait de me faire jouir par les fesses…

Elle n'a pas tentée d'avoir des caresses de ma part, elle n'a rien demandée en échange, elle m'a dit bonsoir et est partie se coucher, un peu plus tard, j'ai entendue des gémissements qui venaient de sa chambre, elle se masturbait, cela me troublait, en repensant à ce qu'elle m'avait fait, je me suis touchée aussi, j'ai jouis une nouvelle fois en l'entendant prendre son pied…

le lendemain, je ne l'ai pas vue le matin, elle partait tôt, mais le soir, elle m'attendait pour diner, dans mon assiette, il y avait un petit paquet cadeau, elle m'a dit de ne l'ouvrir que dans ma chambre, j'ai patienté fébrilement toute la soirée, au lit, quand j'ai ouvert le petit paquet, ma surprise a été totale, c'était un petit vibro blanc et fin d'une quinzaine de cm de long et à peine trois de diamètre, j'en ai compris l'utilité de suite, il n'était pas assez gros pour un plaisir vaginal, elle avait joint au cadeau, un petit tube de lubrifiant et un mot… "A utiliser sans moi et sans grains de sable…", ça n'a pas traîné, j'ai goutté de suite à son objet, tout en me caressant, je me suis faite seule un plaisir anal prolongé en pensant à elle, le lendemain, je l'ai remerciée en voulant lui faire une bise, mais nos bouches ont glissées l'une vers l'autre et nous nous sommes embrassées langoureusement, elle avait envie de moi depuis longtemps m'a-t-elle confiée, rosissante, et elle me l'a montrée de suite en collant son bas ventre au mien, j'ai sentie ma vulve s'humidifier presque immédiatement…

-------------------------------------------

Le soir même, une fois le gamin couché, elle est venue en peignoir de bain me rejoindre dans ma chambre, avec une trousse de toilette à la main et une grande serviette éponge sous le bras , elle a ôtée son peignoir, se mettant en culotte devant moi, dans la pénombre de la pièce juste éclairée par la lampe de chevet, je regardais son corps svelte aux seins fermes en pomme, ses hanches et fesses ne trahissaient pas son âge ni sa grossesse passée, je la trouvais encore plus belle et plus désirable…

- Alors…? Et ces grains de sable..? pas de récidive…? me demanda-t-elle après m'avoir embrassée sur la bouche…

- Heu non… Je n'en ai plus… je fais attention maintenant…

- Tourne-toi et déculotte-toi… Je vais regarder quand même… on ne sait jamais… me dit-elle en étalant la serviette de bain sur le lit…

j'obtempérais de suite, me souvenant des émois ressentis lors de son inspection digitale et du lavage qu'elle m'avait faite deux jours avant, je baissais ma culotte à mi cuisses en me mettant à quatre patte pour lui présenter ma lune, j'étais déjà mouillée de l'avoir attendue ce soir après le repas mais de comprendre qu'elle allait me refaire les plaisirs de l'autre jour me rendait toute chose et presque impudique devant elle, assise derrière moi, elle commence par m'écarter les fesses pour regarder ma raie et mon anus, elle doit en approcher son visage car je sens son souffle chaud sur mes chairs, elle a ouvert sa trousse pour enfiler un gant médical et m'enduire l'orifice anal d'un doigt de vaseline qu'elle étale doucement en me caressant les plis, , de son autre main, elle me caresse le dos puis les seins et descend entre mes cuisses pour me frôler délicatement la vulve de ses doigts, je me rend compte que je suis en train de pousser pour m'ouvrir...

- Ouiii… Voilaaa… Comme çaaa… Poussse… me souffle-t-elle dans un murmure en faisant pénétrer son index dans mon sphincter…

La douceur féminine n'est pas légende, je suis aux anges, quand je repense aux fois où le peu de mes petits copains on voulus me le faire sans préparation et m'ont irrités le trou de balle, je me délecte de la douceur de son touché rectal qui avance en profondeur, son doigt bouge en moi, assouplissant mon entrée et me stimulant le rectum, sa main fait aussi des merveilles sur ma chatoune, étirant délicatement mes lèvres entres ses doigts promeneurs glissants entre elles, douce Marie Hélène, masturbatrice d'une main, sodomite de l'autre, je m'ouvre pour elle, prête à tout accepter, prête à tout lui faire, elle me questionne intimement…

- Dis-moi…? Tu n'es pas obligée de répondre, mais je voudrai savoir…? Aimes-tu l'amour dans les fesses…? me demande-t-elle d'une douce voix…

- Heu… Vous voulez dire…heu… la sodomie…? avec un homme…?

- Oui… L'as-tu déjà fais avec ton copain…? ou toute seule…?

- Une fois seulement avec mon copain… et ça n'a pas été bien… Sinon… heu… oui, toute seule…

- Bien… moi j'aime qu'un homme me le fasse… mais la première fois ça fait un peu mal… Je me le fais toute seule aussi...m'avoue-t-elle en retirant son doigt…

- Tu es un peu constipée en ce moment…? Je peux te refaire un lavement si tu veux…?

- Oui…un peu depuis quelques jours… Je veux bien oui…

- Bien… ça te fera du bien… et si tu veux, tu me fera le mien après… j'aime bien être propre de ce côté-là…

Alors elle a sortie sa poire salvatrice de sa trousse, la remplie d'eau chaude et de quelques gouttes de savon puis me l'a injectée, je commence à aimer ça, l'eau chaude qui envahit mon rectum et mon ventre me fait du bien, Marie Hélène, qui n'est pas avar en caresses, elle accompagne son lavement d'attouchements sensuels et masturbatoires, tout en bougeant doucement la canule dans mon rectum, je ressent un immense plaisir à être sa patiente et à me laisser toucher de ce côté intime par elle, complicité entre femmes, compréhension des besoins du corps, toute gêne disparait de mon esprit pour laisser place au désir qu'elle continue à me faire du bien par l'anus et qui sait, aller plus loin avec elle, ses questions indiscrètes sur mes sodomies me laissent rêveuse, ses confidences aussi…

- La poire est vide… me dit-elle en retirant la canule doucement de mon anus, après y avoir fait quelques vas et viens…

Elle m'essuie et me demande de tenir une compresse entre mes fesses serrées pour éviter les fuites, elle part laver la poire au cabinet de toilette en me disant d'attendre un peu pour évacuer le lavement, ce que je fais malgré une première contraction de mon ventre, puis elle revient me demander si ça va en enlevant sa culotte devant moi et viens s'agenouiller à mon côté pour me masser le ventre, j'aperçois alors, pendant de son sexe à la toison soigneusement taillée en petit triangle, le cordon tirebouchonné d'un tampon périodique, elle voit mon regard embarrassé et me demande de le lui retirer car ses règles sont finies, je le fais…

A ma deuxième crampe, elle m'autorise à aller aux wc, me demandant si cela me gêne qu'elle m'accompagne, elle veut constater l'efficacité de son lavement sur moi et au cas où, m'en faire un deuxième, cela m'intrigue plus que cela ne me gêne, aurait-elle aussi une attirance pour ce genre de chose, ce qui n'est pas mon cas, mais après tout, c'est elle la soignante, la connaisseuse en lavement, j'accepte sa bienveillance et nous partons toutes deux aux wc, une fois assise elle vient plaquer son bas ventre contre mon visage et je comprend de suite ce qu'elle attend de moi pendant que je me vide en tentant de retenir honteusement les jets qui fusent de mon derrière, j'embrasse son buisson, elle entrouvre ses cuisses, ma bouche descend plus bas se poser sur ses lèvres, elle écarte les jambes, s'offrant à ma caresse…

Marie Hélène mouille abondement, je récolte sur ma langue son doux miel salé, du fait que je lui mange son joli coquillage, j'en oublie l'expulsion qui jaillit de mon corps, elle caresse mes cheveux en se laissant brouter, j'ose lui toucher la raie frôlant son orifice, je l'entend soupirer un "Ouissshhh…" d'encouragement, je salive mes doigts et lui caresse l'œillet, il est souple et s'entrouvre aussitôt, venant à la rencontre du doigt qui le stimule, il s'empale dessus comme une bouche étroite, gourmande d'un sucre d'orge, Marie Hélène se sodomise elle-même, pendant que je lui suce son bouton à plaisir, ma rectale miction est maintenant terminée mais nous restons ainsi encore quelques instants, j'ajoute un doigt à celui qui la fouille, mon amante miaule un gémissement et gicle sur ma bouche…

Après un regard rapide sur mon expulsion, Marie Hélène n'a pas jugée utile de me faire un autre lavement mais me demande de lui en faire un de plusieurs poires, à quatre pattes sur le drap de bain posé sur le lit, elle me tend sa croupe sans aucune pudeur, et pendant qu'elle se caresse la vulve, je lui injecte une à une le contenu de trois poires, elle me parle de ses expériences avec les hommes, mais aussi avec les femmes, ses premières sodomies, douloureuse comme les miennes, puis celles bien meilleures, faites par une amie, une femme plus âgée qui lui a tout apprit, comme avec moi maintenant, si je le veux bien, devenir son amante, j'accepte avec plaisir et vais remplir la dernière poire, en revenant, je la trouve s'enfilant un gode dans la chatte et bouchant son anus d'un tampon de coton…

- Viens me remplir me commande-t-elle… en s'astiquant la moule… Si j'avais une bite, je la prendrai de suite en lui injectant la dernière poire, et peut-être même que je l'enculerai ensuite pour voir comment ça fait, elle m'excite tant, j'ai envie d'elle, j'ai envie qu'elle me fasse des choses, même des choses cochonnes, j'ai la vulve trempée de désir, ma bave d'amour me coule sur l'intérieur des cuisses, si je n'avais pas de jambes, je ferai des traces par terre comme les escargots, je lui branle l'anus avec la canule en appuyant sur la poire par à-coups, elle s'enfonce le gode, le ressort, se touche le clit et se le renfonce, la poire est vide maintenant, je le lui dis en retirant la canule, elle s'enfonce un tampon à moitié dans l'anus et se lève en m'entraînant par la main aux wc avec elle, je me laisse faire…

Autant j'ai trouvé déroutante sa venue avec moi tout à l'heure pour mon évacuation que là, je la suit sans broncher, comme soumise à son autorité et à ses désirs pervers, à peine assise, elle commence à se vider à grands traits, je passe en mode apnée par réflexe, seule la situation m'excite, et comme elle l'a fait avec moi, elle m'attire le bas ventre à son visage en m'écartant les cuisses, sa bouche me suce et sa langue me lape, elle a gardée son gode et se donne du plaisir d'une main en me touchant les fesses de l'autre, elle m'encule d'un doigt en me mangeant la foune, je l'entend se vider, cataractes puissantes sortant de son derrière, elle halète la bouche pleine de mes chairs en fusion sous son cunni de folle, elle retire son doigt et m'enfonce son gode, mon cul est déchiré par l'intrusion soudaine…

Défoncée par derrière et broutée par devant, je fais pipi sur elle ne me contrôlant plus, elle se frotte la fente avec acharnement tout en lâchant sous elle le reste du lavement, nous jouissons toutes les deux comme des chiennes en chaleur, dépravées de plaisir dans nos spasmes orgasmiques, sans honte ni dégout laissant parler nos corps, gémissantes et comblées… Puis le silence revient, seuls nos essoufflements meublent le petit coin, je m'écroule sur le sol, les fesses dans mes mouillements, nous restons sans parler le temps de reprendre pied… Combien de temps sommes nous restées ainsi, savourant la quiétude qui succède à l'orgasme je ne le sais, Marie Hélène s'est essuyée les fesses puis m'a aidée à me relever en me baisant la bouche, les jambes un peu tremblantes, je l'ai suivie à la douche…