Poudlard, les annales

Titre : Harry et Ginny (l'infirmerie)

Ginny allait attaquer sa deuxième nuit à l'infirmerie, quand on lui annonça qu'elle allait recevoir de la visite.

-Harry Potter est venu vous voir, lui dit l'infirmière.

-Faîtes-le entrer, répondit-elle.

Elle reçut son ami alors qu'elle était couchée en pyjama dans son lit médical.

-Salut, lança-t-elle.

Elle se redressa pour lui donner une bise, contente de voir un visage connu.

-Tu vas un peu mieux ? Demanda-t-il quand ils furent seuls.

-Je crois, répondit Ginny. Mais les potions qu'on me donne à boire m'assomment. Et je crois que j'ai encore un peu de température.

Elle semblait en effet épuisée. Harry, d'un geste amical, voulut placer sa main sur son front pour voir si elle avait raison, quand il remarqua le thermomètre en verre qui se tenait sur la table de soin à côté de son lit.

Il contourna le lit médical et se saisit de l'instrument.

-Tant que je suis là, je peux peut-être me rendre utile, lança-t-il. Tu veux que je mesure ta température ?

-Ok. Merci, c'est gentil, fit-elle.

Elle déboutonna quelques boutons de sa chemise de nuit et retira une manche pour dégager le dessous de son bras gauche. Elle vit alors que son ami avait le regard plongé sur sa poitrine qu'elle ne cachait plus du tout à présent.

-Oh, voyons Harry ! Fit-elle en croisant ses bras pour cacher ses seins. Pas de ça maintenant.

-Oui, désolé, fit-il en se concentrant sur sa tâche.

Il lui glissa le thermomètre sous le bras, et la laissa le maintenir ainsi. Pendant la mesure de la température, il continua de mâter discrètement la poitrine de Ginny. Ses seins commençaient eux aussi à prendre du volume, tout comme ceux d'Hermione. Harry avait de temps en temps l'occasion de les voir quand il passait devant les vestiaires des filles avant ou après le sport.

Le thermomètre émit une petite vibration magique pour indiqué que le temps s'était écoulé, et Harry le retira pour lire la température.

-Alors ? Demanda Ginny.

-Ça n'a pas fonctionné, fit Harry d'un air étonné. La mesure n'a pas été prise.

-Ah bon ? Tanpis alors, fit-elle en remettant sa chemise correctement.

Mais Harry avait une autre idée derrière la tête.

-Si tu veux, il y a un moyen beaucoup plus fiable d'utiliser le thermomètre. Peut-être que ça fonctionnera.

Elle finit par comprendre quand il lui demanda de se retourner sur le côté ou sur le ventre.

-Oh non, pas ça ! Répondit-elle. Ma mère le mets tout le temps dans le derrière, déjà. Je déteste ça !

Il soupçonnait Ginny d'avoir quelques réserves, vis-à-vis de son petit trou, et décida de la pousser un peu.

-Allez, arrêtes de faire ta timide, lança Harry. Ça ne prend qu'une minute et puis ce sera fini.

Elle continua à s'obstiner sur son refus, quand il ajouta :

-Tu sais, je peux aussi le mettre contre ta volonté, si tu préfères.

Connaissant l'esprit pervers de son ami, elle préféra ne pas tenter de le provoquer.

-Bon d'accord, vas-y, fit-elle en repliant sa couverture et en se retournant sur le côté.

La tête enfouie dans l'oreiller, elle laissa le soin à Harry de la déculotter, et serra les dents quand elle sentit l'instrument s'introduire dans ses fesses. La mesure sembla lui durer une éternité, tandis que Harry ne vit pas passer le temps, occupé à d'autres pensées en observant l'anus de Ginny d'où dépassait le thermomètre. Quand finalement le thermomètre vibra pour indiquer la fin de la mesure, elle fut soulagée qu'il lui retire la tige de verre et lui remonte sa culotte.

-38°C, annonça-t-il. Je t'avais dis que c'était plus fiable quand on le met dans le derrière.

-S'il-te-plaît, n'en parles pas aux autres, demanda-t-elle. J'ai horreur qu'on se moque de moi à cause de ça.

Promettant de garder ce secret pour eux deux, Harry reposa le thermomètre, puis la laissa plonger dans son sommeil.