Vues: 364 Created: 2014.07.28 Mis à jour: 2014.07.28

Poudlard, les annales

Drago et Pansy (les cachots de serpentard)

Poudlard, les annales

Titre : Drago et Pansy (les cachots de serpentard)

Le couvre-feu était passé depuis longtemps, ce qui n'empêchait pas quelques élèves d'oser se laisser aller à des aventures nocturnes. Pansy descendit les marches du dortoir des filles silencieusement, pour ne pas qu'on la remarque.

Drago lui avait à nouveau donné rendez-vous dans un des cachots abandonnés des quartiers de serpentard. Là, ils ne risquaient jamais d'être dérangés, car personne ne s'y aventurait, surtout la nuit.

Ces séances avec Drago n'avait jamais été une partie de plaisir pour elle, contrairement à ce qu'elle avait espéré.

-Ah, te voilà enfin, fit-il en la voyant entrer dans la petite salle sombre.

Seule quelques bougies permettait de ne pas être dans l'obscurité totale.

-Désolée, fit-elle. J'ai dû être discrète pour te rejoindre sans être remarquée.

-Ce n'est pas grave, trancha-t-il. Inutile de chercher des excuses. Viens plutôt ici et ne perdons pas de temps pour nos affaires.

-Oui, répondit-elle de sa petite voix.

Elle n'aimait pas sa façon d'être direct comme ça, de tout de suite vouloir passer à l'action.

-Viens sur mes genoux, fit-il.

Sa voix sonnait à présent plus comme un ordre que comme une demande, et Pansy se pencha bien malgré elle sur les genoux de son partenaire.

En passant les mains autour de sa taille, Drago eut vite fait de déboutonner son pantalon pour le baisser jusqu'à ses chevilles.

-Pourquoi faut-il toujours que tu portes des culottes quand tu viens ici ? Dit-il d'un ton menaçant. Tu crois pouvoir me cacher quelque chose.

-Désolée, fit-elle une nouvelle fois.

-Cette fois-ci, fit-il sèchement, tes excuses ne sauveront pas ta petite culotte !

Il sortit alors une paires de ciseaux qu'il brandit au-dessus d'elle.

-Non ! Pas ça ! Répliqua-t-elle subitement.

Trop tard. Drago attrapa vivement la partie de sa culotte qui lui rentrait à moitié dans les fesses, tira dessus pour la tendre, et donna un coup de ciseau dedans, dévoilant le cul pâle de sa partenaire.

-Et voilà, fit-il. C'est bien mieux comme ça !

Pansy ne prononça plus aucun mot, préférant ne pas le pousser davantage vers d'autres gestes similaires.

-Bon, fit-il. Commençons par la petite inspection hebdomadaire du trou de balle. N'oublies pas de te décontracter, cette fois-ci !

-Pourquoi ne t'intéresses-tu pas à mon sexe ? Risqua-t-elle en restant en position.

-Désolé, fit-il. Seul ton petit cul m'intéresse vraiment.

En disant cela, il lui écarta les fesses, et repéra malgré l'obscurité son anus crispé. Il posa son doigt sur son trou, mais se retint de l'enfoncer tout de suite.

-As-tu été aux toilettes, ce soir ? Demanda-t-il.

-Non.

La main de Drago s'abattit alors sur ses fesses. La claquement de la fessée et de deux autres qui suivirent résonnèrent dans le cachot.

-Bon sang, lâcha-t-il. On croirait que tu es constipée en permanence ! Pas étonnant, avec ton petit trou serré !

-Qu'est-ce que tu vas faire ? Demanda-t-elle en le voyant chercher quelque chose à tâtons dans le noir.

-Je vais te faire aller aux toilettes, mais cette fois, pas avec une potion laxative.

Il attrapa un objet et le planta devant son visage.

-C'est une poire à lavement, expliqua-t-il. C'est utilisé par les moldus. Avec ça, je vais te foutre de l'eau dans le derrière, suffisamment pour que tu te vides dans la minute qui suivra.

Sans lui demander son avis, Drago reporta son attention sur les fesses de Pansy qu'il tenait écartées. Il avait déjà rempli la poire à lavement, alors il se contenta de lui mettre le canule dans le derrière, lui arrachant un cri de surprise.

Alors que l'eau inondait ses intestins, Pansy craqua et voulut se libérer pour filer aux toilettes.

-Ça suffit, fit Drago en lui donnant une nouvelle tape sur les fesses. Tu iras aux toilettes quand je te le dirai.

Il termina lentement d'injecter l'eau en elle, puis retira sa poire et l'autorisa enfin à filer aux toilettes en courant, le pantalon encore à moitié baissé. Sachant qu'elle ne reviendrait pas ce soir, il regagna lui aussi son dortoir.