Bonsoir, voici un troisième épisode de la partie de Monopoly, avec cette fois un petit retournement de situation 😃

La semaine suivante...

A partir de cette troisième fois, je compris que la partie de Monopoly allait devenir notre prétexte hebdomadaire pour faire notre petit jeu du suppositoire. On avait tous bien gardé le secret, mais on en parlait beaucoup entre nous. C'était plus un sujet de rigolade qu'un sujet tabou, à présent.

On arriva donc chez Cécile et on installa rapidement le plateau de jeu sur la table du salon. Ses parents n'étaient pas là, nous avions donc le champs libre pour nous.

Martin posa alors une question intéressante :

-Dis, Cécile, tes parents ne vont pas se rendre compte qu'il manque des suppositoires, dans le frigo ?

Mais visiblement, celle-ci avait prévu le coup.

-Pas de problème, répondit-elle, j'ai été acheté une boîte pour moi à la pharmacie. Il n'y a pas besoin d'ordonnance, j'ai simplement dit au pharmacien que j'étais constipée, et il m'a proposé d'acheter une boîte de suppo.

Toute fière, elle partit chercher sa boîte et la posa sur la table pour nous la montrer. Elle était ouverte, mais pas encore entamée, et contenait dix suppositoires.

J'eus une petite boule au ventre à la vue de la boîte, en repensant aux dernières parties de Monopoly. Qui allait perdre aujourd'hui, et recevoir la petite fusée dans le derrière ? J'allais bientôt le savoir, car on s'était à nouveau tous mis d'accord pour continuer notre petite tradition, même les filles qui avaient déjà perdu une fois.

J'avais eu l'occasion avec les deux dernières parties de mettre les suppositoires à Nadia et à Cécile, mais je savais que cette chance ne pouvait se prolonger éternellement.

Ce fut ainsi que je fus rapidement désigné perdant, et éliminé de la partie. Je me rendis compte alors à quel point il était stressant de se retrouver dans cette situation. Je savais que l'un des trois allait forcément me mettre le suppo, mais je ne savais pas qui, et il fallait surtout attendre la fin de la partie pour le savoir. C'était probablement cette attente le plus stressant.

Je restai cependant à table avec eux, et même si je parlais moins, je suivis attentivement la partie pour essayer de deviner le vainqueur à l'avance.

L'attente me parut durer une éternité : il fallut une bonne trentaine de minutes pour que le vainqueur soit enfin désigné.

Cécile se leva de sa chaise et leva les bras en l'air en signe de victoire.

-J'ai gagné, cette fois ! Fit-elle.

Elle me regarda alors d'un air moqueur :

-Alors, prêt pour ton petit suppo ?

Je ne répondis rien, mais sa remarque fit rire Nadia et Martin, qui s'apprêtaient déjà à regarder le spectacle.

Je me levai de ma chaise, et attendis. Ca allait être un petit moment difficile à passer, mais au moins après ce serait vite fini. Cécile avait déjà sorti de la boîte un des emballages individuels, et était à présent entrain de l'ouvrir. Elle attrapa la petite fusée jaune entre ses doigts, et me regarda à nouveau.

-Allez, baisse ton pantalon et ton caleçon, que je vois tes fesses !

Elle semblait vraiment contente et excitée à l'idée de me mettre ce suppositoire.

Contraint de devoir suivre notre règle, je baissai mon pantalon et mon caleçon, et me penchai légèrement en avant sur la table, dos à Nadia et Martin qui rigolaient déjà.

Je devinai Cécile entrain de s'approcher de moi, quand Martin lança :

-Vas-y Cécile, fais-nous voir son trou du cul !

Je me sentis aussitôt rougir comme une tomate, et sentis les mains de Cécile se poser sur mes fesses et me les écarter assez fort. A présent, aucun doute que tout le monde voyait mon trou de balle !

Dans ce genre de moments, c'est très gênant de sentir qu'on est le centre d'attention.

Je n'eus pas le temps de penser à la suite, que déjà je sentis la pointe froide et souple du suppositoire se poser directement sur mon anus.

Je me crispai instinctivement en ressentant une légère pression, tandis que Cécile essayait de commencer à faire rentrer le médicament dans mon cul.

-Allez, enfonce-le ! L'encouragea Nadia.

Cécile continua à pousser, mais ne s'y prenait visiblement pas très bien, et n'y arrivait pas.

-C'est difficile, répondit-elle, son trou du cul est tout serré !

Encore une fois, je me sentis rougir en l'entendant commenter mon intimité à haute voix.

-Alors, pousse plus fort, insista Nadia.

Elle essaya encore un peu de me mettre le médicament, mais voyant qu'elle n'y arrivait toujours pas, elle changea de stratégie. Elle poussa, beaucoup plus fort cette fois, pour faire rentrer le suppositoire de force. Je sentis alors la pointe rentrer dans mon cul, et immédiatement ensuite, le doigt de Cécile suivit. Elle l'enfonça en totalité, poussant le suppositoire le plus loin possible, puis ressortit son doigt. Evidemment, le suppo ne ressortit pas.

-Voilà, ton suppo est mis, me lança Cécile en me donnant une petite tape sur les fesses.

Puis elle partit se laver les mains. De mon côté, je me rhabillai et regagnai les toilettes, sous les rires de Nadia et Martin. Une fois installé sur la cuvette, je voulus pousser pour expulser immédiatement le médicament, mais Cécile l'avait mis trop profond, et je dû attendre qu'il agisse complètement pour le faire sortir naturellement.