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Vues: 1081 Created: 2012.09.19 Mis à jour: 2012.09.19

Mes fesses au supplice

Partie 5

Il se penche sur moi et touche délicatement le site de la piqûre. Je frémis. "Elles sont folles..." murmure-t-il tandis qu'il nettoie le filet de sang et examine la plaie. "Ca te fait mal quand tu marches ?" Je hoche la tête. Il pousse un soupir. "L'aiguille a touché un nerf, c'est pour ca. Je suis désolé mais je vais devoir te faire une piqûre d'anti-inflammatoire et une autre d'antalgique pour calmer rapidement ta douleur..." "Noooooon non s'il vous plait, pas encore, pas ca...." Trop tard, il prépare déjá la première seringue. "Allons ma grande, c'est un mal pour un bien, tu verras la douleur va partir très vite." J'éclate en sanglots. Ca n'en finira jamais...

La deuxième injection est prête et il s'approche de moi, le coton imbibé d'alcool à la main, les deux seringues pleines posées sur la tablette. Je ferme les yeux et respire profondément. Je sens l'aiguille rentrer dans ma peau et s'enfoncer lentement dans le muscle, tout près de la plaie laissée par Aurélie et Claire. J'ai mal, j'ai si mal mais je n'ai ni la force ni le courage de crier. "Voilà, la première piqûre est faite, tu assures ma grande ! déclare-t-il en retirant délicatement l'aiguille. "Prête pour la deuxième ?" Je ne réponds pas. Je me concentre sur mes dents serrées pour ne pas crier. Une pause, un silence, le coton froid sur mon autre fesse, l'odeur d'alcool qui pique les narines... je respire profondément. La deuxième piqûre me fait plus mal. Peut-être parce que l'autre a été faite sur un endroit déjà tellement douloureux... Je ne peut retenir un gémissement. "Chuuut, ca va aller, tu y es presque." Le liquide injecté me brûle tellement que mes pleurs redoublent. Ca dure une éternité. "Voilà, c'est fini pour les piqûres", déclare-t-il gentiment. Il prend un drap et me couvre. "Reste dans cette position, repose-toi 5 minutes avant qu'on s'occupe du reste." S'occuper du reste... je frémis.

Je reste étendue sagement et cherche à me calmer pendant qu'il fouille dans ses tiroirs derrière moi. J'entends des bruits de métal et de plastique. Puis il contourne la table d'examen pour se poser devant moi "Ca va ?" Je hoche la tête. "Bon alors on va vite vérifier le reste comme ca se sera derrière toi - et tu pourras assister à ta vengeance." Il refait le tour de la table, se place derrière moi et soulève délicatement le drap sur mes fesses avant de le poser sur mes hanches. Ainsi je suis complètement recouverte sauf mon derrière "Allez, courage, c'est bientôt fini." Remonte bien ta jambe droite vers ta poitrine." Je m'exécute et sens mes fesses exposées une fois de plus. Je tourne la tête et le voit enfiler des gants en latex. "Qu'est ce que Claire t'a mis dans le rectum ?" Je déglutis "Un thermomètre, ses doigts, et les suppositoires". Ma voix est un murmure tant j'ai honte. "D'accord. Et le thermomètre, tu as eu mal ?" "un peu, mais pas tant que ses doigts." "Ok. On va regarder ca". Il prend un tabouret et s'assied devant ma partie exposée. Il écarte délicatement ma fesse droite, celle qui est vers le haut. "Respire profondément". J'obéis. Il dépose une noix de gel sur mon anus et le masse délicatement. "Ca te fait mal ?" "Là pas trop, c'est plus une gêne que je ressens là". "Ok. Je vais maintenant te faire un toucher rectal, je vais introduire mon doigt doucement, d'accord ?" Angoissée, je hoche faiblement la tête. Je sens son doigt - autrement plus gros que celui de Claire - presser mon anus. "Pousse comme si tu étais aux WC". Très gênée, je m'exécute.. et je sens son doigt entrer en moi. "Aie !" je gémis."Ca te fait mal là ?" "Oui..." "Ok, on va regarder ca après." Son doigt reprend sa progression et entre dans mon rectum. Il palpe les parois, tourne, examine sans me faire mal, à l'exception de l'anus en lui-même. Pas douloureux mais très désagréable. Et pour la énième fois cet après-midi, j'ai honte.

Après un examen minutieux de plusieurs minutes, il retire son doigt. "Bon ma grande, je ne sens aucune lésion rectale mais on va voir ca." Il se tourne sur son tabouret et j'entends les roulettes de son petit chariot grincer. "Au moins ces tarées t'ont vidé le rectum avec les suppositoires, ca m'évite de t'infliger un lavement pour pouvoir t'examiner." Je frissonne à ces mots.

"Par contre dans cette position ca va être un peu plus compliqué. Tu vas devoir te mettre à quatre pattes. Mais ca va aller vite, promis." Je sursaute. Mes pleurs, apaisés, menacent de revenir. Mais je m'exécute docilement. Le docteur, c'est le docteur... je retire le drap en me mets dans la position demandée, au supplice. "c'est bien ma grande. Maintenant tu vas t'appuyer sur tes coudes et coucher ta tête et ta poitrine. J'ai besoin que tu sois cambrée, les fesses bien en haut. Mortifiée, j'obéis. Quelle humiliation d'être dans une telle position ! Je suis complètement ouverte. J'ai envie de pleurer.

Une nouvelle une noix de gel. "Je vais regarder á l'intérieur de ton rectum avec un instrument spécial. Comme ca s'il y a la moindre lésion, je la verrai immédiatement. L'examen est indolore mais étant donné que tu as mal à l'anus, l'introduction sera peut-être un peu douloureuse mais ca va passer vite. Tu peux faire ca ?" J'entends des bruits de métal. Je suis tétanisée. Je tourne la tête et regarde derrière moi. Il tient un instrument effrayant dans les mains. Un instrument long et large en métal. "C'est un anuscope. Ca va aller. Tourne la tête, respire profondément et détends-toi." J'obéis mais ne peux retenir des larmes silencieuses. J'ai si peur et tellement honte...

Soudain quelque chose de dur, frois et gros vient presser fort contre mon anus. "Allez, respire bien et pousse comme si tu allais aux WC, comme tout à l'heure." Une hésitation, et je m'exécute. "Han !" La chose entre doucement et me coupe le souffle, m'arrachant un gémissement de surprise. C'est froid. C'est si froid et large. J'ai mal, lá ou les doigts de Claire m'ont tendue quand je me suis débattue. Je gémis. C'est insupportable. L'instrument parait si long, son entrée dure des siècles et j'ai l'impression que mon anus est un trou béant, grand ouvert. "Tu fais ca très bien. Respire. C'est bien". Il m'encourage. C'est une torture.

Enfin l'anuscope semble être entré au maximum et toujours cette sensation d'un trou grand ouvert. Je sens le médecin retirer quelque chose du tube, je ressens une forte pression. Le silence. "Mmmh tout à l'air à sa place, pas de lésion pour l'instant". J'entends le tabouret rouler et devine qu'il attrape quelque chose sur sa tablette tandis que mes fesses sont littéralement grande ouvertes. Un trou béant. Je suis très mal à l'aise. Le bruit du tabouret qui revient. J'ai envie de nouveau de mourir de honte, de me lever et de partir en courant mais je ne suis pas dans une position favorable, encore moins avec une espèce de gros cône métallique enfoncé dans les fesses et mon anus béant...

Au bout de quelques minutes, le médecin déclare "ok, tout va bien à l'intérieur. Aucune lésion. Tu as eu de la chance... Je vais retirer l'anuscope, d'accord ?" Aussitôt dit aussitôt fait. Je sens la pression se relâcher et l'intrus être délicatement retiré. Je commence à bouger pour me relever mais le docteur m'arrête "Attends, on va s'occuper de cette douleur à ton anus maintenant." Je soupire mais j'ai mal à cet endroit, et au point où j'en suis... "Très bien, je te promets que je vais faire vite et doucement pour t'examiner, d'accord ?" Immédiatement ses doigts experts examinent mon anus, l'ouvrent délicatement. Je gémis quand il touche le point sensible ou tire la peau à cet endroit, ca fait vraiment mal. "Elle t'a pas ratée..." grommelle-t-il...

Après un examen anal poussé et attentif, il explique "Il n'y a rien de grave, aucune blessure ou lésion sérieuse. Je vais te prescrire un antalgique local - une crème pour calmer la douleur. Tu devras la mettre deux fois par jour. Mais ne bouge pas, je vais te donner maintenant déjà de quoi soulager ta douleur". Toujours dans ma position maxi-humiliante, je grommelle pour exprimer mon accord, soulagée à l'idée que mon calvaire allait bientôt prendre fin. Oui il allait prendre fin, mais j'avais encore une derniére épreuve à endurer... Je l'entendais fouiller dans ses tiroirs. Je ne regardais pas, j'étais tellement mal à l'aise dans la position dans laquelle j'étais que je cachais mon visage dans mes bras. Je m'attendais à ce qu'il m'applique une première dose de crème anti-douleur, il n'en fut rien. J'entends des bruits de plastique qu'on déchire, puis quelques secondes plus tard, quelque chose de froid dégouline sur mon anus. Je fais un bond de surprise. "Chut, c'est rien". Je reprends ma position humiliante et attend impatiemment que tout se finisse. Je me sens tellement exposée dans cette position, je n'en peux plus. "C'est une crème, pour soulager la douleur". Il masse longtemps et délicatement.

Je suis à l'agonie.

"Je suis désolé de t'avoir infligé ca mais il le fallait pour te soulager et prévenir toute complication sur la lésion initiale." Il soulève le drap, me tourne sur le côté. Je ne proteste pas. Il soulève ma fesse et palpe délicatement l'anus et la zone autour. "Parfait," murmure-t-il. "Dis-moi quand tu te sens de te lever et que tu n'as plus mal, ca fait effet vite. On a fini ici, on va aller s'occuper des derrières de ces demoiselles en haut dés que tu es d'attaque." La perspective me revigore. Je me donne encore une dizaine de minutes pour être sûre que mes jambes puissent me porter. La douleur dans mes fesses s'estompe effectivement rapidement et je me sens un peu mieux. Il me donne un verre d'eau, sourit et me dit "Tu vas devoir revenir dans 5 jours pour un contrôle mais je ne suis pas inquiet." Je souris faiblement. Je suis fatiguée et surtout, même si la douleur physique a disparu, je me suis sentie tellement humiliée ces dernières heures que je suis assez secouée.

"Tu es prête à assister à la punition de tes tortionnaires ?"

FIN

Quand j'ai un peu de temps, j'écris la suite : la punition de Claire et Aurélie.

Merci pour vos commentaires !

Comments

clyso Il ya 3 ans