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Vues: 901 Created: 2012.09.19 Mis à jour: 2012.09.19

Mes fesses au supplice

Partie 4

Le père de Claire se tient sur le seuil et regarde la scène, ébahi. Moi en pleurs à genoux, cul nul devant sa fille dont deux doigts sont dans mon rectum, les mains gantées, une boite de suppositoires eventrée à côté d'elle, une seringue par terre a côté de ma fesse en sang. Aurélie, de l'autre côté de la pièce, en train de visser une canule rectale sur un tuyau.

Je sens les doigts de Claire se retirer si brutalement que j'en glapis de douleur. Un silence épouvantable s'abat dans la pièce et mon premier réflexe est de bondir sur mes jambes et tenter de remonter prestement ma culotte, ce qui s'avère difficile vu la douleur et les larmes qui m'aveuglent. Le père de Claire, encore stupéfait, me retient d'un geste." "Je dois aller aux toilettes Monsieur, je ne tiens plus.". Il me regarde, fronce les sourcils, regarde sa fille puis la boîte de suppositoires. "Claire... combien lui en as tu donné ?" Son ton est glacial et on sent une colère sourde derrière. Elle balbutie. Il attrape la boîte et compte. "Six ! Six suppositoires ??? Mais tu es malade ma pauvre fille ! File aux toilettes toi mais ne t'enfuis pas. Reviens quand tu as fini, m'ordonne-t-il en se tournant vers moi.

Je ne me fais pas prier et, tenant mon pantalon dans la main, je file. J'arrive juste à temps pour baisser ma culotte et m'asseoir sur la cuvette. Les selles qui s'évacuent me font très mal à l'anus et je respire profondément pour ne pas gémir à nouveau. J'entends des éclats de voix venir de la chambre. Bien fait pour leurs gueules.

Je prends mon temps aux toilettes et essuie avec soin la vaseline. Cette sensation de graisse entre les fesses... effacer les traces de mon humiliation...

Quand je reviens dans la chambre en boitillant (ma fesse me fait très mal quand je marche), j'arrive en pleine séance d'explications. Claire est une menteuse brillante mais son père n'est pas dupe. Au fur et á mesure qu'il prend conscience de ce qu'il s'est passé dans la chambre de sa fille, sa stupeur et sa colère monte. "Une piqûre ? UNE PIQÛRE ?! Mais vous êtes inconscientes ! Vous auriez pu lui causer des lésions terribles ! Toucher un nerf !" Il est hors-de-lui et en même temps il semble dépassé par l'extrême de la situation. Il se tourne vers moi. "Ca va ? Me demande-t-il doucement. Je hoche la tête. "Vu tes cris de douleur, que j'ai entendu depuis le rez-de-chaussé en rentrant, je ne te crois pas." Je hausse les épaules. "Ne t'inquiète pas, je vais régler tout ca."

Il sort son téléphone portable de sa poche et compose un numéro. "J'appelle ta mère, Aurélie. Elle sera ravie." Aurélie devient pâle et déglutit. Je bats en retraite dans un coin du couloir, loin de cette chambre et des filles. Je me demande pourquoi il veut que je reste. Je veux rentrer chez moi et oublier tout ca.

La conversation dure quelques minutes, puis il raccroche, rentre dans la chambre, se dirige vers le bureau, ramasse les sacs plastique contenant le matériel que Claire avait volé dans son cabinet, s'empare de la clé de la chambre et se tourne vers les deux filles. "Vous deux, vous ne bougez pas. Je vais examiner Anne-Sophie pour m'assurer que vous n'avez pas causé de dégâts et après je m'occupe de vous. Aurélie, ta mère m'a donné carte blanche pour te punir et elle veut m'y aider, elle arrive. je lui ai demandé de nous retrouver d'ici 20 minutes. Elle est plus que furieuse."

Et sur ces paroles, sans un regarde en arrière, je le vois ressortir de la chambre et fermer la porte à clé.

"Viens Anne-Sophie, je vais m'occuper de toi". Pas très rassurée, je le suis. Je le connais bien, c'est notre médecin de famille depuis toujours, je suis en confiance avec lui. Mais après ce qui vient de m'arriver... Je le suis au rez-de-chaussée. Nous traversons le salon et il ouvre la porte du fond qui ouvre sur son cabinet médical. Je frissonne tandis qu'il allume les lumières et déroule une grande feuille de papier sur la table d'examen.

"Anne-Sophie je suis vraiment désolé de ce qui vient de se passer. Ne t'inquiète pas, elles vont avoir une punition à la hauteur de ce qu'elles t'ont fait et tu pourras y assister.... mais avant je veux t'examiner, j'ai l'impression qu'elles t'ont fait mal et je veux être sûr que tout va bien."

Je comprends où il veut en venir et blêmis. "Allez Anne-Sophie, je suis ton docteur, tu sais que je suis doux" C'est vrai, il l'est - les vaccins par exemple ne font jamais mal avec lui. Je me sens coincée. Alors j'obéis.

"Ok ma grande, baisse ta culotte et grimpe sur la table". Hésitante, je m'exécute. "Allonge toi sur le côté, comme ca, voilà. Ca va ? Ok, remonte ta jambe comme ca, voilà." Je sens de nouveau mes fesses s'ouvrir du fait de la position que je prends et de me sentir aussi exposée me fait frissonner et réprimer un sanglot. C'est reparti de plus belle pour mes pauvres fesses, on dirait...