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Vues: 1069 Created: 2012.09.19 Mis à jour: 2012.09.19

Mes fesses au supplice

Partie 3

La panique me saisit mais je m'oublie pas qu'Aurélie tient une seringue fermement plantée dans ma fesse en me tenant tout aussi fermement les reins avec son autre main. J'ai peur de bouger encore mais je me mets à trembler. Ma colère contenue, ma peur, tout. "Tu vois que tu es en train d'apprendre la lecon..." sourit Claire en enfilant un nouveau gant. A nouveau elle passe derrière moi et disparaît de mon champ de vision. J'entends l'emballage des suppos être déchiré. J'ai envie de mourir de honte tandis que Claire m'ouvre à nouveau et je sens ses mains froides. Elle place le suppositoire sur mon anus avant de pousser, très lentement, trop lentement. Elle prend son temps. Je sens la chose gélatineuse me pénétrer dans une lenteur atroce sous la poussée de l'index de Claire qui entre avec et accompagne le suppo très profondément dans mon rectum. A cet instant j'ai une bouffée de haine mais remuer fait bouger l'aiguille de la seringue alors je pousse un long soupir résigné. Claire retire très lentement son doigt et sans me laisser espérer un répit, enfonce un deuxième suppositoire, cette fois plus brutalement, ce qui m'arrache un gémissement de surprise et d'inconfort. Puis elle me mets un troisième suppo. Puis un quatrième. Je n'en peux plus.

"Voilà. Un suppo toutes les 5 minutes maintenant jusqu'à ce que tu ne puisses plus les tenir," dit-elle derrière moi. Et son doigt, qui avait accompagné le quatrième suppositoire, reste en place. Je me tortille doucement et mon anus, comme si'il voulait expulser ce doigt étranger, se contracte et se décontracte en alternance."Claire arrête..." ma voix est un murmure. "Je laisse mon doigt comme bouchon pour être sûre que tu gardes bien les suppos" glousse-t-elle. Laissez moi mourir de honte, s'il vous plaît.

Cinq minutes. Avec Aurélie, bon petit soldat, qui tient toujours fermement la seringue en place, comme une menace, celle de la douleur si je fais le moindre nouvement. Cinq minutes avec le doigt de Claire enfoncé dans mon rectum. Les secondes passent. J'ai envie d'exploser tant l'humiliation est forte.

Soudain le doigt de Claire remue en moi. "Voyons voir si les suppos fondent bien". Son doigt cherche les intrus glycérinés, les trouve et les frotte comme pour les faire fondre plus vite. Quelqu'un, sauvez-moi.

"Claire, cinq minutes" déclare Aurélie qui décidément fait du zèle. Claire retire son doigt et j'entends de nouveau le bruit de l'emballage des suppositoires. "Ca suffit Claire arrête, je t'en supplie, pas un autre !!!" "Anne-Sophie tu me saoules. Aurélie, injecte." "NOOOOOOOOOOOOOOOOOON" Je hurle et me redresse en me débattant. La douleur me fait grimacer mais je n'en peux plus. Les deux filles me plaquent contre le lit et sans attendre, Aurélie enfonce brutalement le piston, ce qui m'arrache un nouveau hurlement. Un hurlement long, déchirant, aussi long que la brûlure qui se prolonge dans ma fesse et qui se diffuse. Jamais je n'ai été aussi humiliée.

"Idiote !" Entre mes cris j'entends Claire siffler à l'adresse d'Aurélie. "Il ne fallait pas injecter tout, juste un peu."

Je pleure à chaudes larmes. Je n'en peux vraiment plus. Mais avant que je ne réalise quoi que ce soit, je sens Claire pousser le suppositoire des 5 minutes très profondément. Je me remets à crier et à me débattre avec son index en moi, ce qui engendre une nouvelle vague de douleur À mon anus. Aurélie retire brutalement la seringue et la jette par terre pour mettre toutes ses forces pour me maintenir. J'ai perdu. Ma fesse me brûle à un point à peine tolérable, mon trou me fait mal et le doigt de Claire est toujours profondément enfoncé en moi. Je pleure sans pouvoir m'arrêter, dans le silence qui s'est abattu sur les deux filles.

Aurélie brise le sience "Quelle chochotte quand même celle là". Claire acquiesce "C'est clair !"

Mourir de honte. Maintenant. Tout de suite. Mais rien ne vient. J'abandonne. Je capitule. Plus je me débattrai, plus ca durera et plus ca sera douloureux. Qu'elles fassent ce qu'elles veulent et que ca finisse.

Le silence s'installe à nouveau. Aurélie a repris son portable et j'entends le bruit de l'appareil photo. Ah la scène... Claire, debout derrière moi, face à mes fesses qui lui sont ouvertes et soumises, le doigt enfoncé dedans... J'ain unfrisson d'horreur à l'idée qu'Aurélie est suffisament tordue pour que d'ici lundi, ces photos fassent le tour du collège.

"Cinq minutes, c'est le moment du suppo suivant", annonce Claire."Je frissonne et commence à avoir très envie d'aller aux toilettes, c'est vrai que j'étais un petit peu constipée et cinq suppositoires à la glycérine, au bout d'un quart d'heure à peine, me font l'effet d'une bombe. "Aurélie, va préparer le lavement comme je t'avais dit. Après les suppos on va bien la nettoyer. Elle pourra nous dire merci après tout ca, elle sera toute propre," ricane-t-elle." A ces mots, une nouvelle vague de panique m'envahit. Mais j'ai capitulé, je suis épuisée alors je gigote à peine et proteste mollement "Arrêtez je vous en supplie, arrêtez, pas ca, pas ca.... non, non..."

Claire m'ignore, retire son doigt pour prendre le suppositoire suivant. L'idée de me relever et de m'enfuir me traverse brièvement l'esprit mais je suis trop abattue pour cela et avec le slip et le pantalon entre les genoux je n'irai pas loin. Et ma fesse me fait tellement mal à l'endroit de la piqûre...

Le sixième suppositoire arrive. Elle l'introduit lentement en gloussant mais cette fois avec deux doigts. Mon anus me faisait déjà un peu mal depuis que je m'étais débattue mais là ca devient si douloureux que je laisse échapper un nouveau gémissement. Ses deux doigts glissent lentement et poussent le suppositoire dans mon rectum déjá bien plein. Je gémis et pleure en même temps. J'ai mal, j'ai envie de me soulager et l'idée d'un lavement par-dessus le marché me donne des frissons d'horreur. Je suis désemparée.

Et soudain, la porte de la chambre s'ouvre. "Mais qu'est ce qu'il se passe ici ?! C'est quoi ces hurlements ?!"