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Vues: 1083 Created: 2012.09.19 Mis à jour: 2012.09.19

Mes fesses au supplice

Partie 2

"Aurélie, tiens la bien !"

"Non, Non, NOOOOOn Claire s'il te plaît, pas ca !!!"

Je me mets à sangloter et tente encore de me débattre. J'entends un bruit de plastique, de flacon qu'on ouvre et qu'on pose sur la table de nuit. Je ferme les yeux. je tremble. C'est un cauchemar, je vais me réveiller...

Et soudain le coton froid sur ma fesse, et l'odeur forte de l'alcool. Mes sanglots redoublent. Des secondes interminables passent, j'entends Aurélie respirer très vite au-dessus de moi. L'idée que c'est finalement tout du bluff me traverse l'esprit quand soudain je ressens une douleur terrible dans la fesse gauche tandis que l'aiguille me pénétre lentement. La douleur est atroce et je pousse un cri. Claire prend son temps, se délectant visiblement de la scène. Aurélie respire très vite. Mes sanglots redoublent tant j'ai mal et je me rends à peine compte qu'Aurélie m'a lâchée pour aller chercher son portable... et faire des photos de la scène : la seringue profondément plantée dans mes fesses, moi à genoux en train de pleurer, à la merci totale de Claire qui me tient par une simple aiguille. Elle appuie lentement sur le piston. Je ne sens pas le liquide être injecté mais la poussée enfonce un peu plus l'aiguille, ce qui me fait gémir de douleur.

"Je n'ai injecté qu'un tout petit peu d'eau, Anne Sophie, pas toute la seringue. Je vais la laisser en place, comme ca dès que tu m'emmerdes, je pousse le piston et j'injecte un peu plus."

C'est un cauchemar, je vais me réveiller...

Une douleur fulgurante, terrible, me rappelle que ce n'est pas un cauchemar. Claire a lâché la seringue mais celle-ci a commencé à tomber. Claire la rattrape, renfonce le centimètre d'aiguille qui était sorti, ce qui me fait gémir de douleur à nouveau. "Aurélie, lâche ton portable et vient m'aider". Portable...? Photos ? Je pousse un nouveau sanglot d'humiliation et de douleur. "Tiens la seringue bien droite, voilà, comme ca." Et Claire passe le relais à Aurélie. " Alors Anne-Sophie, tu es calmée ? Tu as appris ta lecon ?" Je ne réponds pas. "Bien, alors donc maintenant je vais prendre ta température. Je vais t'enfoncer le thermomètre profondément dans tes fesses et si tu ne te comportes pas bien, je demanderai à Aurélie d'appuyer sur le piston."

Un instant de silence puis je sens ses doigts m'ouvrir à nouveau... et le contact du métal froid du bout du thermomètre qu'elle presse contre mon anus lubrifié avant de l'enfoncer avec une lenteur délibérée et insupportable. C'est si froid, c'est si humiliant, je gémis entre deux reniflements. Et soudain, la sensation de brûlure, insupportable. Je commence à me tortiller et me contracter autour du thermomètre qui est en train de s'enfoncer inexorablement. "Ca me brûle, arrête, aaaaie, stoooop !!!" "C'est normal. C'est l'alcool." explique claire "Ca va passer". Je suis au supplice. Elle le retire, le réintroduit, le retire et ainsi de suite. La brûlure passe lentement et elle le réenfonce lentement et cette fois profondément. Une fois le thermomètre en place, elle le tient fermement tandis que j'ai envie de mourir de honte. "Trois minutes, c'est parti", déclare joyeusement Claire.

Trois minutes. L'horreur. Claire qui me tient empalée par le tube en verre profondément enfoncé dans mon derrière et Aurélie qui me tient empalée par l'aiguille profondément enfoncé dans ma fesse, un endroit qui me brûle et qui me fait encore bien mal. Je veux encore croire que c'est juste un mauvais rêve et que je vais me réveiller. Mes larmes commencent à sécher mais ma honte, elle, s'amplifie. Je cache mon visage dans mes bras. Je sens mon coeur cogner contre ma poitrine. J'ose espérer

que mes tortionnaires vont profiter de ces 3 minutes pour ne pas en remettre une couche à défaut de me donner un répit.

Peine perdue. Claire commence à jouer avec le thermomètre en le faisant tourner sur lui même et en tapotant le haut. Soudain elle m'ouvre davantage et pousse le thermomètre vers le haut. Elle me fait mal, je gémis à nouveau. "Je veux voir ta température monter" ricane-t-elle.

Des heures s'écoulent, puis Aurélie annonce "Claire, ca fait un peu plus de 3 minutes". Je sens mon pal de verre remuer en moi, puis être lentement - très lentement - retiré. J'ai envie de pousser un soupir de soulagement. Le cauchemar va s'arrêter là, non ? Mes fesses se referment et Claire pose une main ferme sur mes reins "Ne bouge pas". Apparement non.

"Regarde ca Aurélie, c'est dégueu, on voit rien." Angoissée, je jette un regard par-dessus mon épaule et mon regard se pose sur le thermomètre que brandit Claire. Il est effectivement souillé de striures marrons. Mon coeur se serre. Je sais encore ce que faisait ma mère ou mon pédiatre quand c'était comme ca, et après le coup de la piqûre, je n'ai plus de doute : Claire est capable de tout. Un frisson me parcourt.

Avec dégoût Claire s'empare d'une lingette, essuie le thermomètre et le plonge dans le gobelet d'alcool. "Tu es constipée ou quoi ?" me demande-t-elle. Glacée, je n'ose répondre. Je veux juste partir en courant mais mes jambes ne me porteront pas.

Puis les mots redoutés claquent dans l'air : "C'est pas possible ca. J'ai besoin d'une température fiable et lisible. Ou sont les suppos?" Je me remets à pleurer "Non, ca suffit Claire arrête, j'ai fait tout ce que tu as demandé, je ne veux plus jouer !" "Oh arrête de faire ton bébé, c'est pour ton bien ! Et si tu veux faire partie des nôtres, c'est comme ca !" Et je la vois sortir une boîte blanche, l'ouvrir et en sortir un sachet de suppositoires jaunes-beiges en vrac. Je frémis. Des suppositoires à la glycérine.