Voici un nouveau début de récit sur le thème de la domination (âmes sensibles s'abstenir 😜 ) dans le même genre que celui de Clara.

Un soir que je rentrais à mon bureau récupérer des documents tard le soir, je surpris ma jeune employée en train de fouiller dans mes affaires. En voyant ma présence à laquelle elle ne s'attendait sûrement pas, elle rougit immédiatement, très embêtée d'être surprise.

-Je suis désolée, dit-elle d'une petite voix. Je voulais juste chercher les prochains dossiers à examiner pour prendre de l'avance.

Je voyais à son comportement qu'elle mentait.

-Je ne te crois pas, fis-je. Et c'est une faute professionnelle grave l'intrusion.

Elle baissa la tête, de plus en plus embêtée.

-N'appelez pas la police, s'il vous plaît. Je ne veux pas d'ennuis, et j'ai vraiment besoin de ce travail.

Je la jugeai du regard, elle pouvait avoir une autre chance, mais il fallait quand même qu'elle soit punie.

-Ne t'inquiètes pas, fis-je. Je n'ai pas l'intention de te virer ou d'appeler la police. Par contre tu vas être punie pour ton intrusion.

-Comment ça ? Fit-elle, angoissée.

-Tu vas voir, lui répondis-je en fermant la porte à clé. Déshabilles-toi déjà, je n'ai pas encore décidé ce que je te réserve comme punition.

A contre-cœur, elle commença à déboutonner son chemisier. Quand elle fut en sous-vêtements, et que je commençais à voir les formes de son corps, elle me demanda si elle devait vraiment tout enlever.

-Tu peux rester comme ça pour le moment, fis-je. Quel âge as-tu déjà ?

-Vingt-et-un ans.

-Tu es très jolie. Tournes-toi un peu, que je puisse te regarder.

Elle obéit. J'observai attentivement son corps jeune. Elle portait un ensemble soutien- gorge et culotte bleu clair. Ses cheveux bruns mi-longs retombaient sur ses épaules et dans le haut de son dos. Ses petits seins et ses petites fesses bien fermes lui donnaient une jolie silhouette. Elle continuait de bouger son corps, pas très à l'aise de ce qui lui arrivait.

Je m'approchai d'elle et lui tapotai sur le derrière.

-Allez, enlèves ta culotte. Et ton soutien- gorge aussi.

-S'il vous plaît, regardez juste mais ne touchez pas.

-Désolé, tu recevras la punition méritée, fis-je, impassible.

Je me mis dans son dos pour dégrafer son soutien- gorge, et attendis qu'elle soit toute nue. Je lui mis ensuite la main dans le dos et l'accompagnai jusqu'à mon bureau, lui fis un peu de place, et l'invitai à se coucher dessus, sur le dos. Ses jambes dépassaient un peu.

-Laisses-toi faire, lui ordonnais-je.

Je commençai à me déshabiller, mon pénis était tendu devant moi. Je pris alors sa main et l'emmenai vers mon sexe.

-Branles-moi, pendant que je te fais un petit massage.

Elle fit la moue, n'ayant pas envie de continuer, mais je posai sa paume sur mon pénis.

-Allez, sinon je te donne une fessée, insistais-je en montrant une main menaçante.

La peur de cette fessée se lut sur son visage. Je sentis sa main se refermer sur mon membre et commencer à faire des mouvements lents d'avant en arrière. Pendant qu'elle me masturbait, je lui fis un massage des seins, les serrant de temps en temps dans mes mains, puis je fus vite lassé et portai mon attention sur son sexe. Elle continuait à me branler lentement, en faisant la grimace tandis que j'en prenais du plaisir.

-écartes un peu les cuisses, fis-je en glissant doucement ma main entre ses jambes, près de son sexe.

Elle obéit et laissa entrevoir ses lèvres vaginales. Je commençai à les caresser du bout des doigts, puis pénétrai son sexe légèrement humide et chaud.

-S'il vous plaît, arrêtez, fit-elle en gémissant, c'est gênant.

-Je sais, mais tu l'as mérité, maintenant contentes-toi de finir de me masturber.

Elle accéléra le mouvement de son poignet, multipliant mon plaisir. J'avais maintenant trois doigts qui faisaient des va-et-vient dans son vagin.

-Vas-y, ordonnais-je. Plus vite !

Elle agita encore plus énergiquement sa main, et je finis par éjaculer, aspergeant une partie de son flanc gauche. Elle lâcha sa prise. J'étais en train de reprendre mon souffle. Elle se leva et sortit un mouchoir de son sac, se nettoyant comme elle pouvait en prenant un air dégoûté.

-Vous auriez pu prévenir, que je me retire, avant de m'éjaculer dessus, fit-elle d'un regard méprisant.

Elle ajouta quand j'eus fini de souffler :

-C'est bon, vous avez eu ce que vous vouliez ? Vous êtes soulagé maintenant ?

Je secoua la tête.

-Non, tu restes ici. J'en ai pas terminé avec toi. C'était juste des préliminaires ça.

Je vins vers elle et la contournai.

-Je n'ai pas encore inspecté l'autre côté, expliquais-je en caressant le bas de ses fesses du bout des doigts.

-L'autre côté ... Vous ne voulez quand même pas ? S'offusqua-t-elle. Ah, c'est dégueulasse ! Vous êtes un vrai pervers !

Je m'étais accroupi en face de son postérieur, ignorant sa remarque, et glissai mes doigts entre ses fesses pour avoir une vue dégagée sur son petit trou serré. Son anus était tout propre, et je posai un baiser sur la peau qui l'entourait, puis y laissa un peu de salive que j'étalai du doigt. J'avais remarqué un truc amusant : quand je passais mon doigt pile sur son petit orifice, sa peau autour se contractait, trahissant sa peur d'être "percée" de ce côté.

-Arrêtez, c'est sale ce que vous faites.

-Mais non, tu es toute propre, et je n'ai pas encore mis mon doigt. Mais ne t'inquiètes pas pour ton rectum, je vais le nettoyer aussi, si tu y tiens tant que ça.

Je la libérai de ma prise et la penchai en avant sur mon bureau, pour que ses fesses soient bien mises en arrière quand j'allais reprendre l'inspection de son petit trou. Je disposai également une bassine entre ses pieds.

-Qu'est-ce que vous comptez faire ? s'inquiéta-t-elle. Attendre que je chie dans votre bac ? Je n'ai pas besoin.

-Ce n'est pas un problème, lui dis-je. Vous allez prendre un petit laxatif.

J'ouvris une armoire, et en sortis une boîte de microlax que je posai sur le bureau. Visiblement elle ne connaissait pas le médicament.

-C'est des comprimés ? Demanda-t-elle.

-Pas vraiment, ça se met dans le cul.

De nouveau une grimace qui confirmait son dégoût.

-Des suppositoires ? Vous ne voulez quand même pas ... ?

-Non, ce ne sont pas des suppositoires. c'est un liquide qui se met dans les fesses.

Je sortis un flacon pour lui montrer.

-Allez maintenant je vais te le mettre, restes bien comme tu es, c'est parfait.

-Non, je veux bien tolérer qu'on me touche, mais vous ne me mettrez pas de médicaments comme ça !

-Si, si si !

Je la contournai en la maintenant fortement et me penchai sur ses fesses, pas besoin de les écarter car son anus était déjà visible. Je crachai dessus pour remettre un peu de salive afin de lubrifier.

-Arrêter ça tout de suite, fit-elle en gigotant. Je ne veux pas avoir...

-Trop tard, la coupais-je en introduisant le canule entièrement dans son petit orifice.

-Aie ! ça fait mal ! Retirez ça, je ne vous permets pas de ...

Je pressai le flacon pour injecter le gel, et le retirai de son trou de balle.

-Et voilà, fis-je en jetant le flacon vide devant elle, c'est fait. Alors maintenant tu te calmes. De toute façon on ne peut pas l'enlever comme ça.

Elle reprit une attitude plus calme et je la lâchai.

-Tu attends de faire caca dans le bac maintenant !

-C'est dégoûtant ce que vous m'avez fait, je vais avoir la chiasse à cause de vous !

Je la laissai me faire ses reproches, et m'installai sur une chaise derrière elle, pour bien être en face de son anus quand elle allait avoir besoin de faire.

-ça vous fais plaisir de voir ça ? Vous êtes vraiment bizarre, vous.

Elle continua de grimacer mais finit par se calmer, et tourna la tête pour ne pas me regarder, trop honteuse déjà de devoir faire devant quelqu'un d'autre.

Elle se retint mais n'y arriva pas longtemps, bientôt son anus s'ouvrit, et laissa expulser quelques selles qui tombèrent dans la bassin.

-ça va ? fis-je.

-Non, ça me pique ! Je n'ai pas fini.

Elle continua de pousser, évacuant petit à petit pour éliminer sa gêne. Je pris des mouchoirs et l'essuyai tout à la fin, jusqu'à ce qu'elle soit bien propre.

Je l'accompagnai pour aller vider le bassin aux toilettes pendant qu'elle se plaignait de picotement au cul.

-Ne t'en fais pas. Je vais te faire un lavement à l'eau froide, ça va te soulager de la douleur.

-Non, pitié. J'ai été assez punie comme ça, vous ne croyez pas ?

Je l'arrêtai et lui fis face, en la regardant droit dans les yeux.

-écoutes. C'est ça ou bien une sodomie, alors tu choisis.

Elle fit vite son choix, trop écœurée d'avoir un rapport anal avec moi, et se remit dans la même position sur mon bureau.

-Pourquoi vous faites ça, fit-elle. Pourquoi pas se contenter de devant ?

-De ton sexe ? Parce que pour une punition, le châtiment doit être craint. J'ai vu tout de suite que tu avais plus peur qu'on te touche du côté interdit qu'à ton sexe. Et puis c'est humiliant en plus. Je pense que ça fait une bonne punition.