Après cette petite explication, je débutai les préparatifs de son lavement : Tout d'abord un bock d'eau assez froide dans lequel j'ajoutai un peu de savon en copeaux, puis l'assemblage d'un long tube terminé par un canule, le tout suspendu à un porte manteau.

-Voilà, tout est prêt, fis-je en m'asseyant sur un fauteuil. Viens ici, tu vas t'installer sur mes genoux pour ton lavement.

Cette fois elle ne discuta pas, elle vint s'allonger sur mes cuisses. Comme j'étais encore nu, je sentis son ventre tiède sur mon sexe en érection. Je débutai l'opération avec quelques caresses aux fesses, sans toucher son petit trou, pour qu'elle se détende un peu, mais elle semblait trop stressée par la suite comme le confirmait sa respiration bruyante.

-Allez-y, vous pouvez y aller, je suis prête, dit-elle, ne souhaitant pas attendre plus longtemps.

-Très bien, ma petite.

J'écartai ses fesses, et glissai mon doigt dans son trou déjà lubrifié, en faisant des mouvements de plus en plus profonds. Puis ce fut le moment que j'aimais le plus : la pénétration de la canule : je le fis en douceur, prenant tout mon temps pour faire durer le plaisir.

-Bon, c'est parti, lui dis-je en libérant l'eau.

-Hé ! C'est froid, arrêtez ça fait mal, je vais être malade.

Elle faisait aller des jambes de tous les côtés, j'eus un peu de mal à la contenir, l'enlaçant autour de la taille pour ne pas qu'elle se relève, mais elle réussit à expulser la canule. Je dû la libérer pour éviter que trop d'eau ne coule sur le carrelage, et elle en profita pour se lever.

Je la rattrapai après avoir remis la pince, puis la couchai de force par terre, et lui donnai quelques fessées qui résonnèrent dans le bureau. Son petit derrière rougit rapidement.

-C'est bon, tu es calmée ?

Pas de réponse, elle reprenait son souffle.

-Très bien, on va reprendre, et si tu n'es pas sage, ce sera encore des fessées, ajoutais-je en attrapant la canule.

Je lui remis dans l'anus, puis recommença à l'inonder, maintenant la canule aussi pour éviter l'expulsion. Elle remuait de gêne mais tenait le coup, et je m'arrêtai quand les deux litres d'eau savonneuse furent vidés dans son ventre, non sans mal à cause de petits rejets qui m'avaient obligé à replacer la canule autrement.

Quand je la redressai pour l'emmener au pot, je vis son ventre tout gonflé.

-Vas-y, tu peux te vider maintenant.

N'ayant que cette envie, elle commença directement à remplir la bassine, puis quand elle se releva et alla vider le récipient.

-C'est fini ? Demanda-t-elle en regagnant la pièce.

-Presque, il ne reste qu'à vérifier que tu es bien propre dedans. Regardes, voici un anustoscope. Mets-le dans ton derrière et penches-toi en avant.

Je lui tendis l'objet, mais elle refusa de le prendre.

-Désolée, je ne pourrai pas me le mettre seule.

-Ok, alors penches-toi et écartes les cuisses.

Elle se mit en position, je lui demandai également d'écarter ses fesses avec ses mains, puis je lui enfonçai l'instrument qui resta dans son cul. En retirant la partie interne et à l'aide d'une petite lampe de poche, j'inspectai son rectum.

-Tout à l'air bien nettoyé, tu peux retirer l'anustoscope et te rhabiller maintenant.

Elle l'enleva et me rendit mon instrument, puis se dépêcha de se revêtir, pressée de partir. Avant de me quitter, elle me dit qu'elle ferait comme s'il ne s'était rien passé, et s'excusa encore pour s'être introduite dans mon bureau ce soir.

-Ok, à lundi alors, lui dis-je en récupérant mes vêtements moi aussi.