Vues: 1065 Created: 2016.05.30 Mis à jour: 2016.05.30

Traitement parental

Chapitre 2

Bonjour, voici une suite que j'ai écris à cette histoire :

J'étais tellement perdue dans mes pensées, absorbée par ce qui venait de se passer, que j'étais comme paralysée, et restait bêtement dans la salle de bain tandis que mon père repartait dans la salle à manger auprès de ma mère.

Je venais de recevoir un suppositoire, mais ce qui me bouleversait le plus, c'était d'avoir reçu un doigt dans le derrière pour le mettre ! Mon père s'en était occuper rapidement, comme s'il avait l'habitude de pratiquer ce genre de geste, mais moi, j'avais été mal à l'aise durant ce moment très humiliant.

Je quittai enfin la salle de bain, et plutôt que de retourner dans la salle à manger, je pris la direction de ma chambre pour m'y isoler le temps que le suppo fasse effet.

Je patientai ainsi dans la chambre en pensant à ce qui s'était passé, le suppositoire commença à agir rapidement et je sentis ses premiers effets : de légères contractions qui revenaient de temps en temps. Je fis mon possible pour le contenir, mais dix minutes après l'avoir reçu, c'était déjà difficile de rester en place.

"Tanpis, me dis-je, je vais aux toilettes maintenant, pas moyen de me retenir."

Je sortis de ma chambre, et traversai précipitamment le couloir pour me rendre aux toilettes. En passant dans la salle à manger, mon père m'interpella.

-Déjà ? Fit-il. Essaye de te retenir encore un peu, Pauline, sinon ce ne sera pas efficace.

Les contractions m'envahissaient de plus belle.

-Désolée, fis-je, je dois vraiment y aller.

Tandis que mon père haussait les épaules, je filai aux toilettes, fermai la porte, et m'assis sur la cuvette. Je libérai aussitôt mes fesses, poussai, et sentis d'abord le suppo ressortir accompagné d'un bruit gras. Je continuai de pousser pour évacuer le reste, mais rien ne vint. Au bout d'une bonne minute de poussées, j'abandonnai. Je m'essuyai le derrière, me relevai, et vis dans la cuvette le suppositoire qui était au fond de l'eau.

"Retour à la case départ, pensai-je."

Quand je ressortis des toilettes, honteuse, je voulus éviter mes parents et me rendre directement dans ma chambre, mais mon père devina ce qui s'était passé et m'interpella une nouvelle fois.

-Alors ? Fit-il. Tu as réussi à faire ?

Baissant les yeux, je lui avouai la vérité.

-Non, je n'ai fait sortir que le suppo.

-Bon, et bien il va falloir recommencer alors, fit-il en venant vers moi.

"Quoi ? Encore un suppositoire !? Il n'était pas sérieux ? Un seul m'avait déjà suffit, pas besoin d'un deuxième !"

Effectivement, il n'avait l'intention de me donner un deuxième suppositoire, mais ce qui m'attendait n'était guère plus réjouissant.

-Vu que tu n'arrives pas à garder ton suppositoire, fit-il, je vais te donner un lavement. Là au moins, ce sera efficace.

Je devinai mon visage virer au pâle en entendant sa phrase. Cette fois, je me défendis.

-Je n'aime pas trop les lavements, répondis-je.

Mon père me regarda, surpris par cette réponse.

-Qu'est-ce que tu en sais ? Fit-il. Tu n'en a jamais reçu.

-Je sais, mais je n'ai pas envie d'en recevoir, me défendis-je.

-Pourtant, il va bien falloir, ma grande, vu que le suppositoire n'a pas marché, me fit-il.

Ne voulant pas discuter davantage, il se dirigea à nouveau vers la salle de bain, en me prenant par l'épaule. Je l'accompagnai timidement jusque dans la salle de bain, où il décida cette fois de fermer la porte.

-Allez Pauline, déshabille-toi, me demanda-t-il. Cette fois, ça va être un peu plus long qu'un simple suppo.

Il commença à préparer l'opération en sortant du matériel du placard.

-Je dois tout enlever ? Demandai-je, hésitante.

Je ne voulais pas me retrouver toute nue devant lui.

-Tu peux garder ton tee-shirt si tu veux, répondit-il, mais il va falloir que tu enlèves tout le bas, au cas où il y ait des fuites. D'ailleurs tu pourras te mettre debout dans la baignoire, ce sera plus simple ainsi.

Honteuse, j'obéis et commençai à me déshabiller, la boule au ventre. Je le vis sortir un contenant en plastique et le remplir avec de l'eau tiède. Il assembla ensuite les différentes pièces, en connectant le tuyau et la canule.

-Et voilà, fit-il en venant à présent vers moi, c'est prêt !

Mon estomac se resserra en le voyant tenir la canule en main. J'étais comme il me l'avait demandé : debout dans la baignoire, les jambes nues et les fesses à l'air. Par pudeur, je me tournai légèrement pour lui cacher la vue de mon entrejambes.

-Bon allez, poursuivit-il, penche-toi un peu en avant, les fesses vers moi, que j'y vois quelque chose.

Il accrocha le "réservoir" en hauteur afin d'avoir une pression suffisante, puis se pencha vers mes fesses tandis que je me baissai en me penchant en avant.

Il les écarta, et j'eus aussitôt le réflexe de me crisper, en devinant ce qui m'attendait.

-Tu veux que je te mette un peu de crème avant sur le derrière, ou bien je rentre la canule comme ça ? Me demanda-t-il en gardant mes fesses écartées.

-Tu peux la rentrer comme ça, répondis-je.

La canule était légèrement plus large qu'un doigt. Un peu de crème aurait probablement facilité sa pénétration, mais je préférai ne pas perdre de temps, et terminer tout ça le plus rapidement possible.

-D'accord, fit-il. Essaye de ne pas bouger.

J'obéis. Du coin de l'oeil, je vis que mon père avait les yeux rivés sur mon derrière, et qu'il avançait la canule en visant entre mes fesses qu'il maintenait toujours écartées.

Je sentis alors l'extrémité dure de la canule se poser sur mon anus, et me raidis aussitôt. Au lieu de me détendre, je me crispai.

Il poussa, et fit rentrer de force l'embout dans mon cul.

-Voilà Pauline, fit-il, la canule est dedans. Maintenant détends-toi et laisse rentrer l'eau doucement.

Il desserra le robinet, et l'eau tiède commença à s'écouler du réservoir vers mon intestin. Ensuite, il relâcha mes fesses qui se resserrèrent, mais garda la canule enfoncée dans mon cul, pour éviter une expulsion prématurée.

La première moitié du liquide prévu s'écoula rapidement et sans problème, mais ensuite, ce fut plus difficile à contenir, surtout en position debout. Je commençai à me tortiller discrètement, et mon père suivait mes mouvements avec la canule pour la garder enfoncée et maintenir un écoulement régulier.

-Il reste longtemps ? Demandai-je.

-Encore au moins quelques minutes, fit-il en regardant le niveau. Si tu es mal à l'aise, tu peux te mettre à quattre pattes dans la baignoire.

-Non, c'est bon, ça ira, répondis-je.

-Comme tu veux.

Un long silence suivit. Mes mouvements devenaient de plus en plus insistants à mesure que l'eau s'écoulait, et j'avais l'impression qu'à chaque fois, mon père renfonçait la canule de quelques centimètres supplémentaires, ce qui n'était bien sûr qu'une illusion.

Lors des derniers centimètres d'eau, le liquide commença à ne plus se contenir dans mon intestin, et s'égoutta depuis mon anus dans la baignoire.

-Bon, je pense que ça suffit, fit-il. Je vais retirer la canule, maintenant. Serres bien les fesses.

Il me laissa quelques secondes pour me préparer, puis tira la canule et la laissa pendre dans la baignoire. Bien que je me sois crispée, un mince filet d'eau commença à être expulsé.

-Hop, fit-il en venant poser son index sur mon petit trou, arrêtant instantanément la fuite. Serres bien les fesses, Pauline.

Je me contractai une nouvelle fois, et lorsqu'il enleva son doigt, l'eau fut enfin contenue dans mon derrière.

-Voilà, file aux toilettes, maintenant, me fit-il.

Je ne me fis pas prier, et disparus rapidement de la salle de bain. Je traversai en un éclair la salle à manger, les fesses à l'air, devant ma mère, pour rejoindre les toilettes.

Une fois assise sur le trône, je pus enfin me soulager en expulsant tout le liquide, ainsi que mon "bouchon".

Comments

clyso Il ya 4 ans