J'ai été presque un an en arrêt de travail et je peux vous dire que dès que l'on va mieux, on commence à s'emm... ferme...

Mais heureusement, du fait que vous changez d'horaire de vie, j'ai rencontré dans mon immeuble, des personnes que je ne connaissais pas ou juste de vue...

Comme Patricia par exemple, une femme de la cinquantaine, veuve, ancienne infirmière des hôpitaux qui avait changée de métier pour un mi-temps à la mort de son mari...

On a sympathisés en prenant notre courrier dans le hall, on se rencontraient tous les jours, et on a finit par s'inviter à prendre le café, un coup chez l'un, un coup chez l'autre...

Femme charmante, mince, d'un mètre soixante dix, brune aux cheveux long souvent en chignon, poitrine encore haute et pointue, elle a beaucoup d'humour....

On rigole bien ensemble en buvant notre café, surtout avec ses anecdotes sur son ancien métier, elle en parle sans gêne, elle en a vue de drôles...

C'est au cours d'un de ses souvenirs concernant une anecdote sur les lavements, que les choses ont changées entre nous...

Voyant que le sujet me captait, elle m'a demandée en souriant si l'on m'en avait déjà fait...?

Mon dernier souvenir remontant à l'enfance, elle m'a dit, en me fixant d'un regard enjoué, que ça ne faisait pas de mal d'en recevoir un de temps en temps...

Je ne savais plus où me mettre, ça touchait à l'intime et l'hygiène, mais aussi aux fantasmes cachés, mon épouse refusant de m'en faire et faisant les siens seule...

J'utilisais sa poire en cachette pendant son absence, jeu de masturbation et pénétration de la canule, injection d'une à deux poires, fébrilement, chaque fois...

J'ai dû rougir, elle a rit en me disant que je n'avais pas à avoir honte d'être intéressé, elle comprenait ma gêne en tant qu'ancienne infirmière..

.Il y a eu un silence puis la dessus, elle a enchaînée sur les bien être de la chose, et sans pudeur, m'a avouée s'en faire un petit d'une poire par semaine et un plus gros par mois...

Si j'en ressentais le besoin, elle me proposait ses services...On s'est quittés la dessus, j'étais tellement excité par ses révélations intimes que je me suis masturbé en rentrant, fantasmant sur la possibilité d'une toilette rectale faite par elle...

Le lendemain, on s'est revus aux boîtes à lettre, le café était pour chez elle cette fois, une fois arrivés et servit, elle me quitte un instant, pour se changer dit-elle...

Quand elle revient, elle est en blouse blanche et tablier plastique, cheveux noués, elle me propose de voir sa salle de bain et son matériel, "au cas où" dit-elle...

Effectivement, elle est équipée, c'est une salle de bain agréable, féminine, mais médicale, agencée professionnellement, avec rigueur, entièrement carrelée…

Mobilier de salle de soins, armoire vitrée contenant son matériel, table d'auscultation avec étriers, douche Italienne, bidet, wc, pied suspensoir à poche, tout y est...

Je la félicite, je suis impressionné par le juste équilibre entre le médical et ses touches personnelles, je m'arrête devant la vitrine aux objets, surprenants...

Bien sur, on y trouve tout ce qui peut servir aux lavements, poires aux volumes et canules différentes, bock et poches pour les contenances plus élevées...

Mais en y regardant de plus près, derrière serviettes et compresses, j'aperçois des cylindres de latex ou de polycarbonate transparents qui n'ont rien d'infirmiers...

- Vous avez là de quoi soulager bien des pathologies... lui dis-je admiratif.

- Et bien choisissez pour la vôtre, si vous souhaitez un soin...

- Conseillez-moi plutôt... C'est vous la professionnelle...

- Ca alors... dit-elle en désignant une poire 300mml

- Je commencerai par une injection... on verra pour la suite... Allez...! on enlève le pantalon et on monte sur la table...!

Le ton employé venait de changer d'intonation, toujours souriante mais plus directive, ma voisine lavementeuse retrouvait les gestes et mots précis de son ancien travail...

Une fois mon pantalon enlevé, je monte sur la table, hésitant à choisir la position adéquate, c'est elle qui m'impose celle à quatre pattes...

En appuis sur les avants bras, jambes pliées et croupe tendue, je la vois enfiler une pair de gants en latex, puis venant derrière moi, elle me baisse le slip à mi cuisses...

Elle ne le fait pas brusquement, non, elle le fait glisser, délicatement, puis elle m'informe de ce qu'elle va faire...

- Comme c'est votre première fois avec moi... Permettez-moi de vous ausculter quelque peu avant l'injection... simple routine...

- Faites Madame...Faites... lui dis-je en pensant qu'elle va juste me contrôler l'extérieur de l'anus.

Ce qu'elle fait au début d'ailleurs, une palpation attentive et douce des plis et du bourrelet de ma rondelle, me posant quelques question sur d'éventuelles douleurs...

Mais elle ne se contente pas que de ça, attrapant un pot de vaseline dans son armoire, elle s'en enduit ostensiblement un doigt, me fixant d'un regard équivoque...

- C'est pour qui ça...? me demande-t-elle d'une voix maternante.Esquissant un sourire prometteur, elle pointe son index en l'air puis revient derrière moi, elle m'écarte les fesses pour me masser l'anus de son doigt lubrifié...

J'ai à peine obéis qu'elle m'enfonce son index, me disant de pousser pour détendre l'orifice, elle commente la chose, me trouvant accueillant de la petite porte...

Je suis un peu gêné qu'elle me dise cela, on ne peut rien cacher aux gens du médical, a-t-elle devinée qu'aux plaisirs solitaires, j'aime bien me rentrer, un doigt dans le derrière...?

- Ca va...? Pas de douleurs...? me demande-t-elle, en me fouillant l'anus.

- Oui... ça va... lui dis-je.

- Agréable aussi, peut-être...? me demande-t-elle d'une voix très sensuelle...

- Vous êtes douce... lui dis-je

- Et bien si vous aimez... après votre lavement... Je ferai autre chose...

C'est avec un regret que je la sent retirer son doigt, j'ai un bonne érection et si elle continuait, je me serais branlé, ce n'est pas tous les jours qu'une femme me doigte...

Elle retire ses gants et va dans son armoire prendre la poire qu'elle m'avait désignée, elle choisit la canule, une grosse et annelée, me disant que celle la est adaptée pour moi..

Poussant un guéridon, elle approche sa cuvette, qu'elle a remplit d'une eau à bonne température, ajoutant au liquide des gouttes de savon doux...

- Voilaaa... c'est main-te-naaant... dit-elle en chantonnant en remplissant la poire.

- Il est prêt pour la première...? Car je dois vous le dire... Il vous en faudra deux... vous m'avez souillé le doigt... Vilain garçon...