Son doigt est merveilleux, du moins, sa façon de le bouger, sa connaissance de l'endroit est complète, elle alterne petits vas et viens et massage du sphincter, attouchement prostatique et vrille élargissante, si bien qu'en peu de temps, je deviens réceptif au deuxième qu'elle propose… Majeur et Index… Mes deux amours, enfoncés tours à tours puis ensemble dans mon trou…

Ma voisine Infirmière me surprend en posant sa bouche sur mon sexe, elle le voit dans mes yeux et sourie en suçant, ses lèvres enveloppent mon gland, elle avale ma tige jusqu'au pubis…

Et tout en me pompant le dard, elle s'astique la moule et l'anus sur les verges de latex qui l'emplissent, après quelques vas et viens délicieux de ses lèvres en anneaux me comblant de délices, elle se relève, tendant un bras vers le guéridon…

- Je ne sais lequel choisir… Vous prenez bien mes doigts et un petit modèle passerait inaperçu… Tient…! Celui-là vous irait bien… dit-elle en me montrant un phallus réaliste aux dimensions sérieuses…

- Heu… Oui… mais doucement alors… dis-je en voyant ses 25cm et sa largeur de 5…

- Ca va aller… Vous êtes accueillant… dit-elle d'une voix douce et rassurante… Poussez un peu s'il vous plais…

J'ai juste le temps de lui ouvrir mon sphincter que la queue me pénètre, je me sens élargis mais sans trop de douleur, elle me fixe dans les yeux en me sodomisant et sa croupe sur le siège s'agite sur son gode…

Elle me branle d'une main et de l'autre m'encule, elle cherche à voir en moi le plaisir que j' y prend, puis son souffle devient court, elle exulte quelques râles, son visage se crispe et elle jouit face à moi à grands mouvements de hanche, j'entend comme une cascade qui s'écoule sur le sol, elle vient de faire sous elle, terrassée par l'orgasme…

Elle couche son buste sur moi, le temps de faire surface, je lui caresses les cheveux, défaisant son chignon, le gode me sort des fesses, délicieuse sensation, puis elle revient à elle et s'enlève de son siège, elle s'excuse pour la flaque qui s'étale sur le sol…

- Et bien et bien…!!! faut que j'éponge maintenant…! ça me fait toujours ça quand j'ai quelque chose dans le derrière…

Elle saisit une lavette et nettoie son carrelage, puis elle revient à moi me tripoter la verge…

- Vous êtes très endurant… d'autres sous le même traitement, auraient déjà lâchés toute leur semence…

- Voulez-vous que je fasse l'homme pour vous finir…?

- L'homme…!!!? C'est-à-dire…!?

- J'ai une magnifique ceinture qui permet de le faire… dit-elle en allant vers son armoire…

Je n'ai pas le temps de répondre que déjà elle s'harnache, et revient devant moi me montrer son côté masculin, une ceinture de cuir sur laquelle est fixé une verge de latex, d'un parfait réalisme, aussi vraie que nature…

- Voilà… Je suis un homme maintenant…descendez de la table… et venez là que je vous fasse le cul, m'ordonne-t-elle en désignant le wc…

Je ne résiste pas à sa proposition, ce n'est pas ma femme qui me ferait ça…avec elle, c'est tout juste un doigt et encore, pour Noël…

Je viens donc me placer devant ma chère voisine, mon voisin devrais-je dire maintenant, elle me fait me pencher en avant, mains sur le bord de la cuvette, elle approche sa queue à l'orée de mes fesses et d'un coup de reins s'enfonce, comme si j'étais sa chose…

J'en pousse un râle profond, l'engin me viol presque, elle me saisit aux hanches pour bien me buriner, elle me claque les fesses et y enfonce ses ongles, je ne suis plus qu'un cul, qu'elle fouille comme un homme…

- Donne…! Donne tes fesses…! me dit-elle, changeant de ton en limant mon rectum…

- T'aime ça hein…?! dis-le que t'aime ça…!

- Uiiiii… j'aime ça…

- Branle-toi alors…! branle-toi cochon sodomite…!

Je fais ce qu'elle me dit, je m'astique le sexe, il me faut pas longtemps pour me sentir venir, sous ses coups de boutoir qui me ramonent l'anus, je lui dis que je viens, que je vais décharger, elle me dit, - Fais dans ta main…Petit goret…!

Je récolte mon sperme en jouissant comme un fou, encore quelques coups de reins puis elle me décule, je ressent comme un vide à la place de mon trou…

Je me redresse tremblant, qu'est-ce que j'ai ramassé, elle me saisit la main pour voir la récolte et y pose la bouche pour aspirer le tout…

- Hummm… Presque aussi bon que celui de mon défunt mari…! dit-elle en se léchant les lèvres

Nous nous sommes quittés, sans donner rendez-vous, j'attend de la croiser devant les boîtes à lettres…